Septembre : la période idéale pour planter ces légumes oubliés qui font leur retour dans les potagers français

L’arrivée de l’automne sonne souvent la fin des récoltes, laissant un sentiment de vide au potager. Pourtant, cette période est idéale pour planter des légumes oubliés. En semant panais, rutabagas ou topinambours en septembre, vous assurez des récoltes savoureuses et originales durant tout l’hiver.

Clémentine Haurie, 48 ans, passionnée de jardinage en Normandie, a redécouvert ces variétés. « Je cherchais des cultures résistantes adaptées à notre climat un peu frais. Ces légumes anciens étaient la réponse parfaite, ils demandent si peu et donnent tellement en retour », confie-t-elle avec enthousiasme.

Lassée de voir son potager s’endormir après l’été, Clémentine a tenté l’expérience. Après avoir semé quelques rangs, elle a constaté une croissance robuste malgré les jours plus courts. Ses récoltes hivernales ont transformé ses plats, devenant une tradition annuelle incontournable pour sa famille.

Septembre offre un sol encore chaud qui favorise la germination, tandis que les températures plus douces évitent le stress hydrique. Le froid automnal est même bénéfique : il concentre les sucres dans les racines comme le panais, développant ainsi une saveur plus douce et complexe.

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Partage une astuce anti-gaspillage alimentaire, en lien avec la cuisine des légumes

Au-delà du plaisir gustatif, ces légumes sont économiques, réduisant les achats en hiver. Sur le plan nutritionnel, ils apportent des fibres et minéraux variés. Leur culture favorise aussi la biodiversité et améliore la structure du sol, un véritable atout pour le jardinier responsable.

Pour varier les plaisirs, pensez aussi aux crosnes ou aux cardons. Une astuce consiste à laisser les topinambours en terre et à les récolter au fur et à mesure des besoins. Un bon paillage protégera efficacement les racines des fortes gelées qui s’annoncent.

Ce retour aux sources s’inscrit dans une tendance plus large de résilience alimentaire et de préservation du patrimoine végétal. En cultivant ces variétés, les jardiniers participent activement à la sauvegarde d’une biodiversité agricole menacée par l’uniformisation des cultures commerciales à grande échelle.

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Adopter ces légumes oubliés modifie nos habitudes de consommation et nous reconnecte à une histoire culinaire locale. C’est un acte simple qui renforce l’autonomie alimentaire et valorise des savoir-faire ancestraux, contribuant à un système plus durable à petite échelle et plus sain.

Planter ces trésors en septembre est une démarche simple et gratifiante. C’est l’occasion d’enrichir son potager, de diversifier son alimentation et de participer à la préservation d’un héritage. Alors, pourquoi ne pas essayer et surprendre vos papilles dès cet hiver ?

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321 réflexions sur “Septembre : la période idéale pour planter ces légumes oubliés qui font leur retour dans les potagers français”

  1. Les légumes oubliés, c’est bien joli, mais j’ai toujours l’impression qu’ils demandent un terrain que je n’ai pas. Plus de place pour les tomates, merci.

  2. Septembre, ça me rappelle les soupes de ma grand-mère ! Topinambours, panais… des goûts d’enfance réconfortants. Peut-être l’occasion de renouer avec ces saveurs.

  3. Plantez en septembre, disent-ils… Facile à dire quand on habite en Normandie ! Ici, dans le Sud, j’ai plutôt l’impression que septembre c’est encore l’été.

  4. Des légumes « oubliés »… Je trouve ça triste, comme si on avait jeté des pans entiers de notre patrimoine culinaire ! J’espère que cet article encouragera à les redécouvrir.

  5. Des légumes « oubliés », c’est surtout qu’ils sont moins rentables pour les grandes exploitations, non? Dommage, la diversité c’est important, même dans l’assiette.

  6. Des légumes d’hiver en septembre ? Ça me fait penser qu’il faut vraiment que je me motive à préparer le terrain. J’ai toujours l’impression d’être en retard sur le planning du potager.

  7. Légumes oubliés… C’est vrai qu’on voit toujours les mêmes choses en magasin. Je me demande si c’est vraiment plus compliqué à cultiver ou juste une question de mode.

