La frustration de voir les prix à la pompe grimper sans cesse est un poids quotidien pour des millions d’automobilistes. Alors que chaque plein pèse déjà lourd dans le budget, une nouvelle directive européenne pourrait encore aggraver la situation dès 2027 en instaurant une taxe carbone supplémentaire sur les carburants.
Julien Dubois, artisan plombier de 42 ans en périphérie de Lyon, exprime son inquiétude : « Je dépends de ma camionnette pour travailler. Si le carburant augmente encore de 15 centimes, comment vais-je m’en sortir sans répercuter ça sur mes clients, qui n’ont déjà plus les moyens ? »
Quel est ce nouveau système qui menace votre portefeuille ?
Comme beaucoup, Julien utilise son véhicule tous les jours pour son activité professionnelle. C’est en lisant un article qu’il a découvert le projet ETS2. En quelques secondes, le calcul est fait : plus de 10 euros de surcoût par plein, soit des centaines d’euros en plus chaque année. Cette nouvelle le plonge dans une profonde incertitude quant à l’avenir de son entreprise.
Ce projet est en réalité un « marché du carbone » étendu au transport routier. Concrètement, les distributeurs de carburant devront acheter des « droits à polluer » pour le CO₂ émis. Ce coût sera inévitablement et légalement répercuté sur le prix final payé par les consommateurs à la pompe.
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Aborde également un sujet d'impact financier sur les ménages
Un impact chiffré sur votre budget quotidien
L’impact économique de cette mesure est direct et quantifiable. Les estimations les plus prudentes tablent sur une hausse d’environ 15 centimes par litre. Pour un automobiliste moyen, les conséquences se feront vite sentir. Ce sont surtout les ménages modestes et les classes moyennes, souvent dépendants de leur véhicule pour se rendre au travail, qui seront les plus touchés.
- Coût supplémentaire par plein (50 litres) : environ 11,50 euros.
- Surcoût annuel estimé (selon l’usage) : jusqu’à 650 euros pour certains conducteurs.
- Secteurs les plus touchés : artisans, professions libérales mobiles, salariés en zone rurale.
Au-delà de la pompe : les répercussions sociales et économiques
Il est crucial de noter que cette future taxe ne sera pas un événement isolé. Elle viendra s’ajouter à d’autres mécanismes qui pèsent déjà lourdement sur les prix des carburants, comme les certificats d’économie d’énergie (CEE) et l’obligation d’incorporer des biocarburants, souvent plus coûteux à produire. Cette accumulation de surcoûts risque d’aggraver une situation déjà tendue pour beaucoup.
Cette perspective soulève la question plus large de la « précarité mobilité ». Une étude récente estime que près de 15 millions de Français se trouvent déjà dans une situation où le coût de leurs déplacements constitue un frein majeur à l’accès à l’emploi, aux soins et à une vie sociale normale.
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Traite aussi d'un changement économique affectant le budget des Français
Facteur d’augmentation | Impact estimé sur le prix au litre |
---|---|
Taxe carbone ETS2 | + 0,15 € |
Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) | Variable, mais contribue à la hausse |
Incorporation de biocarburants | Surcoût de production répercuté |
Un risque de nouvelle crise sociale ?
Une telle mesure pourrait dangereusement accentuer la fracture sociale et territoriale. Le souvenir de la crise des « gilets jaunes », déclenchée en 2018 par une problématique similaire de taxe sur le carburant, reste particulièrement vif. La mobilité s’affirme plus que jamais comme un enjeu de société central, au carrefour des tensions économiques et des impératifs écologiques.
Face à cette perspective, les automobilistes devront anticiper un budget transport en nette hausse. Cette taxation s’inscrit dans une politique environnementale européenne plus large, dont les conséquences concrètes sur le pouvoir d’achat des citoyens restent un sujet de débat intense pour les années à venir.
2027, c’est demain ! Et pendant ce temps, on nous parle d’acheter des voitures électriques hors de prix… On oublie vite le quotidien de ceux qui ont besoin de leur voiture pour travailler.
Doublement des taxes ? On nous dit de faire des efforts, mais c’est toujours ceux qui ont le moins qui trinquent. J’espère qu’il y aura des aides concrètes pour ceux qui n’ont pas le choix.
Ah, l’Europe et ses bonnes idées… Encore une fois, on tape sur ceux qui ne peuvent pas changer de voiture. On se demande si les décideurs prennent vraiment le bus, parfois.
Ils parlent de 2027, mais on sait tous que les prix vont commencer à monter bien avant. C’est l’effet d’annonce, ça prépare le terrain.
Je suis curieux de voir l’impact réel sur l’inflation, au-delà du prix à la pompe. Tout augmente déjà tellement.
J’ai peur pour mes parents à la retraite. Leur voiture, c’est leur liberté. Comment ils vont faire pour aller voir leurs petits-enfants ?
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment servir à quelque chose pour la planète, ou juste à remplir les caisses.
Cette taxe, c’est une douche froide pour ceux qui comme moi, ont déjà du mal à joindre les deux bouts. On nous parle transition écologique, mais ça ressemble plus à une punition.
Je me demande si c’est pas un peu court comme horizon, 2026. On nous laisse pas le temps de s’adapter, de changer nos habitudes.
J’ai l’impression qu’on stigmatise encore une fois ceux qui vivent loin des villes. On fait comment pour aller bosser sans voiture dans certains coins ?
Franchement, j’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. La transition écologique, oui, mais pas à n’importe quel prix.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle toujours de la taxe, jamais des alternatives concrètes et abordables pour ceux qui sont obligés de prendre leur voiture.
Doublement des taxes ? Ça va inciter à se bouger pour trouver des solutions alternatives, non ? Peut-être que c’est un mal pour un bien, à long terme.
