Des familles indignées par les nouvelles dispositions imposant des menus végétariens dans les restaurants scolaires

Depuis plusieurs semaines, la grogne monte chez de nombreux parents d’élèves face aux menus végétariens imposés dans les cantines scolaires. Si l’intention de la loi EGalim est louable, son application sur le terrain se heurte souvent à une réalité décevante : des plats répétitifs et peu appétissants qui laissent les enfants le ventre vide et les familles exaspérées.

Menus végétariens à la cantine : quand la loi se heurte au mécontentement

La situation est devenue une source de frustration pour beaucoup. Au départ, l’idée de repas plus durables était bien accueillie. Mais après des mois à voir revenir les mêmes plats, comme le redouté « calvaire du brocoli », le soutien initial s’est mué en agacement. Pour certains enfants, le déjeuner du lundi est devenu une véritable épreuve.

Cette obligation découle directement de la loi EGalim, qui impose depuis fin 2019 au moins un repas végétarien hebdomadaire. L’objectif est double :

  • Sensibiliser les jeunes à une alimentation alternative.
  • Réduire l’empreinte carbone de la restauration collective.

Cependant, la loi n’offre pas de cadre précis sur la qualité ou la diversité des recettes, laissant les communes face à leurs propres défis logistiques et financiers.

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Un défi nutritionnel et économique

Les conséquences de menus mal conçus sont multiples. Sur le plan pratique, cela génère des tensions entre les familles et les établissements. Économiquement, le gaspillage alimentaire explose lorsque les assiettes reviennent pleines en cuisine. Mais le plus préoccupant reste l’enjeu sanitaire : un repas végétarien refusé peut entraîner des carences si l’enfant ne mange rien de consistant.

Enjeu Impact direct sur les familles
Pratique Tensions et plaintes récurrentes auprès des écoles.
Économique Augmentation du gaspillage alimentaire.
Santé Risque que l’enfant ne mange pas à sa faim et manque d’énergie.

Quelles solutions pour rendre les assiettes plus attractives ?

Pourtant, des solutions existent et sont déjà appliquées avec succès dans certaines communes. Plutôt que de se limiter à des légumes bouillis, des cantines innovent avec des plats qui plaisent aux enfants. La clé réside souvent dans la formation des équipes en cuisine et une plus grande créativité.

Ce débat local s’inscrit en réalité dans une tendance de fond : la transition vers une alimentation plus végétale. La cantine scolaire devient ainsi un laboratoire des défis que notre société doit relever pour aligner les ambitions écologiques avec les réalités culturelles et gustatives de chacun. C’est un test à grande échelle.

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Au-delà de l’assiette : un enjeu de société

Cette situation révèle un décalage entre une politique nationale et son application sur le terrain. Elle soulève des questions fondamentales sur l’éducation au goût, le rôle du service public dans l’évolution des habitudes alimentaires et la nécessité d’allouer les moyens suffisants pour accompagner ces changements de manière positive.

Finalement, l’enjeu est de transformer une contrainte légale en une opportunité pédagogique. En conciliant exigence nutritionnelle et plaisir de manger, les cantines ont le pouvoir de devenir de véritables lieux d’apprentissage et de découverte, préparant les futures générations à une alimentation plus consciente et durable.

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265 réflexions sur “Des familles indignées par les nouvelles dispositions imposant des menus végétariens dans les restaurants scolaires”

  1. C’est vrai que le végétarien peut être mal fait… Ma fille se plaint souvent des lentilles à la cantine, elle dit qu’elles sont toujours trop cuites. Un peu de créativité ne ferait pas de mal !

  2. Je comprends l’indignation. Manger est un plaisir, et forcer les enfants à manger quelque chose qu’ils n’aiment pas, c’est contre-productif. Ça risque de les dégoûter des légumes pour longtemps.

  3. Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le côté « végétarien », mais plutôt le gaspillage. Si les enfants boudent, tout ça finit à la poubelle, non ? Drôle d’écologie.

  4. Le problème n’est pas le végétarisme, mais la qualité. Pourquoi on n’entend jamais parler de viande de mauvaise qualité à la cantine ? On dirait qu’il y a deux poids, deux mesures.

  5. Moi, ça me rappelle les années où j’étais à la cantine. On mangeait ce qu’il y avait, point. Au moins, ça apprend aux enfants à ne pas faire la fine bouche.

  6. Franchement, je trouve que tout ce débat oublie l’essentiel : c’est l’occasion de faire découvrir de nouvelles saveurs aux enfants. Dommage de voir ça comme une contrainte.

  7. Je suis partagé. La loi EGalim, c’est bien sur le papier, mais les cantines ont-elles les moyens de bien faire ? On parle de budget serré, souvent.

  8. Moi, j’aimerais bien savoir si ces menus sont pensés pour les enfants, ou pour cocher une case « écolo ». On dirait qu’on part du principe que végétarien = bon pour la planète, sans se soucier du reste.

  9. Je me souviens des repas que ma grand-mère préparait, toujours avec des légumes du jardin. C’était simple, mais tellement bon. On est loin de ça à la cantine, non ?