  8. J’ai toujours cru que les légumes oubliés étaient compliqués à trouver. Si on peut les planter soi-même, ça change tout ! Je vais me renseigner sur les variétés adaptées à mon balcon.

  9. Plutôt que « oubliés », je dirais « délaissés ». Le goût est souvent plus terreux, moins calibré que ce qu’on trouve en supermarché. Ça demande un peu d’adaptation en cuisine, mais ça vaut le coup.

  10. Le mot « oubliés » me chiffonne. On dirait qu’ils sont sortis de nulle part. Ce sont juste des légumes que ma grand-mère cultivait, et ils étaient délicieux.

  11. Septembre pour les « légumes oubliés », ça me rappelle surtout que c’est la rentrée… et que j’ai moins de temps pour jardiner. Il faudrait que je me fasse violence pour sortir le week-end.

  12. Panais, rutabaga… ça sonne comme des potions magiques dans un vieux grimoire. J’imagine bien Clémentine, sa baguette à la main, concoctant des plats mystérieux.

  13. Clémentine Haurie en Normandie, ça fleure bon l’authenticité. J’espère juste que cet engouement ne fera pas flamber les prix des graines !

  14. « Légumes oubliés », c’est une jolie façon de parler. Mais est-ce qu’on a vraiment la place pour ça dans nos vies à 100 à l’heure ? J’ai peur que ça finisse à la poubelle, faute de temps pour les cuisiner.

  15. Les légumes oubliés, c’est peut-être une solution pour manger local et de saison, même en hiver. Une bonne alternative aux tomates hors-sol !

  16. « Oubliés », c’est un peu fort. Disons plutôt « moins populaires ». Moi, ça me rappelle surtout les longues soirées d’hiver où ma mère essayait de nous faire manger des soupes épaisses.

  17. Clémentine Haurie me donne envie de me lancer, mais j’avoue, le plus dur c’est de savoir comment les cuisiner après ! Des recettes simples, SVP !

  18. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de reconnecter avec des saveurs d’enfance. Peut-être que ces légumes ont quelque chose à nous raconter.

  19. Légumes oubliés… c’est vrai qu’on se focalise toujours sur les mêmes. Peut-être que ça vaut le coup de casser la routine. Après tout, on a bien le droit de se surprendre !

  20. Septembre pour planter ? Pas bête. Faut voir si mon sol argileux accepte ces légumes rustiques. Une petite analyse s’impose avant de se lancer.

  21. Moi, je me demande si ces légumes « oubliés » sont vraiment adaptés au changement climatique. On nous parle souvent de sécheresse et de canicule, est-ce qu’ils résistent bien ?

  22. Topinambours… j’en ai planté une fois. L’invasion ! J’ai mis des années à m’en débarrasser. Attention à l’endroit où vous les mettez !

  23. C’est marrant, cet engouement pour le « vintage » même dans l’assiette. J’espère juste que la mode ne va pas faire exploser les prix des graines !

  24. C’est chouette de remettre au goût du jour des légumes délaissés. J’espère juste qu’ils auront plus de succès que mon potimarron l’an dernier… Il a fini en soupe pour les poules!

  25. Clémentine Haurie me donne envie. Son potager normand, ça sonne authentique. Je vais peut-être essayer le panais, juste pour le plaisir de dire que j’en ai cultivé.

  26. C’est amusant de penser qu’on « redécouvre » des légumes. Ma grand-mère, elle, les a toujours mangés. C’est peut-être juste nous qui les avions oubliés!

  27. Clémentine Haurie me rappelle ma voisine, toujours à dénicher des recettes d’antan. C’est peut-être une bonne idée, tiens, de lui en parler ! On pourrait jardiner ensemble.

  28. Légumes oubliés, c’est vite dit. Ma mère a toujours fait une purée de topinambours-pommes de terre à tomber par terre ! C’est juste qu’on ne sait plus cuisiner.

  29. Septembre, c’est aussi le moment de penser aux récoltes de printemps ! Pourquoi ne pas mentionner l’ail ou les échalotes ? C’est moins exotique, mais tout aussi gratifiant.

  30. Le principal avantage de ces légumes, c’est qu’ils se conservent bien. Parfait pour éviter le gaspillage en hiver, contrairement aux légumes d’été qui flétrissent vite.