Moi, je me demande si les décideurs ont déjà essayé de faire 50 bornes en voiture tous les jours avec un salaire moyen. On dirait qu’ils vivent sur une autre planète.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent que les entreprises aussi ont besoin de carburant. Qui va payer quand elles augmenteront leurs prix à cause de ça ?
Et pendant ce temps, les avions continuent de voler à moitié vides. Cherchez l’erreur.
J’ai l’impression que cette annonce va surtout profiter aux constructeurs automobiles. Encore une incitation déguisée à acheter du neuf, électrique évidemment.
C’est toujours la même rengaine : on tape sur le porte-monnaie des gens. Personne ne parle jamais de revoir les marges des pétroliers, tiens !
C’est pas juste une question de prix à la pompe, c’est toute notre façon de vivre qu’on remet en question. Ça me force à me demander si je suis prêt à faire les sacrifices nécessaires.
On nous parle toujours de l’impact sur le portefeuille, mais moins du stress que ça ajoute. Chaque trajet devient une angoisse.
J’ai l’impression que ça va surtout créer des tensions entre les villes et les campagnes. Comment on fait quand on n’a pas le choix de la voiture ?
On dirait qu’on construit un futur où seuls les riches peuvent se déplacer librement. La mobilité devient un luxe, c’est ça ?
On nous demande toujours des efforts, mais est-ce qu’on voit vraiment des améliorations concrètes en retour ? J’ai l’impression de pédaler dans le vide.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le prix, c’est l’impression qu’on nous infantilise. On ne nous explique jamais vraiment le « pourquoi » de ces décisions.
Moi, je pense à ma petite Seat de 2008. Elle passera pas le contrôle technique dans 3 ans. On fait comment pour la changer si le carburant coûte un bras ?
Moi, ça me fait penser à mes parents à la retraite. Ils habitent à 20 bornes du premier supermarché. Ils vont faire comment, eux ? C’est pas comme s’ils pouvaient se permettre une voiture électrique.
Ça me fait peur pour les petits commerces en dehors des villes. Comment ils vont faire pour se fournir si le transport devient exorbitant ?
Moi, je me demande si cette taxe sera vraiment efficace pour l’environnement ou juste une nouvelle façon de remplir les caisses de l’État.
Moi, j’ai l’impression qu’on nous pousse à la résignation. On encaisse sans broncher, en se disant que de toute façon, on n’a pas le choix.
Ras le bol de ces décisions prises à Bruxelles sans penser aux réalités du terrain. On est pas tous égaux face à ces augmentations.
Doublement des taxes ? Encore un truc pondu par des gens qui n’ont jamais galéré à finir le mois.
J’ai peur. Pas pour moi, mais pour mes enfants. Quel avenir on leur laisse ?
Ils parlent environnement, mais on dirait surtout qu’ils parlent porte-monnaie.
Doublement ? C’est plus une transition énergétique, c’est un braquage.
Je comprends l’urgence climatique, mais est-ce qu’on a vraiment pensé à ceux qui n’ont pas d’autre choix que leur voiture pour bosser ?
J’ai toujours l’impression qu’on punit les classes moyennes. On fait des efforts, mais ça ne suffit jamais.
On nous parle toujours des inconvénients, mais pas assez des alternatives concrètes proposées. C’est ça qui me manque.
On nous demande toujours de payer. Mais où va l’argent exactement ? C’est ça la vraie question.
C’est facile de taper sur la voiture, mais les transports en commun sont-ils vraiment une option viable pour tous, surtout en zone rurale ?
C’est peut-être le coup de pouce qu’il faut pour enfin forcer l’innovation. Espérons que les constructeurs auto réagissent vite.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits commerçants. Si les gens limitent leurs déplacements, ils feront moins tourner l’économie locale.
Je me demande si on a vraiment évalué l’impact psychologique de ces annonces répétées. L’anxiété que ça génère au quotidien est énorme.
Je fais du covoiturage maintenant, mais combien de temps ça va durer avant que ce ne soit plus rentable pour personne ?
Moi, j’ai peur que ça crée encore plus de tensions entre ceux qui peuvent et ceux qui ne peuvent pas. C’est un cercle vicieux.
Doubler les taxes ? Ça va juste encourager le marché noir, comme toujours. On aura du carburant « de contrebande » et personne n’y gagnera.
On dirait qu’on veut nous faire changer de voiture à coups de bâton plutôt qu’avec une carotte. Perso, je préférerais voir des aides massives pour l’électrique.
Je comprends l’objectif, mais c’est juste une autre façon de dire aux classes populaires qu’on ne les écoute pas.
En tant que retraité, je me dis que le gouvernement oublie une chose : beaucoup d’entre nous ont déjà fait des sacrifices toute leur vie.
Et les entreprises, elles font quoi pendant ce temps ? On parle toujours des particuliers, mais les grosses boîtes, elles ne polluent pas, peut-être ?
On nous dit que c’est pour la planète, mais j’ai l’impression qu’on nous prend surtout pour des vaches à lait. À qui profite vraiment cette taxe ?
J’ai l’impression qu’on oublie toujours que certains métiers nécessitent un véhicule. Comment je fais, moi, pour aller réparer une chaudière à 30 bornes en vélo ?
C’est toujours la même rengaine : on nous parle de 2027, mais ça commence déjà à se faire sentir dans le porte-monnaie. L’avenir, c’est maintenant.
Je me demande si cette taxe va vraiment changer nos habitudes ou juste rendre la vie plus dure. J’ai peur qu’elle n’atteigne pas son but.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le prix, c’est l’incertitude. Comment on planifie quoi que ce soit dans ces conditions ?
Moi, je suis surtout curieux de savoir comment cette taxe va être appliquée concrètement. Est-ce que ça sera uniforme partout en Europe ? Parce que sinon, bonjour les distorsions de concurrence…
Moi, je me demande si nos dirigeants réalisent à quel point la voiture est une prison pour beaucoup d’entre nous.
