Ces 3 adventices délaissées en automne « deviennent un fertilisant naturel que rares sont les jardiniers à oser exploiter »

Jeter les adventices d’automne est une perte de temps et de ressources. Cette corvée épuisante cache une opportunité que peu de gens saisissent. Il existe pourtant une méthode simple pour transformer ces plantes en un fertilisant naturel et gratuit, enrichissant votre sol pour le printemps suivant.

Comment les adventices deviennent une ressource précieuse au jardin

Julien Dubois, 48 ans, paysagiste en Touraine, a longtemps lutté contre ces « indésirables ». « Je passais des week-ends entiers à les arracher pour rien, » confie-t-il. « Comprendre que je jetais de l’or vert a complètement changé ma vision du jardinage. » Initialement, il nettoyait méticuleusement ses parterres. Un article sur le jardinage en cycle fermé l’a intrigué. Il a alors laissé pissenlit et trèfle se décomposer sur une parcelle test. Au printemps, la terre y était visiblement plus meuble et riche.

Le mécanisme de fertilisation naturelle expliqué

En se décomposant, ces plantes libèrent les nutriments qu’elles ont puisés en profondeur dans le sol. Le processus, mené par les micro-organismes du sol, transforme la matière végétale en humus, rendant l’azote et le potassium directement assimilables par les cultures futures. C’est un véritable engrais naturel à libération lente. L’idée n’est pas de laisser proliférer toutes les herbes, mais de sélectionner celles qui apportent le plus de bénéfices.

Adventice commune Approche traditionnelle (automne) Valorisation comme fertilisant
Pissenlit Arrachage et évacuation Laisse se décomposer, libère minéraux profonds
Trèfle Traitement ou arrachage Fauche et laisse sur place, fixe l’azote
Plantain Considéré comme envahissant Indicateur de sol tassé, aère en mourant

Mettre en pratique cette méthode pour un sol plus riche

L’avantage de cette technique est triple. Pratiquement, elle réduit considérablement la corvée de désherbage automnal. Économiquement, c’est une source d’engrais totalement gratuite qui remplace des produits achetés en magasin. Enfin, sur le plan environnemental, elle favorise la biodiversité du sol et limite les déchets verts à évacuer. Cette approche simple a des impacts concrets :

  • Réduction du travail : moins de désherbage manuel et d’allers-retours à la déchetterie.
  • Économies directes : plus besoin d’acheter certains fertilisants de synthèse ou organiques.
  • Amélioration du sol : augmentation notable de la matière organique et de la vie microbienne.

Aller plus loin dans le jardinage circulaire

Pour optimiser, il est possible de faucher ces adventices avant leur montée en graines et de les laisser en paillage, une technique connue sous le nom de « chop and drop ». Une autre option est de les intégrer à un compost de surface, directement sur les planches de culture à amender. Cette approche s’inscrit directement dans les principes de la permaculture, où chaque élément a plusieurs fonctions. Une « mauvaise herbe » devient alors un bio-indicateur de la nature du sol et un acteur de sa fertilité.

🔍 À lire également : Le compost d’automne que tous négligent « révèle une fertilité extraordinaire du sol connue seulement des anciens jardiniers »

Traite aussi de la valorisation des déchets verts en automne pour fertiliser le sol

Adopter cette pratique change notre rapport au vivant. Au lieu de combattre la nature, on collabore avec elle, ce qui remet en cause le modèle du jardin « propre » et stérile. En somme, observer et utiliser ce que le jardin nous offre est la clé. En laissant certaines adventices jouer leur rôle d’engrais vert, vous transformez un effort inutile en un bénéfice tangible pour votre sol. C’est une invitation à jardiner plus intelligemment, pas plus durement.

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318 réflexions sur “Ces 3 adventices délaissées en automne « deviennent un fertilisant naturel que rares sont les jardiniers à oser exploiter »”

  1. Bof. J’ai essayé une fois, ça a surtout fait un nid à limaces. Je préfère le compost bien géré, au moins je sais ce qu’il y a dedans.

  2. Intéressant ! Je me demande si le jeu en vaut la chandelle. Ça prend déjà tellement de temps de désherber… en rajouter une étape, est-ce que ça simplifie vraiment la vie ?

  3. Mouais… « Ressource précieuse », faut pas exagérer. Je me méfie des solutions miracles, surtout au jardin. J’ai plus confiance dans mon bon vieux fumier.

  4. Le titre est accrocheur, mais je suis dubitatif. J’ai peur de réintroduire des graines indésirables dans mon jardin en faisant ça. Peut-être que ça marche pour certains, mais je préfère ne pas prendre le risque.

  5. Ça me rappelle ma grand-mère ! Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme. Curieux de savoir quelles sont ces fameuses adventices.

  6. Honnêtement, l’idée me plaît. Ça me donne l’impression de boucler la boucle et d’être plus en phase avec la nature. J’aimerais bien essayer, mais j’espère que l’article donnera des instructions …

  7. C’est vrai qu’on jette tellement de choses ! Le côté écolo me parle, mais j’espère que ce n’est pas trop compliqué. Si c’est facile, je pourrais convaincre mon mari de m’aider !

  8. L’automne est déjà assez déprimant, je n’ai pas envie de passer plus de temps dehors à trier des mauvaises herbes. Je préfère aller acheter un engrais en jardinerie, au moins c’est rapide.

  9. J’espère juste que ça sentira moins fort que mon compost habituel ! Si ça peut éviter les allers-retours à la déchetterie, je suis preneur.

  10. Si ça peut éviter d’acheter des sacs d’engrais hors de prix, je suis à l’écoute. J’espère que l’article expliquera bien comment faire, car je n’y connais rien.

  11. Je suis toujours partagé face à ce genre d’articles. L’idée est bonne, mais mon jardin est si petit… Je ne suis pas sûr d’avoir la place pour faire ça correctement.

  12. Un fertilisant gratuit ? Sur le papier, c’est séduisant. Mais j’ai déjà assez de mal à identifier les « bonnes » herbes, alors trier les « mauvaises » pour les transformer.