  10. Et si on apprenait aux enfants à cuisiner ces plats végétariens à la maison ? Ça les rendrait peut-être plus ouverts à les manger à la cantine.

  11. C’est une blague ? On se plaint des menus végétariens, mais avant, on se plaignait de la malbouffe à la cantine. Faut savoir ce qu’on veut.

  12. Je suis plus inquiet pour les enfants qui ont des allergies ou des intolérances. Comment gérer ça en plus des menus végétariens ? Ça me semble être une sacrée logistique.

  13. Franchement, je me demande si les cuisiniers des cantines ont vraiment les compétences pour faire de bons plats végétariens. C’est pas juste enlever la viande, faut savoir cuisiner les légumes!

  14. Personnellement, je pense qu’on se focalise trop sur la cantine. Le problème, c’est surtout l’éducation au goût à la maison. Si un enfant n’a jamais goûté de légumes variés, forcément, il ne les appréciera pas à la cantine.

  15. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on dirait qu’on impose un régime sans vraiment donner d’explications aux enfants. Un peu de pédagogie ne ferait pas de mal.

  16. Moi, je trouve qu’on oublie souvent l’aspect financier pour les familles nombreuses. Ces menus, c’est peut-être une économie à la maison, non ?

  17. Je me demande si les cantines ont pensé à utiliser des légumineuses ? C’est bourratif et plein de protéines, parfait pour les enfants en pleine croissance.

  18. C’est peut-être l’occasion de revoir les contrats avec les fournisseurs. La qualité a un prix, mais la santé des enfants en vaut la peine.

  19. Ça me rappelle quand j’étais petit et qu’on avait un jour de poisson obligatoire par semaine. Personne n’aimait ça, mais on ne mourait pas de faim. Peut-être que ça passera avec le temps.

  20. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le gaspillage. Si les enfants ne mangent pas, tout ça part à la poubelle. C’est contre-productif écologiquement.

  21. Moi, je me dis que c’est peut-être une bonne chose pour la planète à long terme. Faut peut-être laisser le temps aux cantines de s’améliorer.

  22. Moi, je regrette surtout qu’on ne propose pas simplement une alternative végétarienne. Imposer, c’est rarement la bonne solution pour faire accepter les choses.

  23. Franchement, j’ai l’impression qu’on est toujours dans l’extrême. Pourquoi ne pas simplement proposer des portions de viande plus petites et plus occasionnelles ? Ça éviterais ce rejet brutal.

  24. C’est facile de critiquer les cantines, mais elles font avec les moyens qu’elles ont. Ma mère y travaillait, et je sais les contraintes que ça implique.

  25. Honnêtement, je me demande si on a formé le personnel des cantines à cuisiner végétarien correctement. C’est pas juste enlever la viande, il faut savoir remplacer !

  26. Je comprends l’inquiétude. Mes enfants sont difficiles, je vois mal comment ils accepteraient un plat qu’ils n’aiment pas d’emblée. Forcer ne fera que les braquer contre les légumes.

  27. Je trouve dommage qu’on associe le végétarisme à quelque chose de « forcé ». Pour beaucoup d’enfants, ça pourrait être une super opportunité de découvrir de nouvelles saveurs.

  28. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que les enfants ont besoin d’un apport nutritionnel conséquent pour bien grandir. Est-ce qu’on s’assure que ces menus végétariens sont vraiment équilibrés e…

  29. Ma fille adore les falafels de la cantine, mais elle se plaint que l’accompagnement est toujours le même… un peu de créativité, quoi !

  30. Moi, ce qui m’agace, c’est l’impression qu’on infantilise les enfants. On dirait qu’ils sont incapables de goûter autre chose que des nuggets.

  31. C’est surtout l’aspect « imposé » qui me pose problème. On devrait plus miser sur l’éducation au goût et la découverte, pas sur l’obligation.

  32. Je me demande si on a pensé aux enfants qui ont des allergies alimentaires en plus d’être potentiellement « difficiles ». Ça complexifie encore la donne, non ?

  33. Je me demande si ces menus tiennent compte du gaspillage alimentaire. Imposer des plats que les enfants ne mangent pas, c’est jeter de la nourriture et de l’argent par les fenêtres.

  34. Chez nous, c’est le contraire : ma fille réclame les recettes de la cantine ! On a juste demandé les menus à l’avance pour éviter les surprises.

  35. Le problème, c’est peut-être le manque de formation du personnel des cantines. On ne s’improvise pas cuisinier végétarien du jour au lendemain.

  36. Je suis surtout inquiet pour les familles modestes. Est-ce que ces menus végétariens coûtent moins cher ? Si non, c’est une double peine.

  37. Pour moi, la question centrale est : est-ce que ces menus sont vraiment équilibrés sur le plan nutritionnel ? C’est ça qui compte avant tout pour la santé de nos enfants.

  38. Le problème, c’est qu’on parle de menus végétariens comme si c’était une punition. On pourrait pas proposer des plats créatifs et gourmands ? Un bon gratin de légumes, ça ne se refuse pas !