On va encore nous dire de prendre les transports en commun. Facile à dire quand on habite à la campagne…
C’est toujours aux mêmes de payer. Ma petite voiture, c’est ma liberté, et on me la rogne petit à petit.
Je suis partagé. D’un côté, il faut agir pour le climat. De l’autre, je vois mal comment les familles modestes vont s’en sortir.
C’est facile de taper sur la voiture quand on a un chauffeur et un salaire confortable. Ils oublient qu’on n’a pas tous le choix.
On nous parle toujours de solutions, mais jamais d’alternatives abordables et pratiques.
J’ai l’impression qu’on nous infantilise. On nous annonce une punition sans expliquer comment on pourrait être « bons élèves ».
Je crois qu’on oublie souvent le temps passé dans les transports. Cette taxe, c’est aussi une taxe sur notre temps libre.
Et pendant ce temps, les cargos continuent de polluer les mers sans que personne ne bronche. Deux poids, deux mesures, comme d’habitude.
C’est toujours la même rengaine : on nous parle de transition, mais on nous met le couteau sous la gorge. Pourquoi ne pas aider financièrement les gens à changer de véhicule plutôt que de les pun…
On dirait qu’on parie sur notre dos pour une course à l’électrique qu’on n’a pas tous les moyens de gagner.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la désertification des campagnes si ça continue comme ça. Qui va encore vouloir vivre loin des villes ?
Moi, ce qui me fait peur, c’est que ça crée encore plus de tensions entre ceux qui peuvent et ceux qui ne peuvent pas. On risque de se diviser encore plus.
Je me demande si cette taxe va réellement changer les comportements ou juste nous forcer à rogner sur autre chose. J’ai peur que ça ait l’effet inverse et qu’on se braque.
Doublement des taxes ? Encore une mesure prise loin du terrain. Ils ne comprennent pas le quotidien de ceux qui dépendent de leur voiture pour travailler.
Je suis plus inquiet pour les petites entreprises. Comment vont-elles absorber ces coûts supplémentaires sans licencier ou augmenter leurs prix ? C’est un cercle vicieux.
C’est facile de taper sur ceux qui n’ont pas le choix, mais les citadins qui prennent le métro tous les jours, ils paient comment leur empreinte carbone ? C’est toujours les mêmes qui trinquent.
Je n’ai même pas les moyens de changer de voiture. C’est comme si on me demandait de sauter dans le vide.
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment aller où ils disent. J’ai l’impression qu’on nous prend pour des pigeons.
On parle beaucoup de l’impact financier, mais qu’en est-il de l’impact psychologique ? Cette angoisse permanente d’arriver à joindre les deux bouts, c’est ça qui me pèse le plus.
C’est toujours la même rengaine, on nous culpabilise. On dirait que le progrès, c’est de revenir en arrière. Bientôt, on voyagera à dos d’âne ?
On nous parle toujours de l’impact pour les actifs. Mais qu’en est-il des retraités qui vivent à la campagne et dépendent de leur voiture pour les courses et les visites médicales ? On les oublie, ceux-là.
Et les véhicules hybrides, ils sont pris en compte comment dans tout ça ? On encourage l’achat, mais après…
Si seulement cet argent pouvait servir à développer un vrai réseau de transports en commun en dehors des grandes villes. Un truc qui fonctionne et qui soit une alternative crédible.
Moi, ce qui me fait peur, c’est l’inflation que ça va générer sur tous les produits. Le transport, c’est la base de tout, non ?
J’ai peur que cette mesure n’éloigne encore un peu plus les gens de la politique. On a l’impression d’être pris en otage.
C’est un coup dur, mais je me demande si ça va vraiment changer les comportements. Les gens continueront à rouler, non ?
Doublement des taxes… Encore une fois, on tape sur les mêmes. Et pendant ce temps, les vrais pollueurs continuent de s’en mettre plein les poches.
Je comprends la nécessité de bouger, mais j’aimerais qu’on nous explique clairement comment cette taxe va concrètement aider l’environnement.
Ça sent la voiture électrique obligatoire à terme… Et pas le choix de la marque, non plus.
2026, c’est demain… J’ai investi dans une voiture récente il y a deux ans, je vais la garder le plus longtemps possible. Tant pis pour les ZFE.
Ils veulent qu’on change nos habitudes, mais ils ne nous donnent pas les moyens de le faire du jour au lendemain. C’est facile de taxer, moins de proposer des solutions viables pour tous.
J’en ai marre d’être toujours montré du doigt. On dirait qu’on est les seuls responsables du problème.
On parle d’environnement, mais est-ce qu’on pense vraiment aux conséquences sur les petits commerces en zone rurale ?
C’est sûr qu’on va encore entendre les mêmes discours culpabilisateurs. Moi, ce qui me fatigue, c’est ce sentiment d’impuissance face à ces décisions prises loin de nous.
Moi, je me demande surtout si l’argent de ces taxes sera vraiment utilisé pour développer des alternatives crédibles. J’ai des doutes.
Franchement, je me demande si c’est pas une façon détournée de financer autre chose en nous faisant croire qu’on sauve la planète.
J’ai peur. Peur de ne plus pouvoir rendre visite à mes petits-enfants à la campagne.
On nous parle toujours du coût pour le consommateur, mais quid du coût pour les entreprises ? C’est l’économie entière qui risque de prendre un coup.
Moi, ce qui me fait peur, c’est le fossé qui se creuse entre les villes et les campagnes. On dirait qu’on oublie qu’il y a une vie en dehors des métropoles.
C’est toujours la même rengaine, on nous dit que c’est pour notre bien, mais on ne voit jamais le bout du tunnel. On nous demande de serrer la ceinture, mais qui la serre vraiment ?