  13. Je suis intrigué, mais mon terrain est argileux. J’ai peur que ça ne fasse qu’aggraver le problème de drainage si je rajoute de la matière organique mal décomposée.

  14. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’invasion ! Si je les transforme en engrais, est-ce que je ne risque pas d’en ressemer partout au printemps suivant ?

  15. Mouais… Transformer des « mauvaises » herbes en engrais, ça me rappelle trop l’expression « rendre le mauvais en bon ». J’ai toujours trouvé ça un peu naïf comme concept, et en jardinage, ça se traduit souvent par plus de travail pour un résultat incertain.

  16. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois plantes ! J’ai toujours pensé qu’elles étaient bonnes à rien, mais je suis ouvert à changer d’avis.

  17. Ça me fait penser aux recettes de grand-mère, un peu oubliées. J’espère que l’article sera clair, car j’ai l’impression qu’on perd de vue le savoir-faire d’avant.

  18. J’avoue, le titre est accrocheur. Mais chez moi, les adventices, c’est la guerre. J’ai peur de me retrouver dépassé si je commence à les collectionner au lieu de les virer.

  19. C’est marrant, moi les adventices, je les vois plus comme des indicatrices. Si elles prolifèrent, c’est peut-être que mon sol a un souci. Ça vaut le coup de creuser avant d’enrichir, non ?

  20. L’automne, c’est déjà assez déprimant comme ça. Me rajouter une tâche « verte » alors que j’ai juste envie de rentrer au chaud, bof… Je préfère aller acheter de l’engrais, au moins je suis tranquille.

  21. J’espère que l’article parlera de plantes vraiment communes ! Si ça concerne des espèces rares, l’intérêt est limité. Autant aller au magasin.

  22. L’idée est sympa, mais j’ai un petit jardin. Est-ce que la quantité d’engrais produite justifie vraiment l’effort et la place que ça prendrait?

  23. Ça me parle! Mon compost déborde déjà à l’automne. Si je pouvais utiliser ces « mauvaises herbes » directement, ça simplifierait mon organisation.

  24. Je suis curieuse. J’ai toujours utilisé le broyat d’automne comme paillis, mais jamais pensé à le transformer *avant*. Si ça peut vraiment doper le sol au printemps, je suis preneuse de nouvelles astuces.

  25. Bof, je suis sceptique. Si c’était si miraculeux, ça se saurait. Je préfère passer du temps à planter des fleurs pour les abeilles qu’à trier des « mauvaises herbes ».

  26. Intéressant… mais ça sent un peu le greenwashing. On nous dit que c’est simple, mais est-ce que ça marche vraiment pour tous les types de sols ? J’aimerais des preuves concrètes avant de me lancer.

  27. Mouais, encore un truc à la mode. J’ai des orties qui poussent partout, j’en fais du purin, ça marche très bien, pas besoin d’aller chercher midi à quatorze heures.

  28. C’est vrai que « adventices » ça fait tout de suite plus noble que « mauvaises herbes ». Pour le fertilisant, je préfère encore le fumier de cheval du voisin, au moins je sais ce que c’est.

  29. J’avoue, le désherbage, c’est ma bête noire. Si ça pouvait servir à quelque chose d’utile, ça me motiverait peut-être un peu plus à m’y mettre. À creuser !

  30. Ah, encore une lubie écolo… Moi, je me bats déjà assez pour que mes tomates survivent. Alors, transformer les herbes qui les étouffent en engrais ? Je manque de temps et de patience.

  31. Tiens, ça me donne une idée ! Plutôt que les jeter, je vais essayer de les donner à la ferme pédagogique du coin. Ils compostent tout, ça leur fera un apport !

  32. Je suis curieux de savoir quelles sont ces fameuses adventices. J’espère que ce sont pas des trucs envahissants qui vont repousser encore plus fort après !

  33. Bof, ça sent la solution miracle qui demande plus d’efforts qu’elle n’en sauve. J’ai déjà du mal à suivre mon planning de jardinage.

  34. Intéressant. J’ai toujours eu l’impression de gâcher quelque chose en les jetant. Reste à voir si le jeu en vaut la chandelle niveau temps et effort.

  35. J’ai toujours pensé que les « mauvaises herbes » avaient bien une utilité. C’est la nature, quoi ! Hâte de voir si ça se confirme.

  36. Je suis toujours à la recherche de solutions pour alléger mon travail au jardin. Si ça peut éviter un aller-retour à la déchetterie, pourquoi pas ?

  37. Moi, je me demande surtout si cet engrais « maison » est vraiment adapté à toutes les plantes. J’ai peur de déséquilibrer mon sol.

  38. Je composte déjà mes déchets de cuisine. Si je pouvais inclure ces herbes, ça ferait un compost encore plus riche. Une bonne astuce anti-gaspi !

  39. L’idée est séduisante, mais mes poules apprécient déjà beaucoup ces « mauvaises herbes ». Elles doivent y trouver leur compte niveau vitamines ! Je vais continuer comme ça.

  40. Je suis dubitatif. Mon grand-père disait toujours : « Une mauvaise herbe, c’est une plante qui pousse là où tu ne veux pas ». J’ai peur d’introduire des problèmes en voulant bien faire.

  41. L’article me fait penser à ma grand-mère. Elle disait que rien ne se perd, tout se transforme. J’imagine le plaisir qu’elle aurait eu à tester ça!

  42. Ah, encore une astuce de jardinier ! Perso, je préfère me concentrer sur ce que je plante plutôt que sur ce que j’arrache. On verra si la paresse me rattrape…

  43. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois plantes précisément. J’ai un terrain argileux, j’espère que ça pourrait l’améliorer.

  44. Moi, je me demande si ça ne va pas attirer encore plus de bestioles indésirables dans le jardin… Déjà que j’ai du mal à m’en débarrasser !

  45. Ça me rappelle les orties que je laissais pousser pour les papillons. Peut-être que certaines « mauvaises herbes » sont moins mauvaises qu’on le croit pour la biodiversité ?