  39. Le problème, c’est qu’on se concentre sur le « végétarien » et pas sur le « bon ». Un plat mal cuisiné reste mauvais, viande ou pas.

  40. Moi, je vois surtout une déconnexion totale entre les belles intentions et la réalité vécue. La loi EGalim, c’est du marketing, pas de la cuisine.

  41. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on dirait qu’on ne peut pas avoir de juste milieu. Soit c’est steak frites, soit c’est 100% végétal imposé. Un peu de variété, ce serait pas mal.

  42. Je me demande si cette uniformisation ne prive pas les enfants de découvrir de nouveaux goûts, des plats régionaux, des textures variées. C’est dommage.

  43. Moi, je me souviens des repas insipides de ma propre cantine. Honnêtement, qu’il y ait de la viande ou pas, le problème reste le même : le manque de goût.

  44. Chez nous, ça a été la catastrophe. Ma fille ne mangeait presque rien, prétextant des textures bizarres. J’ai dû compenser à la maison, un vrai stress.

  45. Franchement, j’ai l’impression qu’on infantilise nos enfants. Ils sont capables de goûter et d’aimer, si on leur propose des choses bien faites. Le problème, c’est peut-être le manque de confiance.

  46. Imposer le végétarien, c’est prendre le risque de créer une aversion durable chez les enfants. Un peu de pédagogie et de choix seraient plus efficaces.

  47. Cette polémique me fatigue un peu. On dirait qu’on découvre que nourrir des enfants, c’est plus compliqué que de cocher des cases « végétarien » ou « non-végétarien ».

  48. Le problème, c’est peut-être qu’on pense « végétarien » au lieu de « cuisine inventive ». On pourrait faire découvrir tellement de légumes et de céréales !

  49. Je pense que le problème, c’est qu’on oublie que la cantine, c’est aussi un lieu d’apprentissage du goût et du partage. Si les repas sont mauvais, on rate une occasion.

  50. Ce qui me choque, c’est qu’on parle de « menus imposés ». Est-ce qu’on a demandé l’avis des enfants ? C’est leur assiette, après tout.

  51. C’est un peu facile de taper sur la cantine. Ma fille adore certains plats végé, bizarrement ceux qu’elle ne mangerait jamais à la maison !

  52. Moi, je me demande si les cuisiniers ont reçu une formation adéquate pour cuisiner végétarien pour des enfants. C’est pas juste enlever la viande!

  53. Franchement, je me demande si on ne se focalise pas trop sur le « végétarien » au lieu de s’assurer d’abord que les repas soient bons et équilibrés, tout simplement. Le reste suivra.

  54. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que cette crispation autour des menus risque de détourner l’attention des vraies questions : la qualité des produits, leur origine, et le prix que les familles doivent payer.

  55. Honnêtement, j’ai l’impression qu’on stigmatise le « végétarien » alors que le problème, c’est peut-être juste que la bouffe est mauvaise, point. Ça arrive aussi avec la viande.

  56. Je comprends l’indignation. Ma voisine, agricultrice, me disait que fournir des légumes de qualité à bas prix, c’est mission impossible. On récolte ce qu’on sème, littéralement.

  57. Je me souviens, petit, le jour où j’ai découvert les lentilles à la cantine. Un désastre! Peut-être qu’on devrait essayer de rendre ça plus fun, ces légumes.

  58. Moi, j’ai l’impression que c’est encore une histoire de « c’était mieux avant ». On idéalise toujours les cantines de notre enfance, mais est-ce qu’on mangeait vraiment mieux ?

  59. Je pense que le problème, c’est qu’on oublie le plaisir. Un enfant qui aime ce qu’il mange, c’est déjà la moitié du chemin parcouru, peu importe s’il y a de la viande ou pas.

  60. C’est vrai que le « végétarien » fait peur, mais si ça permet d’éduquer les enfants au goût et à la diversité, c’est peut-être pas si mal. On a tous mangé des trucs bizarres à la cantine, avec…

  61. Moi, ce qui me choque, c’est qu’on dirait que les enfants n’ont pas leur mot à dire. On leur demande ce qu’ils veulent, au moins ?

  62. J’ai l’impression qu’on est toujours dans l’urgence. On impose, on réagit, mais on prend rarement le temps de bien faire les choses dès le départ.

  63. Je me demande si on ne devrait pas simplement proposer une option végétarienne de qualité, plutôt que de l’imposer. Le choix, c’est quand même important, non ?

  64. Le gaspillage alimentaire me préoccupe. Est-ce que ces menus végétariens sont moins gaspillés parce que les enfants les aiment moins ?

    Peut-être que le problème, c’est la formation des personnels.

  65. Et si on arrêtait de voir ça comme une punition ? J’ai grandi avec peu de viande, et je suis pas mort. Peut-être que ça pousse les enfants à découvrir de nouvelles saveurs, non ?

  66. Je suis un peu agacé par cette focalisation sur les enfants. Et les parents qui râlent, ils cuisinent quoi à la maison? C’est peut-être le moment de montrer l’exemple.