Attendons de voir le texte exact. Doublement, ça me paraît énorme. Il faudra vraiment des compensations.
Plus que la taxe, c’est l’effet domino que je crains. Qui va payer au final ? Le consommateur, toujours.
Doublement des taxes ? C’est pas qu’une question de budget, c’est qu’on nous force à changer, sans nous donner les moyens de le faire dignement.
C’est facile de taper sur les automobilistes. Qu’on commence par taxer les jets privés et les cargos, non ?
Je me demande si cette taxe ne va pas juste inciter les gens à garder leurs vieilles voitures plus longtemps, polluant encore plus.
Moi, je me demande si on a vraiment évalué l’impact sur les petits artisans. Comment ils font pour bosser, eux ? Le camion, c’est pas une option, c’est un outil.
On nous parle toujours de l’avenir, mais moi, je me sens coincé dans le présent. Comment on fait, concrètement, pour changer ?
Bof. Encore une mesure prise à Bruxelles sans penser aux gens qui bossent vraiment. On va nous dire que c’est pour la planète, mais ça sent surtout la punition.
Moi, j’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. On se saigne déjà pour le carburant, là c’est carrément nous achever.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’écart qui se creuse. Entre ceux qui peuvent et ceux qui triment. On dirait qu’on oublie qu’on vit pas tous dans les mêmes conditions.
J’ai l’impression qu’on nous infantilise. On nous dit « c’est pour votre bien », mais qui a décidé ce qui est bon pour moi ?
Cette mesure, ça risque surtout de faire exploser les tensions, non ? Déjà que l’ambiance est pas au beau fixe…
Je me demande si cette taxe va vraiment servir à quelque chose, à part rendre les gens encore plus en colère. On dirait qu’on punit tout le monde sans offrir de solutions abordables pour se déplacer autrement.
C’est bien beau de parler transition, mais moi, je fais comment pour emmener mes enfants au sport le week-end, hein ? Il n’y a pas de bus à 20 bornes à la ronde.
Doubler les taxes, c’est ignorer que beaucoup n’ont tout simplement pas le choix. La voiture est une nécessité, pas un luxe.
C’est toujours la même rengaine, on tape sur le portefeuille. J’ai l’impression qu’on oublie que le pouvoir d’achat est déjà bien entamé.
Et si on arrêtait de voir le carburant comme le seul responsable ? Les constructeurs auto se gavent aussi, non ? On ne parle jamais de leurs marges.
Si c’est pour financer des alternatives concrètes et accessibles, je suis prêt à faire un effort. Mais j’attends de voir où va l’argent, et surtout, si ça aide vraiment les familles modestes.
Et pendant ce temps, les jets privés des grands patrons, on en parle quand ? Deux poids, deux mesures, comme d’habitude.
On parle beaucoup des automobilistes, mais les transporteurs routiers, on y pense ? Qui va payer l’addition finale, à votre avis ? Le consommateur, comme d’habitude.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’effet boule de neige. Chaque augmentation en entraîne une autre, et au final, c’est le commerce local qui trinque.
Moi, ce qui me dérange, c’est cette impression de subir. On nous met devant le fait accompli sans jamais nous demander notre avis. C’est ça qui est le plus frustrant.
Moi, ce qui me sidère, c’est cette déconnexion totale avec le quotidien des gens qui bossent. On dirait qu’ils vivent sur une autre planète.
Moi, j’ai surtout peur que ça creuse encore les inégalités entre ceux qui peuvent se permettre de changer de voiture et les autres. On va se retrouver avec une France à deux vitesses, c’est ça ?
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment changer nos habitudes. J’ai peur que ce soit juste une excuse pour renflouer les caisses de l’État.
Personnellement, je me demande si cette mesure ne va pas encourager les gens à moins se déplacer, et donc à consommer moins localement. Un cercle vicieux, quoi.
C’est toujours les mêmes qui trinquent. Moi, le vélo, ça va bien pour aller chercher le pain, mais pour livrer des chantiers… comment je fais ?
C’est bien beau de taxer, mais on oublie qu’on n’a pas tous le choix de notre mode de transport. Ma mère, elle habite à la campagne, sans voiture, elle est coupée du monde.
Franchement, ça me fatigue ces annonces. On nous culpabilise sans arrêt alors que les alternatives crédibles tardent à venir.
C’est peut-être le coup de pouce qu’il faut pour enfin investir dans le covoiturage ? Faut voir le bon côté des choses…
Doublement des taxes ? J’ai l’impression qu’on nous force à choisir entre notre liberté et notre porte-monnaie. C’est un peu violent comme méthode, non ?
J’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait, et que l’écologie sert surtout d’alibi. Ça me donne envie de tout laisser tomber.
J’ai l’impression qu’on nous sert toujours le même discours. On nous parle de taxe, mais jamais de solutions concrètes et abordables pour tous.
Si ça peut financer la transition énergétique et réduire notre dépendance aux énergies fossiles, à long terme, c’est peut-être un mal pour un bien.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le timing. On est déjà à la gorge, comment ils imaginent qu’on va absorber ça ?
Moi, je me demande si on a vraiment évalué l’impact sur les petites entreprises. Mon mari est chauffeur-livreur indépendant, ça risque de le mettre sur la paille.
On nous demande toujours plus, mais est-ce que nos salaires suivent, eux ?
Et pendant ce temps, les jets privés continuent de voler… ça me semble injuste.
On dirait qu’ils veulent nous faire changer de voiture, mais une électrique, c’est pas le même budget qu’une Clio d’occasion.
Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on nous présente ça comme une fatalité. On dirait qu’il n’y a aucune alternative à la voiture individuelle, c’est ça le pire.