  46. Drôle d’idée ! J’avoue que le terme « adventice » sonne déjà plus sympa que « mauvaise herbe », ça donne envie de les considérer autrement.

  47. Fertiliser avec des « mauvaises herbes » ? Je me demande si l’effort en vaut vraiment la chandelle comparé à un bon engrais organique du commerce.

  48. Fertiliser avec ce que j’arrache, c’est un peu comme manger les restes de table. L’idée est bonne, mais est-ce que le résultat sera vraiment appétissant pour mes légumes ? J’attends de voir les détails avant de me lancer.

  49. Si ça peut éviter d’acheter des sacs d’engrais hors de prix, je suis preneur. J’espère juste que ça ne demande pas trop de travail supplémentaire, mon dos commence à fatiguer…

  50. C’est marrant, j’ai toujours vu ces herbes comme un signe que j’avais négligé mon jardin. Les transformer en engrais, ça serait un peu comme avouer sa défaite avec panache.

  51. Le titre est accrocheur, mais j’espère que l’article ne va pas me demander de devenir chimiste pour avoir un potager correct. J’ai juste envie de cultiver quelques tomates, pas de passer mon temps à faire des mixtures.

  52. J’espère que l’article expliquera comment éviter de réintroduire des graines d’adventices dans mon sol ! C’est mon cauchemar chaque année.

  53. Mouais, encore une solution miracle. J’ai déjà essayé des tas d’astuces « naturelles » qui se sont soldées par des récoltes minables. On verra bien ce que ça donne, mais je ne me fais pas trop d’illusions.

  54. Ça me rappelle ma grand-mère qui disait « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Si ça peut éviter un aller-retour à la déchetterie, pourquoi pas essayer ?

  55. Je suis curieux de voir quelles sont ces trois plantes. J’ai toujours pensé qu’il fallait un processus de compostage spécifique pour éviter les problèmes.

  56. Franchement, j’ai plus envie de me blottir au coin du feu avec un bon livre que de retourner me casser le dos dans le jardin. L’idée est bonne, mais le timing, bof quoi.

  57. J’attends surtout de savoir si ça marche vraiment sans attirer les limaces par hordes ! Mon potager est déjà leur restaurant préféré.

  58. C’est marrant, ça me rappelle le débat sur le gaspillage alimentaire ! On jette tellement, alors qu’on pourrait réutiliser. Faut juste que ça reste simple.

  59. Jeter, c’est facile. Transformer, ça demande du temps et de l’énergie. Est-ce que le gain en vaut vraiment la chandelle, pour un jardin amateur comme le mien ?

  60. Je suis partagé. L’idée est séduisante, mais j’ai peur de ramener des maladies dans mon potager en réutilisant ces « indésirables ».

  61. Intéressant… mais je me demande si le jeu en vaut la chandelle en termes de temps et d’efforts pour un jardinier du dimanche comme moi.

  62. Ça me parle ! Je suis novice, mais l’idée d’un cercle vertueux au jardin me plaît beaucoup. Si c’est simple à mettre en place, je teste direct.

  63. Et si c’était un bon moyen de moins culpabiliser de ne pas avoir un jardin parfait ? L’idée de valoriser ce qui pousse « malgré moi » me plaît bien.

  64. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois fameuses adventices. J’espère que l’article sera précis, parce que « adventice » c’est large !

  65. Plutôt que fertilisant, je verrais ça comme une manière de fermer la boucle. L’idée du « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » appliquée au jardin, ça me parle bien.

  66. En tant que grand partisan du compost, je me demande si ce n’est pas juste du compostage déguisé. La question est : est-ce que l’article va nous vendre une méthode vraiment nouvelle ?

  67. J’espère surtout que cette méthode est adaptée à la terre argileuse de ma région. Si c’est pour créer une galère supplémentaire, je passe mon tour.

  68. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’aspect « délaissées ». Si personne ne les utilise, c’est peut-être qu’il y a une bonne raison, non ? J’attends de voir.

  69. Mouais… J’avoue, je suis un peu flemmard. Si ça demande plus d’efforts que d’acheter un sac d’engrais, je ne suis pas sûr que je vais m’y mettre. On verra bien ce que l’article propose.

  70. Moi, je suis surtout dubitatif. « Fertilisant naturel », ça sonne bien, mais quid des graines ? J’ai déjà assez de boulot à désherber, pas envie d’en rajouter.

  71. L’automne est déjà assez triste comme ça, si en plus je dois passer mon temps à transformer des « mauvaises herbes » en je ne sais quoi… Je préfère me faire une tisane et regarder la pluie tomber.

  72. Je suis un peu sceptique. J’ai déjà tenté des « astuces de grand-mère » au jardin, et souvent, le résultat est plus de travail pour un bénéfice minime.

  73. Ça me rappelle ma grand-mère qui faisait macérer les orties. Ça sentait fort, mais les tomates étaient incroyables! Si c’est dans cette veine, je suis curieux.

  74. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois plantes. J’ai toujours pensé que « mauvaise herbe » était un terme subjectif. Certaines attirent les insectes pollinisateurs, non ?

  75. Transformer des « mauvaises herbes » en or ? Pourquoi pas ! Mais j’espère que l’article précisera si c’est adapté à tous les jardins, surtout ceux avec des animaux domestiques.

  76. J’espère que l’article parlera de plantes vraiment communes, pas des trucs exotiques que je n’ai jamais vus. Si c’est facile et accessible, je suis preneur !

  77. Mouais, encore un article qui promet la lune. J’attends de voir la liste des trois « miracles ». Mon compost est déjà plein à craquer, j’espère que ça ne demande pas un équipement spécial.

  78. Franchement, le terme « délaissées » me parle. J’ai l’impression de toujours me battre contre les mêmes, sans jamais me demander si elles ont une autre utilité. Hâte de lire la suite.

  79. Bof, un fertilisant de plus… J’ai déjà du mal à utiliser celui que j’achète. Le temps que ça fermente, j’aurai sûrement oublié l’astuce.

  80. Le titre est accrocheur, mais j’ai peur que ce soit encore une de ces solutions miracles qu’on nous vend. On verra bien, mais je reste sceptique.