  31. Ça me rappelle les repas chez mes grands-parents, toujours plein de légumes que je ne connaissais pas enfant. Un retour aux sources, en quelque sorte.

  32. Plutôt que « oubliés », je dirais « délaissés ». Chez moi, en Bretagne, on a toujours fait pousser des légumes racines. C’est la base, avec le beurre salé !

  33. Le topinambour, c’est joli en fleur, ça oui. Mais attention, c’est vite envahissant ! J’en ai planté une fois, je me bats encore pour m’en débarrasser.

  34. Le retour de ces légumes, c’est surtout une manière de moins dépendre des supermarchés, non ? Plus d’autonomie, c’est ce qui m’attire.

  35. C’est marrant, cette idée de « légumes oubliés ». On dirait qu’on redécouvre l’eau chaude… Mais bon, si ça peut inciter les gens à manger plus sainement, tant mieux.

  36. Ces légumes « oubliés », c’est surtout qu’ils demandent plus de temps de préparation, non ? On est tellement habitués au vite fait bien fait…

  37. J’aime l’idée de renouer avec des saveurs d’antan. Ça me rappelle les plats que ma grand-mère préparait, des goûts vrais et authentiques.

  38. C’est marrant, j’associe plus septembre à la rentrée qu’au jardinage. Mais l’idée de prolonger le plaisir du potager, pourquoi pas ?

  39. Septembre, c’est le mois des confitures chez moi, pas tellement celui des plantations. Mais l’idée d’avoir des légumes originaux à partager avec mes voisins me plaît bien.

  40. Septembre, c’est vrai que c’est un entre-deux. J’ai toujours l’impression de devoir choisir entre profiter des dernières tomates et me préparer pour l’hiver.

  41. Le panais, le rutabaga… ça me rappelle surtout les disettes de la guerre, pas vraiment un souvenir gourmand ! Mais bon, pourquoi pas retenter l’expérience avec une bonne recette.

  42. Plutôt que des légumes « oubliés », je dirais des légumes « délaissés » par la grande distribution. Ma mère en cultivait encore, c’était pas si lointain !

  43. J’avoue, le topinambour, ça me fait penser aux vaches. Mais bon, si ça peut pousser sans trop d’eau, avec les étés qu’on a… Je vais peut-être essayer, tiens.

  44. Le « légume oublié », c’est un peu la madeleine de Proust du potager, non ? Un goût d’enfance à retrouver, ça me parle bien plus que le rendement.

  45. « Légumes oubliés », ça fait un peu cliché, non ? Mais bon, si ça occupe le terrain pendant l’hiver au lieu de le laisser nu, pourquoi pas tenter le coup ?

  46. Planter en septembre ? Ça me stresse un peu. J’ai l’impression de ne jamais avoir assez de temps pour tout faire, entre le boulot et les enfants. Mais bon, peut-être que quelques rangs de topinambours, ça ne prend pas tant de temps que ça.

  47. Septembre et légumes « oubliés », ça me fait penser aux longues soirées d’hiver au coin du feu. L’idée de manger quelque chose qu’on a cultivé quand il fait froid dehors, c’est réconfortant.

  48. Clémentine Haurie en Normandie, ça sent le sérieux ! J’imagine bien les récoltes d’hiver avec le crachin dehors… un peu de réconfort dans l’assiette.

  49. Le potager en septembre, c’est surtout le moment où les limaces se gavent de mes semis d’hiver… J’espère que ces légumes oubliés sont moins appétissants pour elles !

  50. Des légumes oubliés, je trouve ça joli comme idée, mais j’ai peur de ne pas savoir les cuisiner. Un peu plus de recettes dans l’article, ça aurait été bienvenu !

  51. Ça me fait penser aux légumes que mon grand-père cultivait. Il disait que c’était « de la bonne terre qui ne demande rien ». Peut-être que ça vaut le coup d’essayer, finalement.

  52. Le panais, le rutabaga… ça me rappelle les hivers de guerre. On mangeait ce qu’on trouvait, pas toujours par plaisir. Est-ce qu’on a vraiment besoin de ça aujourd’hui ?

  53. Moi, j’ai surtout envie de me reconnecter au rythme des saisons. Les légumes oubliés, c’est peut-être une façon de moins forcer la nature.