  67. Ce qui me frappe, c’est le manque de communication. On dirait que personne n’explique aux enfants pourquoi on change les menus. Un peu de pédagogie, ça aiderait peut-être.

  68. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’image qu’on renvoie de l’alimentation végétarienne. Si c’est fade et mal cuisiné, on risque de dégoûter les enfants, et c’est dommage.

  69. On dirait que les cantines reproduisent les erreurs que je fais moi-même en cuisine végétarienne : miser sur un seul légume, sans épices. Tristesse garantie !

  70. Moi, je suis surtout déçu que l’on n’ait pas profité de cette occasion pour éduquer au goût et à l’environnement. Une carotte bio, c’est quand même autre chose qu’une frite.

  71. Je comprends l’indignation. Le problème, c’est qu’on impose sans concertation ni transition. On dirait qu’on oublie l’importance de la dimension culturelle de l’alimentation.

  72. Franchement, ça me rappelle les repas que ma grand-mère me préparait. Plein de bonnes intentions, mais un résultat… spécial. L’amour ne suffit pas, il faut un peu de technique !

  73. C’est bien beau de vouloir faire manger des légumes, mais le bien-être de nos enfants, ça passe aussi par le plaisir de manger. Pas juste par des principes.

  74. C’est dommage de voir que l’idée de départ, qui est d’ouvrir les enfants à de nouvelles saveurs, se transforme en source de tensions. Peut-être faudrait-il impliquer les enfants dans la création …

  75. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la stigmatisation du végétarisme à cause de ça. Une mauvaise expérience à la cantine peut durablement détourner les enfants des légumes.

  76. J’ai juste l’impression que c’est encore une loi votée à Paris, loin des réalités du terrain et des préoccupations des familles. On légifère sans écouter.

  77. Plutôt que de râler, on pourrait se demander comment aider les cantines à s’améliorer. Des ateliers parents-enfants pour partager des recettes ?

  78. Ça me rappelle surtout les débats sans fin à la maison sur « manger équilibré ». On dirait que la cantine devient une extension du champ de bataille familial.

  79. Finalement, on uniformise l’alimentation des enfants, sans tenir compte des goûts et des besoins spécifiques de chacun. C’est ça le progrès ?

  80. Franchement, mes enfants rentrent affamés les jours végétariens. Je finis par leur refaire un repas, donc on gaspille du temps et de l’argent. C’est contre-productif.

  81. Je me demande si on a vraiment exploré toutes les options avant d’en arriver là. Pourquoi ne pas simplement proposer une option végétarienne, au lieu de l’imposer à tous ?

  82. Je comprends l’intention, mais mes enfants ont besoin de protéines pour tenir la journée. Un steak haché de temps en temps ne va tuer personne.

  83. C’est dommage d’associer le végétarisme à de mauvais repas. On dirait qu’on rate une occasion d’éduquer au goût et à une alimentation plus durable.

  84. Le problème, c’est pas le végétarien, c’est le manque de créativité ! Ma grand-mère faisait des plats incroyables sans viande, et c’était la fête.

  85. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur le moral des enfants. Si le repas est une corvée, c’est toute l’école qui en pâtit.

  86. Moi, je me demande si on a pensé à l’impact sur les petits producteurs locaux. Est-ce qu’on leur achète ces légumes, ou est-ce que ça vient de grosses centrales ?

  87. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on infantilise les enfants. On devrait leur expliquer pourquoi on fait ça, les impliquer dans le choix des menus. Au moins, ils comprendraient.

  88. Je trouve que c’est un faux débat. Le problème, c’est pas le menu, c’est son exécution. Un bon cuisinier peut faire des miracles avec des légumes.

  89. Moi, je suis surtout fatigué de ce débat. On dirait qu’on ne parle que de ça, alors qu’il y a d’autres problèmes à l’école. La cantine, c’est le cadet de mes soucis.

  90. Je suis d’accord sur l’intention, mais remplacer la viande par des pâtes fades, c’est se moquer du monde. Mes enfants boudent et c’est du gâchis. On pourrait faire tellement mieux pour le même prix…

  91. J’ai l’impression qu’on oublie le rôle social de la cantine. C’est un lieu d’apprentissage du vivre ensemble, pas juste un distributeur de calories.

  92. Franchement, ça me rappelle les repas de colo quand j’étais gamin. On mangeait ce qu’il y avait, et on s’en sortait très bien. Peut-être qu’on en fait trop ?

  93. SportifDuDimanche

    C’est surtout que la cantine, c’est parfois le seul repas équilibré de la journée pour certains enfants. Bâcler ça, c’est criminel.

  94. C’est vrai que c’est dur de changer les habitudes. Moi, le végétarien ça me va, mais faut pas que ça devienne une punition pour les gamins.

  95. C’est fou comme on panique vite pour des carottes! Quand j’étais petit, on mangeait déjà des légumes à la cantine, et on s’en portait pas plus mal. Peut-être juste revoir les recettes, quoi.