  81. Ça me fait penser aux remèdes de grand-mère. On redécouvre des trucs simples, oubliés avec les produits tout faits. Si ça peut éviter d’acheter des engrais chimiques, c’est toujours ça de pris.

  82. C’est marrant, ça. J’ai toujours pensé que les « mauvaises herbes » étaient juste… mauvaises. Si ça peut me faire économiser quelques euros, je suis partant pour essayer.

  83. En tant que citadin qui jardine sur son balcon, ça ne me concerne pas vraiment. J’ai du mal à imaginer une invasion d’adventices dans mes pots de fleurs.

  84. Je suis curieux de savoir si c’est vraiment efficace sur les rosiers. Ils sont tellement gourmands, j’ai du mal à croire que ça suffira.

  85. J’espère juste que l’article détaillera bien comment faire, parce que mon compost sent déjà assez mauvais comme ça. Pas envie de créer une arme chimique involontaire !

  86. J’espère surtout que ça ne va pas attirer encore plus de bestioles indésirables dans mon jardin ! Un fertilisant, oui, mais pas au prix d’une invasion de limaces.

  87. Bof, encore une mode écolo de bobo parisien. Je suis sûr que mes poules feraient un meilleur boulot en mangeant ces « ressources ».

  88. Un fertilisant gratuit, ça sonne bien, mais est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle en termes de temps et d’efforts ? J’ai déjà du mal à désherber, alors les transformer…

  89. J’ai toujours pensé que les « mauvaises herbes » avaient leur utilité. Elles enrichissent le sol en se décomposant naturellement, pourquoi se compliquer la vie ?

  90. Je suis sceptique. J’ai essayé le purin d’ortie, et honnêtement, l’odeur a ruiné mon été. J’ai peur que ce soit la même chose, mais en pire.

  91. Je suis curieux de savoir quelles sont ces 3 adventices en particulier. Certaines sont vraiment envahissantes, d’autres moins. Le résultat dépend sûrement du type de plante.

  92. Moi, je me demande surtout si ça marche sur le liseron… Parce que si ça peut me débarrasser de cette horreur, je signe tout de suite !

  93. Franchement, ça me rappelle les conseils de ma grand-mère. Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme. Peut-être qu’elle avait raison.

  94. C’est marrant, ça. Je viens justement de passer l’après-midi à arracher ces fameuses « adventices ». J’aurais peut-être dû lire ça avant !

  95. J’espère juste que ça ne va pas attirer encore plus de bestioles indésirables dans mon jardin. Déjà que les limaces se régalent…

  96. L’idée est séduisante, mais le compost traditionnel me semble plus contrôlable. J’ai peur d’introduire des maladies dans mon sol.

  97. Tiens, un retour au naturel ! Ça change des engrais chimiques hors de prix. Si ça peut éviter de jeter et en plus booster mes tomates… pourquoi pas essayer sur une petite surface ?

  98. J’ai toujours un peu de scrupules à tout enlever. Elles abritent quand même des insectes, ça fait un écosystème. Tant qu’elles n’étouffent pas mes légumes…

  99. L’idée de les réutiliser me plaît, mais je me demande si certaines ne sont pas trop envahissantes pour les ramener, même transformées, au jardin. Je préfère les laisser mourir au soleil.

  100. MécanicienRetraité

    Ça me rappelle les conseils de ma grand-mère ! Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme. Je vais peut-être tenter l’expérience sur un coin de mon jardin. On verra bien !

  101. InstitutricePassionnée

    Intéressant. Je me demande si le jeu en vaut la chandelle en termes de nutriments réellement apportés. Faudrait une étude comparative avec un engrais bio du commerce.

  102. Je trouve l’idée intéressante, mais j’ai peur de me retrouver avec plus d’adventices l’année suivante, même après « transformation ». Un cercle vicieux, quoi.

  103. Le titre est un peu racoleur, non ? J’aurais préféré un article qui parle simplement de valoriser les « mauvaises herbes » plutôt que de pointer du doigt le jardinier qui « ose » pas.

  104. Moi, j’ai surtout peur d’introduire des maladies dans mon compost avec ces herbes « sauvages ». C’est déjà arrivé avec des feuilles de tomates.

  105. Mouais… C’est vrai qu’on culpabilise de jeter. Mais bon, ça me rappelle trop les orties qui piquent et les pissenlits qui envahissent tout. Laisser ça se décomposer, ça me donne pas envie.

  106. Franchement, le côté écolo me parle. Mais je me demande si mes voisins apprécieraient de me voir stocker un tas d’herbes « à pourrir » dans mon jardin… Le regard des autres, ça compte aussi !

  107. Guillaume Bernard

    Perso, je manque de temps pour ça. J’imagine que c’est bien, mais je préfère acheter un sac d’engrais au magasin. Plus simple !

  108. C’est vrai qu’on s’acharne à les enlever… Peut-être que je pourrais les utiliser comme paillage au pied de mes arbres fruitiers cet hiver ?

  109. Ça me fait penser au jardin de mon enfance, plein de « mauvaises herbes » qui finalement attiraient plein d’insectes. Peut-être qu’il y a un juste milieu entre le jardin parfait et le désert.

  110. C’est marrant, ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme. Faut juste savoir comment.

  111. Ça me rappelle mon défi de l’année dernière. J’avais essayé de faire un purin d’orties… L’odeur a tellement imprégné ma terrasse que j’ai failli divorcer!

  112. Intéressant, mais quels sont ces 3 adventices miracles ? Sans noms, l’article reste très vague et difficile à mettre en pratique.

  113. Bof, encore un article culpabilisant. Je préfère profiter de l’automne plutôt que de me sentir obligé de transformer chaque « mauvaise herbe » en miracle.

  114. J’ai l’impression qu’on redécouvre des trucs que les anciens savaient déjà. Ça me rassure, quelque part, de voir qu’on revient à des méthodes plus simples.

  115. Moi, ça me parle! J’ai un terrain argileux, hyper pauvre. Si ça peut l’aider naturellement, je suis preneur. Je vais me renseigner.