  54. Les légumes oubliés, c’est tendance, c’est sûr. Mais franchement, l’argument du « retour aux sources », ça me laisse un peu froid. J’ai juste envie de bien manger, point.

  55. « Oubliés », c’est un peu fort, non ? Ma grand-mère a toujours fait de la soupe au topinambour, et elle est délicieuse. C’est peut-être juste une question de génération.

  56. Septembre, c’est le moment où je me dis que le potager va enfin me laisser tranquille. Repartir sur des semis, franchement, ça me fatigue d’avance.

  57. Moi, j’avoue que j’ai toujours trouvé ça triste un potager vide en hiver. Si ces légumes peuvent apporter un peu de couleur et de saveur, pourquoi pas ? Je vais me renseigner.

  58. Le potager en septembre, c’est comme ranger ses affaires avant les vacances. Je n’ai pas envie de ressortir les outils tout de suite. Laissons la terre se reposer un peu, non ?

  59. Le « sentiment de vide » au potager, c’est exactement ce que j’adore ! C’est le moment de laisser la nature reprendre ses droits sans notre intervention constante.

  60. Plutôt que « légumes oubliés », je dirais « redécouverts ». L’intérêt est surtout de varier les plaisirs et de ne pas manger toujours la même chose. Le goût avant tout!

  61. Topinambours, panais… Ça me rappelle les hivers de mon enfance chez mes grands-parents. Des goûts rustiques qui réchauffent le cœur, plus que le corps, bizarrement.

  62. « Légumes oubliés »… ça me fait penser aux recettes de ma diététicienne. C’est bon pour la santé, paraît-il, mais est-ce que mes enfants vont en manger ? C’est ça, la vraie question.

  63. Plutôt que des légumes oubliés, je dirais des légumes…adaptés! Avec le changement climatique, trouver des variétés qui tiennent le coup en hiver, c’est plus qu’une tendance, c’est une nécessité.

  64. Des récoltes en hiver ? Bonne idée, mais j’ai peur que ce soit plus de travail qu’autre chose. J’imagine déjà les protéger du gel…

  65. Clémentine Haurie en Normandie ? Ça me parle. La terre y est bonne, mais la patience est de mise. J’espère qu’elle a une bonne recette pour accommoder tout ça, parce que sinon…

  66. Septembre et légumes oubliés… Ça me fait penser à ma grand-mère et ses histoires. Elle disait toujours que rien ne se perd, tout se transforme, même les légumes « moches » !

  67. Moi, planter en septembre ? Déjà que j’ai du mal à finir de désherber les tomates… C’est tentant, mais je préfère profiter de l’arrière-saison avant de replonger les mains dans la terre.

  68. Des légumes oubliés, oui, mais surtout un plaisir retrouvé! Cuisiner avec les produits de son jardin en hiver, c’est une petite victoire contre la grisaille.

  69. Légumes oubliés, c’est poétique, mais il faut quand même avoir un sol qui accepte ça. Chez moi, c’est caillouteux, je doute que le panais s’y plaise.

  70. Plutôt que « légumes oubliés », je dirais « légumes qui demandent à être redécouverts ». J’imagine le plaisir de retrouver ces saveurs authentiques, loin des tomates insipides de supermarché en hiver.

  71. Le panais, le rutabaga… ça sent l’enfance et les soupes épaisses. J’avoue, je n’ai jamais pensé à les cultiver moi-même. Peut-être que je devrais essayer, ça changerait des courgettes !

  72. Septembre, c’est déjà la rentrée… J’ai l’impression que le potager, c’est un peu comme l’école, on n’a jamais vraiment de vacances !

  73. Légumes oubliés, ou plutôt, légumes de nos ancêtres ? J’aime cette idée de renouer avec un savoir-faire qui se perd. Ça donne un sens au jardinage, au-delà de la simple consommation.

  74. Rutabaga, topinambour… J’ai l’impression de revenir à l’époque où on ne trouvait rien d’autre. Bof, je reste sur mes choux et mes poireaux, plus simples à cuisiner.

  75. Plantez des légumes oubliés en septembre ? Bonne idée… pour ceux qui ont le temps de s’en occuper correctement! J’ai déjà du mal à gérer le basilic qui monte en graines.