  96. ProvincialeHeureuse

    C’est toujours la même histoire : une bonne idée gâchée par la mise en œuvre. On veut bien manger plus sain, mais pas au prix du plaisir.

  97. InstitutricePassionnée

    Je me demande si on a vraiment consulté les enfants avant de mettre ça en place. C’est eux qui mangent à la cantine, après tout.

  98. Le problème, c’est qu’on infantilise les gamins en pensant qu’ils ne mangent que des frites et des nuggets. Un bon gratin de légumes, c’est souvent plus apprécié qu’une tranche de jambon bas de gamme.

  99. Moi, ça me fait penser à ma propre enfance et aux batailles pour finir mon assiette de chou-fleur. Peut-être qu’au lieu d’imposer, on pourrait juste proposer plus de choix ?

  100. Le gaspillage alimentaire me préoccupe davantage. Si les enfants ne mangent pas, la nourriture finit à la poubelle, quel que soit le menu.

  101. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits producteurs locaux. On privilégie quoi finalement ? Des circuits courts ou des légumes moins chers importés ?

  102. C’est dommage de voir l’alimentation devenir un champ de bataille idéologique. On oublie que le but, c’est juste de nourrir correctement les enfants.

  103. Franchement, j’ai l’impression qu’on reproduit les erreurs de nos parents avec les brocolis. Forcer n’a jamais marché, expliquer et rendre ça appétissant, oui.

  104. Guillaume Bernard

    Je comprends l’agacement. Ma fille me dit que la cantine, c’est devenu tristoune. Avant, elle mangeait de tout, maintenant elle rechigne. C’est peut-être une phase, mais je me demande si le menu y est pour quelque chose.

  105. Je travaille dans une association qui fait de la sensibilisation au goût auprès des enfants. Le problème, c’est souvent le manque d’éducation culinaire, pas la nature du plat.

  106. Bof, moi, ça me rappelle juste que la cantine a toujours été un sujet de plainte, peu importe le menu. C’est un peu le bouc émissaire facile.

  107. Le problème, c’est surtout qu’on n’a pas demandé l’avis des principaux concernés : les enfants ! Si on les impliquait dans la création des menus, ça irait peut-être mieux.

  108. Je suis surtout inquiète pour le gaspillage. Si les enfants ne mangent pas, ça finit à la poubelle, non ? Quel est le bilan écologique de tout ça ?

  109. C’est dommage de se focaliser que sur le « végétarien ». La loi EGalim vise aussi des produits de meilleure qualité, et ça, on en parle moins.

  110. Je me demande si cette obligation de menus végétariens n’est pas une façon déguisée de faire des économies sur le dos des enfants. On remplace la viande par des lentilles, et hop, le budget est allégé.

  111. Sébastien Bernard

    Franchement, j’aimerais bien voir les chiffres. Est-ce qu’il y a réellement plus de problèmes qu’avant, ou est-ce juste un effet de loupe parce que c’est un sujet à la mode ?

  112. Chez nous, c’est surtout le manque de communication qui pose problème. On découvre le menu du jour en même temps que les enfants. Impossible de prévoir ou de compléter si besoin.

  113. Alexandre Bernard

    C’est bien beau de vouloir faire manger moins de viande, mais si c’est pour que nos enfants boudent la cantine, on n’avance à rien. Ma fille rentre affamée.

  114. Christophe Bernard

    Je comprends l’indignation, mais je pense qu’il faut laisser le temps aux équipes de cantine de s’adapter. Changer les habitudes, ça prend du temps et des ajustements.

  115. Moi, je me souviens des repas de cantine fades de mon enfance. Le problème n’est pas tant le végétarisme que le manque de créativité et de goût en général.

  116. François Bernard

    C’est surtout que la cantine, c’est aussi un lieu d’apprentissage du goût. Si on rate cette occasion avec des plats sans saveur, on crée des blocages pour plus tard.

  117. Je me demande si on ne se focalise pas trop sur le « végétarien » alors que la vraie question est : est-ce que c’est bon et équilibré ? Après tout, un mauvais steak frites, c’est pas terrible non plus.

  118. C’est vrai que la cantine a rarement été un festival culinaire, viande ou pas. J’espère juste que ça ne décourage pas les enfants de manger des légumes plus tard.

  119. Béatrice Bernard

    Franchement, imposer des menus qu’ils ne savent pas faire, c’est contre-productif. On risque de braquer les enfants et de gâcher le peu d’appétit qu’ils ont pour les légumes.

  120. Je suis plus inquiet pour les enfants qui dépendent de la cantine pour un repas complet et équilibré. Si c’est moins bon, ils mangent moins, point.

  121. Je me demande si on ne devrait pas plutôt former le personnel des cantines à cuisiner végétarien, plutôt que d’imposer des menus sans les compétences adéquates.

  122. Moi, ça me rappelle surtout les batailles pour faire manger des brocolis quand j’étais petit. On dirait que ça se répète, mais avec d’autres légumes.