  116. Sébastien Bernard

    Moi, les « mauvaises herbes », je les laisse souvent volontairement. Ça fait un peu fouillis, mais les oiseaux adorent ça ! Un fertilisant, pourquoi pas, mais pas au détriment de la biodiversité.

  117. J’ai toujours pensé que ces herbes avaient leur place. Ça allège ma conscience de ne pas tout arracher compulsivement ! Et puis, ça fait travailler les lombrics, non ?

  118. C’est amusant comme on diabolise les « mauvaises herbes ». Je me demande si nos jardins ne seraient pas plus résilients si on les laissait faire leur vie un peu plus.

  119. Franchement, ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme. Mais bon, elle avait aussi des orties partout !

  120. Christophe Bernard

    Je me demande quelles sont ces trois adventices en particulier. Si c’est du chiendent, je passe mon tour ! J’ai déjà assez de mal à m’en débarrasser.

  121. Ça me titille l’idée ! J’ai toujours eu l’impression d’être en guerre contre mon jardin. Si je pouvais devenir un peu plus allié, ça me plairait.

  122. Un fertilisant gratuit, c’est tentant, mais j’ai surtout peur de me retrouver envahi l’année prochaine. Je crois que je vais m’en tenir à mon engrais vert habituel, au moins je maîtrise ce que je sème.

  123. François Bernard

    Bof, ça sent la tendance « zéro déchet » appliquée au jardin. J’ai peur que le résultat soit plus bordélique qu’autre chose.

  124. Grégoire Bernard

    Mouais, ça sent le truc compliqué pour pas grand chose. J’ai déjà du mal à entretenir mon potager, alors me lancer dans un truc en plus… non merci.

  125. Je suis curieux, mais ça dépend vraiment de la quantité de travail. Si c’est juste les laisser se décomposer sur place, pourquoi pas ?

  126. Moi, ce qui me fatigue, c’est le ton moralisateur. On dirait qu’on est coupable de jeter des herbes! J’ai un petit balcon, pas une ferme, alors…

  127. Je suis un peu sceptique. J’ai peur d’introduire des maladies en réutilisant ces « mauvaises herbes ». La tranquillité d’esprit a aussi un prix.

  128. J’avoue que l’idée me parle. J’ai plus l’impression de gaspiller qu’autre chose quand je les jette. Un peu de simplicité et d’auto-suffisance, ça fait du bien.

  129. Béatrice Bernard

    C’est vrai que le mot « adventice » fait tout de suite plus noble que « mauvaise herbe ». Est-ce que ça change vraiment la donne ? À voir…

  130. Intéressant, mais j’espère que l’article expliquera comment éviter de se faire envahir par les graines l’année suivante. C’est mon principal souci, en fait.

  131. Le titre est accrocheur, mais j’espère que l’article va plus loin que le compostage classique. J’aimerais savoir si certaines adventices sont plus intéressantes que d’autres pour cet usage.

  132. Pour moi, le vrai problème, c’est le temps. Est-ce que le gain en fertilisant compense le temps passé à gérer ça ? Le jardinage, c’est déjà une passion chronophage !

  133. Moi, ça me rappelle surtout les orties que mon grand-père mettait à macérer. L’odeur… beurk ! Mais ses tomates, alors là, c’était quelque chose.

  134. Mouais, j’attends de voir la liste des adventices en question. J’ai déjà eu de mauvaises surprises avec certaines qui se ressèment à tout va.

  135. Fertiliser, c’est bien, mais je me demande surtout si ça vaut le coup pour des petits jardins. On est loin des rendements agricoles !

  136. Tiens, c’est marrant, moi je les donne à mes poules. Elles adorent ça et ça limite leur facture d’alimentation. Un cercle vertueux, quoi.

  137. J’ai toujours eu l’impression de me battre contre la nature, alors que peut-être, elle essaie de me donner un coup de main. À tenter, on verra bien !

  138. C’est amusant cette idée. Ça me fait penser aux remèdes de grand-mère, toujours un peu mystérieux. J’espère que ça ne demande pas trop de manipulations !

  139. C’est une belle idée sur le papier, mais je me méfie des solutions miracles. J’ai peur de propager des maladies ou des parasites au jardin en faisant ça. Mieux vaut la prudence.

  140. Ça rejoint mon approche du jardin : moins de chimie, plus de bon sens. Si ça peut éviter d’acheter des engrais, je suis preneur.

  141. Bof, je suis pas sûr de vouloir rajouter du « sauvage » dans mon jardin déjà bien envahi. J’ai peur que ça empire la situation.

  142. Je composte déjà mes déchets de cuisine, alors pourquoi pas les « mauvaises herbes » ? Ça me semble une extension logique de ma démarche zéro déchet.

  143. Franchement, ça me parle. Le jardin, c’est déjà du temps, alors si je peux éviter d’aller à la déchetterie, c’est toujours ça de gagné.

  144. Je me demande si l’effort en vaut vraiment la chandelle. J’ai un petit jardin, et franchement, le temps que je passerais à gérer ça, je préfère le consacrer à planter des fleurs.

  145. J’avoue que l’idée de transformer ces « ennemies » en alliées me séduit. Ça a un côté revanche sur la nature que j’aime bien.

  146. Mouais, « rares sont les jardiniers à oser »… ça sent un peu le coup marketing pour un truc pas si révolutionnaire. J’utilise déjà mes orties en purin, alors trois autres plantes, bof.

  147. Catherine Bernard

    Je trouve l’idée intéressante, mais je suis surtout curieux de savoir si ça sent mauvais. Le compost, c’est déjà limite, alors si en plus ça attire les mouches…

  148. Tiens, intéressant. Moi qui passais mon automne à me battre contre ces herbes, ça me fait réfléchir. Une piste à creuser… peut-être.

  149. Les « rares sont les jardiniers à oser » me fait sourire. Ma grand-mère a toujours fait ça, sans étiquette « jardinage durable » ou autre. C’est juste du bon sens paysan, en fait.