2026, c’est demain. J’ai l’impression que cette échéance est beaucoup trop rapprochée pour que les gens puissent s’adapter.
J’imagine déjà la panique à la pompe. On va se battre pour quelques centimes.
Doublement des taxes ? Ils veulent vider nos poches ! Je vais devoir choisir entre manger et aller travailler. La voiture, c’est pas un luxe pour moi, c’est un outil.
J’ai l’impression que c’est toujours les mêmes qui trinquent, ceux qui n’ont pas le choix.
Je me demande si cet argent sera vraiment utilisé pour des alternatives durables. J’aimerais voir des preuves concrètes avant d’y croire.
Si ça peut aider à respirer un air plus propre pour mes enfants, je suis prêt à faire des efforts. Mais il faut que ça serve vraiment.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la tension sociale que ça va créer. On est déjà à cran, alors une taxe de plus… ça risque de faire des étincelles.
Franchement, je me demande si c’est pas une façon déguisée de nous forcer à vivre en ville. La campagne, bientôt, ça sera réservé aux riches ?
Ce n’est pas en matraquant le porte-monnaie qu’on va convaincre les gens. On dirait qu’ils oublient qu’on n’habite pas tous dans le centre de Paris.
On parle toujours des automobilistes, mais les transporteurs routiers, eux, ils vont faire comment ? Qui va payer la facture finale, à votre avis ?
Moi, ce qui me frappe, c’est l’impact sur les petites entreprises. Comment elles vont absorber ça, sans répercuter sur leurs prix ?
C’est une douche froide, mais peut-être un mal nécessaire. J’aimerais voir des solutions pour ceux qui ne peuvent vraiment pas faire autrement.
C’est bien beau l’écologie, mais quand est-ce qu’on pense à ceux qui ont besoin de leur voiture pour le travail ? On rogne déjà sur tout.
Doublement des taxes… Ça me fait penser aux vacances d’été qu’on devra peut-être oublier cette année.
On nous dit que c’est pour notre bien, mais j’ai surtout l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. Et pendant ce temps, les jets privés continuent de voler…
2026, ça laisse peu de temps pour anticiper. J’espère que les aides à la conversion seront à la hauteur, sinon, c’est l’impasse pour beaucoup.
Doublement des taxes, c’est un coup dur. J’espère juste que l’argent ira vraiment à des alternatives concrètes, pas dans des trous noirs.
Je suis curieux de savoir si cette taxe touchera aussi le fioul domestique. L’hiver risque d’être rude pour beaucoup…
J’en ai marre de ce discours culpabilisant. J’ai pas choisi de vivre à la campagne et je ne peux pas faire autrement que de prendre ma voiture. On fait quoi, on déménage tous à Paris?
Je me demande si on a vraiment mesuré l’impact psychologique de toutes ces annonces. On nous bombarde de mauvaises nouvelles, c’est usant.
Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est la fracture territoriale qui va s’aggraver. On parle beaucoup de transition, mais elle sera pas vécue de la même façon partout.
On parle toujours de l’impact sur les travailleurs, mais qu’en est-il des retraités avec des petites pensions ? Ils sont aussi dépendants de leur voiture pour les courses et les visites médicales.
Moi, ce qui me sidère, c’est l’écart entre les discours et la réalité. On nous parle de transition, mais on nous propose surtout des taxes.
C’est le genre de mesure qui va braquer encore plus les gens contre l’écologie. On dirait qu’ils cherchent à créer des tensions.
Je comprends l’objectif, mais j’ai peur que ça pousse beaucoup de gens à bout. On risque de voir une explosion du marché noir.
Je suis passé à l’électrique il y a deux ans, et honnêtement, je revis. L’investissement initial pique, mais après, c’est le bonheur.
On nous demande toujours plus d’efforts, mais est-ce qu’on voit des résultats concrets pour l’environnement ? J’ai l’impression de payer pour rien.
Et pendant ce temps, les avions continuent de voler… Drôle de priorité.
Si ça continue comme ça, le vélo va devenir un luxe.
Moi, j’aimerais juste savoir où va tout cet argent. On nous parle de transition énergétique, mais on ne voit pas les bénéfices pour nos trajets du quotidien.
J’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. On finance la transition, très bien, mais à quel prix pour nos vies ?
C’est toujours la même rengaine. On tape sur ceux qui n’ont pas les moyens de changer de voiture.
C’est facile de taper sur l’automobiliste, mais on oublie ceux qui habitent à la campagne, sans transports en commun. Comment ils font, eux ?
Doublement des taxes… Ça va forcer l’innovation, non ? Peut-être des solutions auxquelles on ne pense même pas encore.
2026, c’est demain… J’espère juste qu’ils penseront à ceux qui ont besoin de leur voiture pour bosser, sinon ça va être la catastrophe.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la répercussion sur les prix des produits de première nécessité. Tout est transporté par camion, non ?
Je me demande si cette taxe va réellement changer nos habitudes, ou si on va juste râler en payant plus cher.
Ça me rappelle les Gilets Jaunes. On n’a rien appris ?
Ils nous disent de faire des efforts, mais est-ce qu’eux montrent l’exemple ? J’aimerais bien voir leurs notes de frais de déplacement…
Moi, ça me fait surtout peur pour les petits commerçants. Ils vont tenir le coup, eux ?
On nous parle toujours de l’impact sur le porte-monnaie, mais quid de la liberté de se déplacer ? C’est ça aussi qui est touché.
Personnellement, je suis surtout las. Encore une promesse de lendemains qui chantent, financée par mes impôts.
J’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait, toujours la même rengaine. On paie, on paie, et on voit jamais le résultat.
Plus que la taxe, c’est l’échéance si proche qui m’angoisse. Comment anticiper un tel changement en si peu de temps ?