  76. J’adore l’idée de légumes « oubliés », mais soyons honnêtes : est-ce qu’on sait vraiment comment les cuisiner, une fois récoltés ? J’ai peur de me retrouver avec un stock de trucs immangeables.

  77. Septembre pour planter ? Je suis dubitatif. Mon potager est déjà lessivé par l’été, je n’ai plus l’énergie de recommencer un cycle complet. On verra l’année prochaine, peut-être.

  78. Ça me rappelle les légumes du jardin de ma grand-mère. Des saveurs fortes, rustiques. Un peu de nostalgie dans l’assiette, ça peut être sympa.

  79. C’est marrant, on parle de légumes « oubliés » comme si c’était une nouveauté. Moi, j’ai toujours trouvé ça normal de manger des carottes et des poireaux en hiver.

  80. Ces légumes « oubliés », c’est pas un peu une façon de faire du neuf avec du vieux, en nous culpabilisant de manger des tomates en hiver ?

  81. Clémentine a de la chance d’avoir le temps. Moi, je travaille, alors « légumes oubliés » ou pas, ça sera ceux qui poussent vite et sans trop d’efforts.

  82. Ça me fait penser que nos aïeux avaient moins de choix, mais peut-être plus de patience. On a tellement l’habitude de tout avoir tout de suite!

  83. Moi, j’avoue, le « légume oublié » ça me parle moins que le « légume qui tient l’hiver ». L’idée d’avoir quelque chose de frais à manger quand tout est gris, c’est ça qui me motive.

  84. Moi, ce qui me freine, c’est le côté « légume oublié = forcément bon pour la santé ». On dirait qu’il faut souffrir pour être vertueux !

  85. Je me demande si ces légumes « oubliés » ne sont pas tout simplement redécouverts parce qu’ils sont plus résistants aux changements climatiques. Ça aurait du sens.

  86. « Légumes oubliés », ça me rappelle surtout les repas de cantine de mon enfance. On n’appelait pas ça comme ça, mais le goût y était… particulier.

  87. Le côté « légume oublié » me fait un peu penser aux recettes de grand-mère. C’est réconfortant, comme un retour aux sources, même si je ne suis pas sûr d’aimer le goût!

  88. J’aime bien l’idée d’avoir quelque chose d’original à proposer à table, ça change des carottes et des pommes de terre habituelles.

  89. Bof, ça sent la mode bobo à plein nez, cette histoire de légumes oubliés. Je préfère me concentrer sur les classiques bien maîtrisés.

  90. Septembre, c’est déjà la rentrée, les enfants à gérer… Le potager, c’est clairement pas ma priorité. Peut-être l’année prochaine, quand j’aurai plus de temps.

  91. Septembre, c’est le moment où je me dis qu’il faut vraiment que j’améliore mon sol. Peut-être que ces légumes oubliés seraient moins exigeants que mes tomates capricieuses… à creuser !

  92. Légumes oubliés… ça fait un peu « recyclage de légumes moches » dit comme ça. Mais si ça peut éviter le gaspillage, pourquoi pas essayer quelques plants ?

  93. Ces légumes « oubliés », c’est surtout que les supermarchés ne les proposent pas! On est tellement habitués à une offre restreinte. Ça peut être une bonne façon de diversifier son alimentation.

  94. Panais, rutabaga… Je ne sais pas si c’est « oublié », mais je n’ai jamais cuisiné ça de ma vie ! Il faudrait déjà trouver des recettes qui donnent envie.

  95. Finalement, le terme « légume oublié » est peut-être un peu fort. Ma grand-mère, elle, n’a jamais oublié le potimarron ou les crosnes! C’est peut-être juste une affaire de génération.

  96. Clémentine Haurie en Normandie… ça me parle! Avec l’humidité qu’on a, si elle arrive à faire pousser ces trucs, c’est peut-être jouable chez moi aussi, dans le Nord.

  97. Ces légumes, c’est surtout le souvenir des hivers froids chez mes grands-parents. Pas forcément les meilleurs souvenirs gustatifs, mais ça a le mérite d’être authentique.

  98. Clémentine Haurie, c’est un joli nom pour quelqu’un qui parle de légumes d’hiver. Ça me fait penser aux contes de mon enfance. Peut-être qu’il y a un peu de magie là-dedans finalement.