  150. J’espère surtout que ça marche sur les pissenlits, parce que chez moi, c’est l’invasion ! Si ça peut éviter de me casser le dos à les enlever, je signe tout de suite.

  151. Le titre est prometteur, mais je me méfie. J’ai peur que le jeu n’en vaille pas la chandelle en termes de temps et d’énergie. Le jardinage, c’est déjà beaucoup d’heures !

  152. J’ai toujours peur d’importer des maladies dans mon jardin en réutilisant des plantes « sauvages ». C’est peut-être une fausse idée, mais je préfère la sécurité.

  153. Jacqueline Bernard

    Franchement, ça me rappelle mon père qui mettait tout au compost. Il disait que rien ne se perd, tout se transforme. J’imagine qu’il faisait ça sans le savoir, le « fertilisant naturel »…

  154. C’est marrant, j’ai toujours pensé que les « mauvaises herbes » épuisaient le sol. L’idée qu’elles puissent le nourrir ensuite, c’est un peu contre-intuitif, non ?

  155. Ça me rappelle les cueillettes de mon enfance. On ramassait plein de trucs que les autres ignoraient, et c’était toujours délicieux. Peut-être que ces « mauvaises herbes » ont aussi leur intérêt gustatif, au-delà du jardin.

  156. J’ai toujours eu l’impression que le désherbage, c’était surtout pour l’esthétique. Si ça peut servir à quelque chose de plus utile, pourquoi pas essayer?

  157. L’article est un peu sensationnaliste, non ? « Fertilisant miracle », j’attends de voir les preuves. Ça sent le truc compliqué pour pas grand-chose.

  158. Intéressant. Je me demande si ça marcherait aussi bien avec la terre argileuse de mon jardin. Ça pourrait être une solution pour l’alléger.

  159. Personnellement, je trouve ça bien de repenser nos pratiques au jardin. L’idée du fertilisant gratuit, c’est séduisant, surtout avec l’inflation. Reste à savoir si le résultat est vraiment visible.

  160. Je déteste le nom « adventices ». On dirait qu’on invente un mot savant pour ne pas dire « mauvaise herbe ». Je préfère les laisser pousser, ça attire les insectes.

  161. J’avoue, le titre m’a accroché. J’imagine déjà la fierté de ne plus rien jeter, de tout recycler… Un petit geste pour la planète, en somme.

  162. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois fameuses adventices. J’espère que l’article ne se contentera pas de généralités et donnera des noms précis.

  163. J’ai toujours pensé que les « mauvaises herbes » étaient une indication d’un sol déséquilibré. Peut-être qu’au lieu de les transformer en engrais, il faudrait d’abord chercher à comprendre pourqu…

  164. Je suis toujours un peu sceptique face à ces astuces « miracle ». J’ai peur que ça demande plus d’efforts que le gain réel en vaut la peine. On verra bien de quelles plantes il s’agit.

  165. Si ça peut éviter d’aller à la déchetterie, je suis partant. J’espère juste que ça ne va pas parfumer tout le quartier pendant la transformation !

  166. Mouais, transformer mes séances d’arrachage en recette de cuisine… ça me fait penser aux épinards de mon enfance. J’attends de voir si le goût est meilleur !

  167. Sébastien Dubois

    C’est marrant comme on culpabilise de jeter, même des trucs qui poussent tout seuls. Le vrai luxe, c’est peut-être de ne rien faire et laisser la nature se débrouiller ?

  168. Le titre est séduisant, mais j’ai peur de me retrouver envahi de pucerons l’année prochaine si je me lance là-dedans ! Je préfère la solution radicale : poubelle et on n’en parle plus.

  169. Franchement, ça me rappelle ma grand-mère qui gardait l’eau de cuisson des légumes pour les plantes. Ça doit demander une patience infinie, que je n’ai pas.

  170. L’idée est séduisante sur le papier, mais j’ai un petit jardin. Est-ce que le bénéfice en vaut vraiment la place que ça va prendre pendant des mois pour composter tout ça ?

  171. Je suis souvent débordé, mais l’idée de valoriser ces « mauvaises herbes » me parle. Ça donne un peu de sens à leur arrachage, au lieu de juste les détruire.

  172. Christophe Dubois

    Je me demande surtout si ce « fertilisant miracle » sera adapté à *toutes* mes plantes. J’ai un rosier qui fait sa diva, je doute qu’il apprécie le même régime que mes tomates!

  173. J’avoue, l’idée me fait un peu flipper. J’ai déjà du mal à gérer mon compost de cuisine, alors rajouter des « mauvaises herbes » par-dessus… ça sent le bazar sans fin.

  174. Moi, ce qui me gêne, c’est que « adventices » ça sonne tout de suite négatif. C’est peut-être juste une question de regard… et de patience.

  175. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois « adventices » en question. Tout le monde n’a pas les mêmes dans son jardin ! Sans savoir de quoi on parle, difficile d’adhérer.

  176. Moi, le côté « gratuit » m’attire beaucoup. Si ça peut éviter d’acheter de l’engrais, je suis preneur ! À tester sur une petite zone, on verra bien.

  177. Moi, j’ai surtout l’impression qu’on renomme juste le compostage pour que ça ait l’air nouveau… On fait ça depuis des lustres, non ?

  178. Bof, ça me paraît un peu culpabilisant comme approche. On a déjà assez de choses à faire sans se sentir coupables de jeter des « mauvaises herbes ».

  179. Franchement, le titre sonne un peu « gourou du jardinage ». On dirait qu’on a découvert un secret ancestral. J’ai l’impression que c’est surtout une façon de nous faire sentir plus écolo.

  180. Je me demande si l’investissement en temps (et en effort !) vaut vraiment le coup. Mon dos se souvient des heures passées à désherber…

  181. Je ne suis pas certain que toutes les « mauvaises herbes » soient bonnes à mettre au compost. J’ai peur d’introduire des maladies dans mon sol à long terme. Je préfère rester prudent.

  182. J’ai toujours pensé que c’était un peu dommage de considérer ces plantes comme des ennemies. Après tout, elles poussent bien, elles ! Peut-être qu’elles ont des leçons à nous donner sur la façon de nourrir la terre.