Moi, ce qui me frappe, c’est le silence sur les alternatives concrètes. On taxe, ok, mais on propose quoi en échange ?
Et l’impact sur le tourisme ? Les vacances en voiture, ça va devenir un luxe.
C’est toujours les mêmes qui trinquent, ceux qui n’ont pas le choix.
C’est pas tant le prix qui m’inquiète, mais la qualité des transports en commun en dehors des grandes villes. On fait comment, concrètement ?
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment changer les comportements ou juste appauvrir les gens. Le résultat, c’est ça qui compte.
Ils devraient peut-être commencer par montrer l’exemple, non ? Moins de voyages en avion pour les décideurs, ça serait un bon début.
On dirait qu’on veut nous forcer à changer, mais est-ce qu’on a vraiment le choix ? Je me sens coincé, tout simplement.
Moi, ce qui me dérange le plus, c’est qu’on parle toujours des artisans, mais jamais des infirmières à domicile. Elles aussi, elles ont besoin de leur voiture.
Doublement des taxes ? Je viens de finir de payer ma voiture, super. On va finir par devoir la laisser au garage.
Est-ce qu’on prend en compte le coût du remplacement de nos chaudières fioul, déjà ? On va nous ruiner.
Doublement des taxes… Ça me rappelle l’époque où j’ai galéré à trouver un boulot près de chez moi. On nous dit de se déplacer, mais après on nous taxe. Y a comme un truc qui cloche, non ?
J’ai l’impression qu’on nous demande de faire des efforts sans nous donner les moyens de les faire correctement. On dirait un peu qu’on nous met le couteau sous la gorge.
On parie que l’argent de ces taxes ira financer autre chose que la transition écologique ? J’ai du mal à croire à la transparence.
Moi, j’ai surtout peur que ça creuse encore plus le fossé entre les villes et les campagnes. On n’a pas tous le choix de télétravailler.
Moi, j’attends surtout de voir les alternatives concrètes et abordables qui seront mises en place. C’est bien de taxer, mais faut pas oublier ceux qui sont déjà au ras des pâquerettes.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la rapidité du changement. On nous demande une adaptation brutale, sans tenir compte des réalités économiques de chacun.
Et les entreprises qui ont des flottes de véhicules, elles feront comment ? Encore une fois, les particuliers paient pour tout le monde.
Je me demande si cette taxe va vraiment changer nos habitudes ou juste nous appauvrir plus vite.
Moi, je me demande si nos élus comprennent vraiment ce que c’est que de bosser avec un véhicule. C’est pas un luxe, c’est un outil.
J’ai l’impression qu’on punit ceux qui n’ont pas les moyens de faire autrement. C’est toujours les mêmes qui trinquent.
On parle toujours de l’impact sur le porte-monnaie, mais qu’en est-il de l’impact psychologique de ces hausses incessantes ? Ça use, cette impression constante d’être étranglé.
C’est toujours la même rengaine. On parle de taxes, mais jamais de solutions pour ceux qui galèrent déjà.
Je crois que l’état devrait d’abord encourager les constructeurs à produire des voitures électriques abordables avant de nous matraquer de taxes.
Si seulement cet argent servait réellement à améliorer les transports en commun en zone rurale…
Encore un coup dur pour les budgets des familles. On nous parle de transition écologique, mais à quel prix ? Est-ce que cette taxe va réellement inciter les gens à changer leurs habitudes ou juste…
Attendons de voir les détails. « Doublement » peut vouloir dire beaucoup de choses. Est-ce que ça s’appliquera à tous les carburants, partout ? L’urgence climatique est réelle, mais la faisabilité sociale doit suivre.
Je sens que ma petite voiture va bientôt finir au garage. Le vélo, c’est bien, mais pas pour aller faire les courses au supermarché à 20 bornes.
C’est facile de dire « transition écologique » quand on a les moyens. Moi, je vois surtout ma liberté de mouvement réduite.
Et si, au lieu de nous taxer, on se concentrait sur l’innovation ? Des carburants alternatifs vraiment viables, par exemple. Ça changerait la donne, non ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits commerçants et artisans. Comment ils vont faire pour rester compétitifs ?
Moi, j’ai surtout peur que ça ne fasse qu’enrichir l’État, sans réel changement dans nos vies. On va payer plus, c’est sûr, mais pour quel résultat concret ?
J’ai l’impression que cette mesure va surtout creuser le fossé entre ceux qui peuvent s’adapter et ceux qui sont coincés.
Le coup de massue! Moi qui comptais justement changer de voiture l’année prochaine… ça remet tout en question.
Doublement des taxes ? C’est pas le moment, avec l’inflation. J’ai peur que ça pousse encore plus de gens à bout.
J’ai l’impression qu’on est toujours les mêmes à trinquer. On nous demande des efforts sans nous donner les moyens de les faire.
Ils veulent qu’on passe à l’électrique, mais avec quoi je la recharge, ma voiture, si le prix de l’électricité augmente aussi ? C’est le serpent qui se mord la queue.
On dirait qu’ils veulent nous forcer à vivre comme au Moyen-Âge, sans nous demander notre avis.
Je me demande si cette mesure a été pensée pour les territoires ruraux. On ne peut pas tous prendre le bus ou le vélo…
Au-delà de l’impact financier direct, c’est l’impression d’être pris pour des vaches à lait qui me dérange le plus. On nous culpabilise sans cesse.
C’est facile de taper sur le carburant, mais le fret routier, on en parle ? Qui va payer l’addition au final ?
Si c’est pour investir dans des transports en commun efficaces et abordables, je suis prêt à faire un effort. Mais j’attends de voir des actes, pas juste des promesses.
Moi, ce qui me fait peur, c’est le risque de tensions sociales. On voit bien que les gens sont à cran, ça pourrait exploser.