  123. J’ai l’impression qu’on infantilise les enfants. On leur propose des plats insipides, forcément ils boudent. Pourquoi ne pas les impliquer dans le choix des recettes ?

  124. Gabrielle Bernard

    Moi, ce qui m’agace, c’est ce ton alarmiste. On dirait qu’un jour de végétarien, c’est la fin du monde pour certains. Exagérons moins, svp!

  125. Moi, je me demande si on a pensé aux enfants qui ont des allergies. Un menu unique, c’est pas forcément une bonne idée pour tout le monde.

  126. J’ai surtout peur que ça stigmatise le végétarisme. Si l’expérience est mauvaise à la cantine, ils ne voudront plus jamais en entendre parler.

  127. Plus que le menu végétarien lui-même, c’est peut-être le manque de transition et d’explication qui pose problème. On change les habitudes du jour au lendemain, forcément ça coince.

  128. Je pense que le problème de fond, c’est qu’on impose sans consulter. Un sondage auprès des parents et des enfants aurait peut-être évité ce fiasco.

  129. Franchement, je trouve qu’on dramatise beaucoup. Un repas végé par semaine, c’est pas la mort. On devrait peut-être juste se concentrer sur la qualité des produits.

  130. Je suis surtout inquiet du gaspillage alimentaire que ça risque d’engendrer. Si les enfants ne mangent pas, tout finit à la poubelle. Quel gâchis !

  131. Je trouve ça hypocrite de se plaindre maintenant. On sait depuis des années que l’alimentation est un enjeu crucial pour la planète, et on s’étonne qu’on change les menus ?

  132. Pour moi, le problème est surtout le manque de créativité. On dirait qu’on a juste enlevé la viande sans la remplacer par quelque chose d’aussi nourrissant et savoureux.

  133. Moi, ce qui m’étonne, c’est qu’on n’ait pas mis en avant les réussites. Il doit bien y avoir des cantines où ça se passe bien, non ? On dirait qu’on ne parle que des ratés.

  134. C’est dommage. Ma fille adore certains plats végétariens à la maison, mais elle refuse de toucher à ce qu’on lui sert à la cantine. C’est peut-être une question de présentation ?

  135. Le goût de l’enfance, c’est important. Forcer des plats que les enfants détestent, ça peut les dégoûter des légumes pour longtemps.

  136. C’est pénible de toujours diaboliser la cantine. Moi, j’y ai découvert des plats que j’adore encore aujourd’hui. Peut-être laisser une chance aux cuisiniers de s’améliorer ?

  137. Catherine Bernard

    J’ai l’impression qu’on oublie l’objectif premier : la santé de nos enfants. Si les plats sont mauvais, ça ne sert à rien. Mieux vaut un bon steak une fois par semaine qu’un truc fade tous les jours.

  138. Et si on apprenait aux enfants à cuisiner ces plats végétariens à la maison ? Ça serait plus constructif que de juste critiquer la cantine.

  139. Franchement, je comprends les parents. Imposer, c’est rarement la bonne solution, surtout quand ça touche à l’alimentation des enfants. On devrait plutôt miser sur l’éducation au goût et la découverte.

  140. Je me demande si les cantines n’auraient pas intérêt à organiser des dégustations avec les enfants et les parents pour ajuster les recettes. Un peu comme ils font dans les écoles pour les nouveaux rythmes scolaires.

  141. Je crois qu’on se focalise trop sur le « végétarien » et pas assez sur la qualité globale. Un mauvais plat reste un mauvais plat, avec ou sans viande.

  142. Je trouve qu’on oublie souvent le prix. Est-ce qu’on a les moyens de faire du végétarien de qualité sans augmenter les coûts pour les familles ? C’est ça la vraie question, non ?

  143. Jacqueline Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le menu, mais le gaspillage alimentaire que ça risque d’engendrer. Si les enfants ne mangent pas, ça finit à la poubelle, non ?

  144. Moi, je me souviens des batailles pour manger des épinards à la cantine. Finalement, on s’y fait, non ? Peut-être que nos enfants s’habitueront aussi.

  145. Moi, ce qui me dérange, c’est le mot « imposé ». On dirait qu’on ne fait plus confiance aux enfants pour découvrir de nouvelles saveurs.

  146. C’est marrant, tout ce débat. Moi, mon fils adore le plat végétarien du vendredi. Il dit que c’est le meilleur jour de la semaine à la cantine !

  147. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours des enfants. Mais les équipes en cuisine, elles ont été formées à ces nouvelles recettes ? On leur donne les moyens de bien faire ?

  148. Moi, j’ai l’impression qu’on oublie un peu le rôle de la cantine : c’est aussi un lieu d’apprentissage du vivre ensemble. Accepter un plat différent, c’est peut-être ça aussi, l’école.

  149. Le problème, c’est peut-être qu’on compare ça à ce qu’on mange à la maison. La cantine, ça a jamais été de la grande cuisine… faut pas rêver.

  150. C’est vrai que l’intention est bonne, mais ma fille me dit que c’est toujours les mêmes légumes, cuits de la même façon. Ça manque de créativité, quoi.