  183. C’est marrant comme on cherche toujours la complexité. Ma grand-mère, elle mettait tout au compost, sans se poser de questions. Ça poussait bien, point barre.

  184. Tiens, ça me rappelle quand j’étais gamin et que je jouais dans le jardin de mon oncle. Il disait toujours que la nature se débrouille très bien toute seule.

  185. Moi, ce qui me chiffonne, c’est le « rares sont les jardiniers à oser ». C’est pas de l’audace, c’est juste… du temps qu’on a pas toujours, non ?

  186. C’est vrai qu’on se focalise toujours sur « l’ennemi ». Mais en y pensant, c’est peut-être une façon de moins gaspiller et ça, ça me parle.

  187. Je suis curieux de savoir quelles adventices sont visées précisément. Certaines sont tellement envahissantes… J’ai déjà eu de mauvaises surprises.

  188. Franchement, le coup du fertilisant « que rares sont les jardiniers à oser », ça sent le marketing. Je me demande si le jeu en vaut la chandelle en termes de bénéfices réels pour le sol.

  189. C’est marrant, ça ! On dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Mon père a toujours fait ça, sans tambour ni trompette. Le jardin s’en porte très bien.

  190. Je me demande si ce n’est pas une bonne excuse pour ne pas désherber à fond. Le « fertilisant naturel », c’est séduisant, mais le jardin nickel aussi. Difficile de choisir!

  191. Honnêtement, j’ai toujours eu l’impression de me battre contre des moulins à vent avec ces « mauvaises herbes ». Si ça peut m’éviter d’acheter de l’engrais, je suis preneur, mais j’espère que ça n…

  192. Moi, j’avoue, ça me rappelle surtout mon enfance et la tête de mon grand-père penchée sur son tas de compost, fier comme Artaban. Le « miracle » du jardin, c’était surtout lui, pas les herbes.

  193. J’avoue que le titre m’a fait sourire. « Rares sont les jardiniers à oser » ? On dirait qu’on parle d’une potion magique interdite ! Moi, ce qui me freine, c’est surtout le temps.

  194. Le titre fait un peu « secret de grand-mère », non ? Moi, je me méfie un peu de ces solutions miracles. J’ai peur d’importer des maladies dans mon potager.

  195. J’ai l’impression qu’on redécouvre l’eau tiède ! Ma grand-mère a toujours fait ça, et son jardin était magnifique. C’est juste du bon sens paysan.

  196. Mouais… ça me fait penser au tri sélectif, tu vois ? Au début, on se dit « super pour la planète », et puis on se demande si tout est vraiment recyclé.

  197. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée de les laisser proliférer avant de les « valoriser ». J’ai déjà assez de mal à les contrôler !

  198. L’idée est séduisante, mais je me demande si ça vaut vraiment le coup en termes de nutriments apportés au sol. Est-ce que l’effort demandé est proportionnel au bénéfice réel?

  199. Jacqueline Dubois

    Ça me rappelle quand j’étais gamin et qu’on me forçait à manger mes épinards. L’idée est bonne, mais est-ce que ça me fera vraiment aimer les « mauvaises herbes » ?

  200. Je serais plus enclin à essayer si l’article expliquait comment éviter de réintroduire les graines des adventices dans mon sol. C’est mon principal souci.

  201. Franchement, le côté « ressource gratuite » me parle. Le budget jardin explose vite, alors si je peux gratter quelques euros… j’écoute !

  202. Honnêtement, je préfère admirer un jardin net. L’idée de les transformer est sympa, mais j’ai peur du côté « bricolage » et du résultat esthétique final. Un beau jardin, c’est aussi important!

  203. C’est marrant, ça me fait penser aux recettes de grand-mère pour utiliser les restes. Un peu comme transformer un vieux poulet en hachis Parmentier..

  204. Mouais… ça sent un peu le titre racoleur, non ? J’ai l’impression qu’on me vend du rêve. J’attends de voir les preuves avant de me lancer.

  205. Moi, j’avoue que le terme « adventices » me fait toujours un peu sourire. On dirait qu’on leur donne un nom savant pour mieux les accepter au jardin !

  206. Le jardinage, c’est déjà assez de boulot. Si je dois passer mon temps à trier et transformer les « mauvaises herbes », je préfère encore aller acheter de l’engrais.

  207. Tiens, ça me rappelle l’ortie que mon grand-père utilisait. Il disait que c’était un trésor caché pour les tomates. Peut-être que ces « adventices » sont dans la même veine.

  208. Les « adventices » sont souvent plus jolies que les fleurs que j’ai plantées. Pourquoi ne pas les laisser faire leur vie, tout simplement ?

  209. Transformer les « mauvaises herbes » en engrais ? Ça me paraît un peu trop beau pour être vrai. J’ai peur d’introduire des maladies dans mon sol sans le vouloir.

  210. J’ai toujours eu un faible pour les solutions simples. Si ça peut éviter d’acheter des produits chimiques, je suis preneur. Reste à voir si c’est vraiment aussi facile qu’ils le disent.

  211. L’idée est séduisante, mais je me demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle en termes de temps et d’énergie. J’ai un petit jardin, donc peut-être plus adapté pour les grands espaces ?

  212. Mouais, j’ai toujours un peu peur de faire n’importe quoi et de ruiner ma terre. Je crois que je vais m’en tenir aux méthodes éprouvées, même si c’est moins « écolo ».

  213. Intéressant… j’ai toujours pensé que le sol se débrouillait très bien tout seul, sans notre intervention. Peut-être que je devrais simplement moins désherber, finalement.

  214. J’ai toujours pensé que ce qui pousse spontanément est le meilleur indicateur de la santé du sol. Si ces « adventices » peuvent l’améliorer, pourquoi pas les aider ?

  215. Moi, ce qui me freine, c’est surtout l’identification. Comment être sûr de ne pas remettre au sol une plante qui va tout envahir ?

  216. Franchement, ça me rappelle les recettes de grand-mère. Toujours un peu aléatoire, mais parfois, ça marche du tonnerre ! Je vais tester sur une petite parcelle, on verra bien.