Franchement, je suis plus inquiet pour mes enfants. Qu’est-ce qu’ils vont pouvoir se payer comme voiture, plus tard, avec ces augmentations ?
Moi, ce qui m’énerve, c’est qu’on nous présente ça comme une fatalité. On dirait qu’il n’y a pas d’autres solutions que de nous taxer toujours plus.
Moi, j’essaie de rester optimiste. Peut-être que cette taxe forcera enfin les constructeurs à innover sérieusement sur des voitures moins gourmandes ? On verra bien…
Et pendant ce temps, les jets privés continuent de voler… C’est toujours les mêmes qui trinquent.
J’ai l’impression qu’on nous demande toujours de payer pour réparer les erreurs des autres. On devrait plutôt se concentrer sur les vrais pollueurs industriels.
C’est toujours la même rengaine, mais là, doubler les taxes ? Je me demande comment les familles vont faire pour les vacances.
Taxer le carburant, c’est ignorer les réalités rurales. Sans voiture, comment je fais pour aller bosser ou faire mes courses ?
Ça me fait penser que je devrais peut-être sérieusement me pencher sur le covoiturage pour mes trajets domicile-travail.
Encore une fois, on touche à ce qui fâche le plus : le portefeuille. J’ai l’impression que l’écologie est devenue une excuse pour nous soutirer toujours plus.
Je me demande si cet argent sera vraiment utilisé pour la transition écologique, ou s’il finira dans les caisses de l’État.
Si ça peut aider à respirer un air plus propre pour mes petits-enfants, je suis prêt à faire des efforts. Mais j’aimerais voir des résultats concrets, pas juste des promesses.
Doublement des taxes ? Ils veulent qu’on se mette au vélo en plein hiver, sous la pluie ? Merci bien.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le prix à la pompe. C’est surtout qu’on va encore nous promettre des aides pour changer de voiture, et que ça profitera encore qu’aux plus riches.
Moi, je me demande si ça va vraiment changer les comportements. J’ai peur que les gens continuent à rouler, mais en moins bien entretenant leur voiture.
J’ai peur que cette mesure stigmatise encore plus les gens qui ont besoin de leur voiture pour vivre, sans proposer d’alternatives viables à court terme.
J’ai déjà converti ma voiture à l’éthanol. J’espère que cette taxe ne va pas rendre cette solution moins intéressante.
On dirait que l’Europe veut nous faire payer pour ses propres erreurs énergétiques.
Moi, j’en ai marre qu’on parle toujours de la bagnole ! Y’a d’autres pollutions que la voiture, non ? On dirait qu’on veut culpabiliser ceux qui bossent.
J’ai l’impression qu’on oublie trop vite le prix de la pollution sur notre santé, et pas seulement le prix à la pompe.
Et les transports en commun, on en parle ? Parce que dans ma campagne, c’est voiture obligatoire…
Ça me rappelle les taxes sur le tabac. Au final, ceux qui sont vraiment accros continuent, et se privent d’autre chose. On déplace juste le problème.
On parle souvent de la voiture, mais on oublie les camions. Le transport de marchandises, ça pollue aussi et ça coûte déjà cher. Cette taxe, elle va se répercuter sur le prix de tout, pas seulement sur le prix de l’essence.
Le timing est quand même incroyable. On nous parle de ça alors que l’inflation bouffe déjà nos salaires. C’est la double peine pour beaucoup de familles.
C’est facile de taper sur l’automobiliste. Mais qui se soucie des artisans, des infirmières à domicile ? On nous dit de nous adapter, mais à quel prix ?
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment changer les comportements ou juste vider nos portefeuilles ? J’ai l’impression que l’impact réel sur l’environnement est souvent surestimé.
Franchement, j’ai peur que ça creuse encore plus le fossé entre les villes et les zones rurales.
J’ai l’impression qu’on punit ceux qui n’ont pas les moyens de changer de voiture. C’est ça la transition écologique ?
C’est toujours la même rengaine, on nous prend pour des vaches à lait.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on taxe sans proposer de vraies alternatives abordables. On nous pousse vers l’électrique, mais c’est encore un luxe pour beaucoup.
Je ne suis pas certain qu’une taxe suffise à résoudre un problème aussi vaste. On risque de créer des distorsions économiques sans pour autant atteindre les objectifs environnementaux.
J’ai l’impression qu’on se concentre sur la taxe, mais pas sur la transparence de l’utilisation de cet argent. Où ira cet argent ? Comment ça profitera à la planète ?
Doublement des taxes ? J’ai l’impression d’être pris au piège. On nous dit de consommer, mais on nous rend la vie impossible.
Mouais, on nous parle toujours de taxes, mais jamais de ceux qui profitent de la situation actuelle. Les pétroliers, ils sont pas concernés, peut-être ?
Ça me rappelle les Gilets Jaunes, tout ça. J’espère qu’on a appris de nos erreurs.
2026, c’est loin, mais j’ai peur que cette taxe devienne une habitude, un truc qu’on subit et qu’on oublie de contester.
Je me demande si cette taxe va réellement inciter les constructeurs à proposer des modèles moins gourmands en carburant.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’impréparation. On nous annonce ça, mais personne ne nous dit comment s’adapter concrètement. C’est comme annoncer une tempête sans donner de parapluie.
Moi, je pense aux retraités qui vivent à la campagne. Ils vont faire comment pour aller faire leurs courses ou voir leurs petits-enfants ?
Moi, je suis surtout fatigué de toujours entendre la même rengaine. On verra bien ce qui se passe en 2026, d’ici là, on aura d’autres chats à fouetter.
C’est facile de taper sur les automobilistes. Ils feraient mieux de s’attaquer aux vraies sources de pollution.
Si ça peut aider à améliorer l’air qu’on respire, pourquoi pas. Mais faut vraiment que ce soit utilisé à bon escient.