  151. Je comprends l’indignation. Forcer des changements sans accompagnement, c’est souvent contre-productif. On devrait peut-être commencer par des ateliers de dégustation pour les enfants.

  152. Les légumes, c’est pas forcément plus simple à cuisiner que la viande, hein. J’espère qu’ils ont les budgets pour des produits de qualité et des cuisiniers compétents.

  153. Je suis un peu perplexe. On dirait qu’on a encore oublié les familles modestes. Ces plats, ils coûtent combien à produire ? Qui paie la facture au final ?

  154. J’ai l’impression que cette loi crée plus de problèmes qu’elle n’en résout. On culpabilise les enfants de manger de la viande, alors que c’est aux parents de choisir.

  155. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le gaspillage. Si les enfants ne mangent pas, ça finit où toute cette nourriture ? Un comble, quand on sait qu’il y a des familles qui galèrent.

  156. Moi, ce qui me frappe, c’est le manque de communication. On dirait que les parents sont mis devant le fait accompli, sans explication ni concertation.

  157. Sébastien Dubois

    Moi, ce qui m’agace, c’est cette focalisation sur les menus. Personne ne parle du temps passé à table, du bruit, du stress… C’est ça qui empêche les enfants de manger, souvent, plus que le contenu de l’assiette.

  158. Je me demande si on ne se trompe pas de débat. Le problème, c’est pas tant le menu, mais l’idée que l’école décide de ce que mon enfant doit manger.

  159. C’est pas tant le végétarien qui me gêne, c’est l’uniformisation. Chaque enfant a des besoins différents, on ne peut pas faire une règle pour tous.

  160. Je me souviens de ma propre cantine, c’était rarement gastronomique, viande ou pas. L’important, c’est surtout que les enfants mangent à leur faim.

  161. C’est vrai que la cantine, c’est souvent le lieu de toutes les batailles. Chez nous, ça a calmé les choses de faire participer les enfants à la dégustation des plats en amont.

  162. Christophe Dubois

    Je comprends l’indignation. Forcer le végétarisme à la cantine, c’est ignorer les convictions familiales et le rôle des parents dans l’éducation alimentaire.

  163. Je suis partagé. Le « tout viande » à la cantine, c’était pas forcément mieux pour la santé ou la planète. Faut peut-être laisser une chance au changement, mais avec de vrais cuisiniers.

  164. Franchement, moi j’aurais préféré qu’on améliore la qualité des produits, qu’ils soient locaux et de saison, avant de changer les menus.

  165. J’ai l’impression qu’on crée une montagne d’un rien. Avant, on râlait que c’était trop gras et maintenant c’est l’inverse. On ne sera jamais contents.

  166. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le gaspillage. Si les enfants boudent, tout ça finit à la poubelle, et c’est encore pire écologiquement.

  167. Le vrai problème, c’est l’absence de choix. Imposer un seul menu, qu’il soit végétarien ou non, c’est aberrant. L’enfant devrait avoir une option.

  168. Je me demande si ce n’est pas une question de génération. Peut-être que nos enfants s’adapteront plus facilement que nous à ces nouveaux menus.

  169. Le problème, c’est pas le végétarisme, c’est que la cantine reste la cantine, avec ou sans viande. On se soucie de l’environnement, mais pas du goût?

  170. Franchement, je me demande si on a pensé aux gosses qui ont des allergies alimentaires. Remplacer la viande par du soja ou des légumineuses, c’est pas forcément une solution miracle pour tout le monde.

  171. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on parle de « menus végétariens imposés ». On dirait qu’on prive les enfants de quelque chose. Pourquoi ne pas valoriser ce qu’ils mangent au lieu de le présenter c…

  172. Je trouve ça dommage que l’on réduise le débat à « viande versus pas viande ». C’est la qualité nutritionnelle globale qu’il faut regarder, et ça, ça demande des moyens.

  173. Moi, je me demande si on forme correctement le personnel des cantines à cuisiner végétarien. C’est un métier, ça ne s’improvise pas!

  174. Je me souviens de mes repas de cantine… L’odeur de carottes râpées et de purée insipide. La viande, on la cherchait parfois. Alors, végétarien ou pas, le problème ne date pas d’hier!

  175. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours des enfants. Mais et le personnel de cantine ? Ils doivent gérer ces changements avec souvent peu de moyens. On les oublie.

  176. Moi, ça me rappelle quand j’étais gamin. On râlait déjà sur la cantine. Finalement, rien n’a vraiment changé, si ce n’est la nature des plaintes.

  177. Moi, j’ai surtout peur que ce soit encore les enfants des familles modestes qui trinquent. On sait bien que la cantine, c’est parfois le seul repas équilibré de la journée pour certains.

  178. C’est curieux, on dirait qu’on redécouvre que bien manger, ça prend du temps et de l’attention, peu importe le contenu de l’assiette.

    On parle de « menus imposés », mais on impose bien des maths et du français, non ? L’éducation au goût, ça devrait être pareil.