  217. Ça me fait penser aux orties qu’on mettait en purin. Un peu barbare, mais ça boostait bien les tomates ! J’imagine que c’est le même principe.

  218. J’avoue, le côté « rare jardinier qui ose » me pique la curiosité. Ça sent le truc à la fois simple et ingénieux qu’on a sous le nez.

  219. J’espère que l’article donnera des noms précis d’adventices. J’ai tellement galéré avec le liseron, je ne veux surtout pas l’aider à revenir !

  220. Mouais, la nature est bien faite. Je me demande si on n’en fait pas trop à vouloir toujours « aider » le jardin. Laisse faire la vie, quoi !

  221. Un fertilisant gratuit, c’est tentant. Mais j’ai peur de répandre des graines dormantes et d’avoir encore plus de boulot au printemps.

  222. Je suis plus du genre à observer comment les plantes se débrouillent seules. Peut-être que ces adventices ont un rôle que je ne vois pas encore…

  223. Je me demande si ça vaut le coup pour la quantité de fertilisant qu’on récupère. Le jeu en vaut-il la chandelle, en termes de temps et d’énergie?

  224. C’est vrai qu’on se focalise souvent sur ce qu’on doit acheter pour le jardin. L’idée de partir de ce qu’on a déjà, ça change un peu la perspective.

  225. Transformer mes « ennemis » en alliés, c’est une idée séduisante. Ça me rappellerait presque l’alchimie, transformer le plomb en or ! À tester, ne serait-ce que pour le côté poétique.

  226. Franchement, je préfère passer l’automne à me reposer et à profiter du jardin avant l’hiver. Le compost du commerce fait très bien l’affaire, et au moins je suis tranquille.

  227. L’idée me plaît, mais je suis surtout curieux de connaître les « 3 adventices » en question. Certaines sont tellement envahissantes que je préfère m’en débarrasser radicalement, fertilisant ou pas…

  228. Intéressant ! J’imagine le plaisir de dire adieu aux engrais chimiques, mais le dos… est-ce que ça ne demande pas un effort surhumain ?

  229. Ça me rappelle ma grand-mère qui utilisait tout, même l’eau de cuisson des légumes. Une belle leçon d’économie et de respect de la nature. J’essaierai sûrement.

  230. J’avoue que « adventices » ça sonne tout de suite plus noble que « mauvaises herbes ». Si ça peut m’éviter un aller-retour à la jardinerie, je suis preneur.

  231. L’article me parle, ça rejoint mon envie de simplifier au jardin. J’espère juste que la méthode est accessible, je n’ai pas la main verte de mon voisin !

  232. Je me demande si l’investissement en temps en vaut vraiment la chandelle. J’ai peur de me lancer dans un truc qui prendra des heures pour un résultat minime.

  233. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Mon jardin est déjà plein de ces « fertilisants » naturels sans que je m’en soucie.

  234. Je suis toujours partagé face à ces solutions « miracles ». J’ai peur de déséquilibrer mon sol plus qu’autre chose. Le risque zéro n’existe pas, même au naturel.

  235. J’ai toujours pensé que le jardin était un cycle. C’est logique de rendre à la terre ce qu’elle nous donne.
    ***
    C’est vrai que ça sonne bien, mais j’ai déjà tellement de choses à faire ! Je me demande si je vais vraiment trouver le temps.

  236. Je suis curieux de connaître les 3 adventices en question. Certaines sont vraiment coriaces, j’espère que ça ne les rendra pas plus fortes !

  237. Bof, encore un article qui promet la lune. J’attends de voir les détails, mais je sens déjà le truc compliqué qui va finir à la poubelle.

  238. Ça me rappelle ma grand-mère, elle faisait toujours ça ! Elle disait que rien ne se perd, tout se transforme. J’espère que l’article expliquera comment faire sans attirer les mauvaises odeurs.

  239. L’idée est séduisante, mais je n’ai pas la main verte. J’ai peur de faire plus de mal que de bien à mes pauvres tomates. Peut-être pour ceux qui savent y faire ?

  240. J’ai surtout peur de me tromper d’adventice et de me retrouver avec une invasion au printemps. Une photo pour être sûr, ce serait bien !

  241. Je suis assez novice en jardinage, mais l’idée me semble intéressante si l’article explique bien les étapes. Ça me motiverait à mieux connaître les plantes qui poussent chez moi.

  242. Franchement, le titre est un peu racoleur, non ? On dirait une pub pour un produit miracle. J’espère que l’article sera plus concret que ça.

  243. Jacqueline Durand

    Je suis toujours partagé avec ces astuces de jardinage. Le temps passé à préparer ces « fertilisants » maison, est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux le consacrer à biner et désherber ?

  244. Moi, c’est surtout le côté « rares sont les jardiniers » qui me fait sourire. On dirait qu’on est des idiots de jeter nos déchets verts. Ma poule, elle, se régale déjà de certaines adventices, et le reste finit en compost.

  245. Moi, j’avoue que je suis surtout fatigué de devoir encore faire quelque chose avec ces « mauvaises » herbes. Le jardinage, c’est déjà assez de boulot !

  246. Fertiliser avec les « mauvaises herbes », ça me rappelle l’époque où ma grand-mère utilisait tout, rien ne se perdait. Un vrai retour aux sources !

  247. Je suis curieux de savoir quelles sont ces trois plantes en particulier. J’ai un sol très pauvre, donc toute aide est la bienvenue, même si ça me demande un peu d’effort.

  248. Bof, ça sent le truc compliqué pour pas grand chose. Je préfère laisser la nature se débrouiller, ça fait bien le job en général.

  249. Mouais, ça dépend vraiment de ce qu’on appelle « adventice ». Chez moi, certaines sont tellement envahissantes qu’en faire du fertilisant risque surtout de les répandre encore plus…

  250. L’idée est sympa, mais j’ai peur des surprises. Mon voisin a essayé un truc similaire et s’est retrouvé avec une invasion de limaces au printemps.

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