C’est toujours la même histoire, on tape sur ceux qui n’ont pas les moyens de changer de voiture. On verra si les grosses fortunes font l’effort, elles…
On dirait qu’on veut nous forcer à la voiture électrique, mais c’est pas tout le monde qui a les moyens de faire ce changement radical du jour au lendemain.
Franchement, ça m’angoisse pas tant pour l’essence, mais plus pour le prix du fioul. On se chauffe comment, après ?
Doublement des taxes, sérieusement ? J’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des vaches à lait.
2026, c’est dans deux ans. On a même pas le temps d’épargner pour changer de bagnole si besoin. C’est ça le pire, le manque de temps.
Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est pas tant le prix que la dépendance. On est otages du pétrole, et ça, ça me rend dingue.
On parle toujours de l’impact sur le portefeuille, mais le stress que ça engendre, ça compte aussi. On vit déjà dans l’incertitude, ça n’aide pas.
Je me demande si cette taxe va vraiment changer les comportements ou juste appauvrir les gens. L’État a-t-il prévu des alternatives crédibles et accessibles ?
Moi, je roule au GPL. C’est peut-être le moment de voir si l’Europe va aussi s’attaquer à ça… Sinon, je suis tranquille.
Et les agriculteurs, on y pense ? Ça va encore impacter leur capacité à produire notre nourriture, ça…
J’ai l’impression qu’on oublie ceux qui font des petits trajets quotidiens. Le bus ? Il passe toutes les heures…
Moi, je comprends la démarche, mais j’aimerais que l’argent de ces taxes serve VRAIMENT à financer des alternatives concrètes et écologiques. On a besoin de preuves, pas de promesses.
J’ai surtout peur qu’on encourage encore plus le travail au noir pour ceux qui utilisent leur voiture. Un cercle vicieux.
Si ça continue comme ça, on va bientôt devoir choisir entre se chauffer et aller bosser. Drôle d’avenir.
Je me demande si cette mesure ne va pas simplement pousser les gens à bout, sans résultat tangible sur l’environnement. Un sentiment de ras-le-bol généralisé…
Doublement des taxes ? Encore un truc pondu par des gens qui ne savent pas ce que c’est que de galérer pour joindre les deux bouts.
Franchement, si ça peut forcer les constructeurs à enfin proposer des voitures électriques abordables, je dis pourquoi pas.
Marre de ces annonces ! On nous prend pour des vaches à lait, point.
2027, c’est demain. J’ai changé de voiture l’an dernier, une essence récente, pensant être tranquille… On nous laisse jamais le temps de nous adapter.
C’est toujours la même rengaine, on tape sur ceux qui n’ont pas les moyens de changer de véhicule. Et après, on s’étonne que les gens se sentent abandonnés.
C’est facile de taper sur les voitures, mais on oublie que la mobilité, c’est aussi un facteur d’égalité des chances pour trouver un emploi.
J’espère que cette fois-ci, ils vont penser aux zones rurales. Sans voiture, on est complètement isolés.
On parle toujours de pouvoir d’achat, mais là, on rogne directement sur la liberté de se déplacer. C’est ça, le vrai problème.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits commerçants. Comment ils vont faire pour livrer leurs produits ?
Je me demande si l’argent de ces taxes sera vraiment utilisé pour des alternatives crédibles. J’ai peur que ça serve juste à remplir les caisses de l’État.
C’est toujours la même histoire : on punit ceux qui utilisent leur voiture pour travailler, et on encourage les citadins aisés à rouler en électrique.
On parle beaucoup de l’impact financier, mais qu’en est-il de l’impact psychologique de ces annonces incessantes ? Un sentiment de résignation s’installe.
On nous parle toujours de grandes stratégies, mais qui a pensé à l’impact sur ma pause déjeuner ? Je fais 20 bornes pour rentrer manger, ça va devenir un luxe.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. Annoncer ça maintenant, en pleine inflation, c’est vraiment le pire moment.
Et pendant ce temps-là, les jets privés continuent de voler… Cherchez l’erreur.
Doublement des taxes ? On va finir par travailler juste pour payer l’essence.
J’ai l’impression qu’on oublie une chose : les transports en commun ne sont pas une option pour tout le monde.
Moi, je me demande si cette taxe va vraiment accélérer la transition vers l’électrique, ou si elle va juste rendre les gens plus pauvres.
Ça me rappelle les Gilets Jaunes, tout ça. On risque de revivre les mêmes tensions, je le sens.
Moi, je me dis qu’on devrait peut-être commencer par aider les entreprises à se relocaliser près des bassins d’emploi. Ça éviterait déjà pas mal de trajets inutiles.
Et si on se concentrait sur l’amélioration de l’isolation des logements avant de nous matraquer avec des taxes ? Ça me semble plus logique.
Moi, j’ai l’impression qu’on est toujours les mêmes à payer, ceux qui n’ont pas le choix. On nous dit de faire des efforts, mais qui les contrôle vraiment ?
Si on augmentait le télétravail, ça résoudrait pas mal de problèmes, non ? On pourrait peut-être commencer par là.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits villages. Sans voiture, on est complètement coupés du monde. Comment on fait pour les courses ou le médecin ?
J’ai l’impression que c’est toujours la même rengaine : on tape sur le porte-monnaie des gens pour des objectifs lointains. Je me demande si l’Europe comprend vraiment notre quotidien.
Doublement ? Ça va être la fin des fins de semaine à la campagne, c’est tout. Adieu les petits plaisirs.
Franchement, j’ai peur que ça crée des inégalités énormes entre ceux qui peuvent absorber la hausse et les autres.
C’est facile de taper sur le carburant, mais on oublie que beaucoup n’ont pas d’autre choix, surtout ceux qui bossent en horaires décalés.