  179. Ce qui m’inquiète, c’est le gaspillage alimentaire. Si les enfants boudent ces plats, qu’est-ce qu’on fait des restes ? On jette ? Ça n’a aucun sens.

  180. Franchement, je pense que le problème, c’est la précipitation. On a voulu bien faire, mais sans donner le temps aux cantines de s’adapter.

  181. L’indignation, je la comprends. Mais imposer un steak haché tous les jours, c’était mieux, peut-être ? Changeons de logiciel, quoi.

  182. Le problème, c’est qu’on associe « végétarien » à « moins bon ». Ma fille adore les lentilles, les pois chiches, et elle en mange peu à la cantine. C’est dommage.

  183. C’est toujours le même débat : on part d’une bonne intention et ça finit par créer des tensions inutiles. On devrait peut-être se concentrer sur l’écoute des enfants, non ?

  184. Je me demande si on ne dramatise pas un peu. Quand j’étais petit, la cantine n’était pas toujours un festin, viande ou pas. L’important, c’est que les enfants soient nourris.

  185. Mes enfants ont fini par emmener leurs propres repas. Plus simple et moins de stress pour tout le monde. La cantine est devenue un lieu de pause, pas un lieu de repas.

  186. Moi, ce qui me gêne, c’est cette idée que le végétarien, c’est forcément moins nourrissant. On peut faire des repas complets et équilibrés sans viande ! C’est surtout une question de volonté.

  187. Je trouve que l’article oublie un peu vite le coût. Les produits de qualité, même végétaux, ça coûte cher. Les cantines ont-elles les moyens de bien faire ?

  188. Moi, je me demande si on a assez formé le personnel des cantines à cuisiner végétarien. C’est un métier, ça ne s’improvise pas.

  189. Moi, je trouve que c’est bien de proposer du végétarien, ça ouvre l’esprit des enfants. Mais si c’est mal fait, ça risque de les braquer pour longtemps.

  190. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre que les enfants ont des goûts ! On ferait mieux de leur demander leur avis, au lieu de tout décider pour eux.

  191. J’ai l’impression qu’on force les gamins à manger des trucs qu’ils n’aiment pas, sous prétexte d’écologie. C’est contre-productif.

  192. Le gaspillage alimentaire me préoccupe plus que le contenu de l’assiette. Si les enfants boudent, tout finit à la poubelle, quel gâchis !

  193. J’ai l’impression que la loi EGalim a été détournée de son but initial. On parle de qualité, pas seulement d’absence de viande.

  194. C’est dommage que le plaisir de manger soit devenu un champ de bataille idéologique. On dirait qu’on oublie que la cantine, c’est avant tout un moment de convivialité.

  195. Jacqueline Dubois

    Plutôt que râler, j’aimerais voir des initiatives positives. Des ateliers cuisine végétarienne à l’école, par exemple, pour que les enfants découvrent que les légumes peuvent être fun !

  196. Mes enfants adorent les légumes, mais à la maison ! À la cantine, c’est souvent tristounet. Peut-être qu’il faudrait impliquer les parents dans la conception des menus ?

  197. Franchement, j’ai l’impression qu’on se focalise trop sur le « végétarien » et pas assez sur le « manger sainement ». On pourrait proposer des plats avec moins de viande, mais de meilleure qualité.

  198. Quand j’étais petit, le mercredi, c’était souvent poisson pané. Pourquoi pas une option végétarienne « plaisir » comme ça, de temps en temps ? Ça changerait peut-être l’image.

  199. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits producteurs locaux. On privilégie des légumes de saison et de proximité, ou on se rabat sur du surgelé venu de l’autre bout du monde ?

  200. Moi, ce qui me gêne, c’est que la cantine devienne un lieu d’expérimentation forcée. On pourrait peut-être laisser le choix aux enfants, non ?

  201. Moi, ce qui me frappe, c’est le manque de formation du personnel. On leur demande d’improviser des menus sans leur donner les outils pour réussir.

  202. C’est vrai que personne ne parle du gaspillage. Si les enfants ne mangent pas, ça finit à la poubelle. On gaspille de l’argent, et de la nourriture.

  203. Je me demande si on a vraiment pensé à l’aspect culturel. Imposer un menu, même végétarien, sans tenir compte des habitudes alimentaires des enfants, c’est voué à l’échec.

  204. Le problème, c’est qu’on infantilise les enfants. On leur sert des purées sans saveur alors qu’ils sont capables d’apprécier des plats plus élaborés, même sans viande.

  205. Je me demande si on a pensé aux enfants qui ont des allergies alimentaires en plus de devoir manger végétarien. Ça doit être un vrai casse-tête pour les parents.

  206. Je suis surtout déçu que l’aspect gustatif soit négligé. Un bon plat végétarien, ça existe, c’est pas juste une alternative fade !

  207. Et si on arrêtait de voir ça comme une punition ? J’aimerais que mes enfants comprennent l’impact de leur alimentation sur la planète.

  208. Je comprends l’indignation. Mes enfants ont besoin de protéines pour bien grandir, et la viande en fait partie. J’espère qu’ils compensent ailleurs.

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