  99. J’ai toujours trouvé que le potager en hiver, c’était triste à mourir. Si ces légumes peuvent amener un peu de vie et de couleur, je dis banco. Faut juste que ça plaise aux enfants, sinon c’est peine perdue.

  100. Plantez en septembre pour manger en hiver ? Drôle d’idée ! Moi, je préfère profiter du soleil et des dernières tomates. On verra bien en novembre si j’ai le courage…

  101. SportifDuDimanche

    Septembre, le potager se rendort… sauf si on le motive un peu ! L’idée est séduisante, mais j’ai peur du boulot que ça représente pour un résultat incertain.

  102. Légumes oubliés, oui, mais surtout des légumes qui demandent du temps ! J’ai déjà du mal à suivre le rythme au printemps, alors l’automne…

  103. Septembre, c’est le moment où je commence à penser à la soupe! Topinambours et panais, ça change des classiques carottes et pommes de terre. Bonne idée pour varier les plaisirs.

  104. ProvincialeHeureuse

    Je suis plus du genre à prolonger l’été qu’à anticiper l’hiver au potager. Peut-être que je devrais tenter le coup, histoire de moins culpabiliser en décembre.

  105. MécanicienRetraité

    Le panais, le rutabaga… ça me rappelle surtout les périodes de vaches maigres. Je préfère miser sur les légumes de saison, même en hiver. Moins de boulot, plus de goût !

  106. InstitutricePassionnée

    Le côté « légumes oubliés » me parle bien. Marre de toujours manger la même chose ! Ça me donne envie de creuser un peu, voir si c’est vraiment compliqué à cultiver.

  107. C’est marrant, je me demande si « légume oublié » ne veut pas juste dire « légume que personne n’aime beaucoup » en fait. Le goût, il compte quand même!

  108. Septembre, c’est surtout synonyme de rentrée et de reprise du travail pour moi. Planter, ça attendra le week-end, si la météo le permet. L’idée est bonne, mais le temps, lui, ne se cultive pas.

  109. Moi, j’ai toujours trouvé un charme mélancolique aux légumes d’hiver. Ils ont un goût de terre, de patience. Ça me parle plus que les tomates gorgées de soleil.

  110. Tiens, ça me rappelle la recette de gratin de légumes racines de ma grand-mère. Elle mettait du panais et du rutabaga, c’était divin! Faut que je lui redemande.

  111. Des légumes oubliés, c’est surtout un bon moyen de faire parler les anciens, non ? Ça me rappelle les histoires de mon arrière-grand-père, lui au moins, il savait comment faire pousser ces trucs-là.

  112. Guillaume Bernard

    Clémentine Haurie en Normandie… ça sent l’article sponsorisé par une marque de graines ! Mais bon, si ça peut me donner une excuse pour passer plus de temps dehors avant le froid, pourquoi pas.

  113. Légumes oubliés, d’accord, mais j’espère que les jardineries auront les graines! Je me vois mal courir la France pour trouver du rutabaga.

  114. Septembre et légumes oubliés… Ça me fait penser aux repas chaleureux en famille, quand la maison sent bon la soupe et qu’on se réchauffe après une balade dans les bois.

  115. Le « légume oublié », c’est un peu l’anti-star des étals. Peut-être qu’il y a une raison pour qu’on l’ait oublié, non ? J’espère juste que ça ne va pas devenir la nouvelle lubie hors de prix des foodistas.

  116. Le potager qui se vide, ça me déprime toujours un peu. Si ces légumes oubliés peuvent combler ce vide, je dis banco! Moins de gaspillage, plus de couleurs dans l’assiette.

  117. Plutôt que « légumes oubliés », je dirais « redécouverts ». C’est plus positif, ça évite de penser qu’ils sont mauvais.

  118. Le potager en septembre, c’est surtout le moment de savourer les dernières tomates avant qu’elles ne flétrissent. Je préfère me concentrer là-dessus, les légumes « oubliés », on verra plus tard.

  119. Panais, rutabaga… ça me fait penser aux légumes que mes parents me forçaient à manger quand j’étais petit ! L’idée de les replanter, bof.

  120. Septembre, c’est surtout le moment de faire des conserves et des confitures avec les fruits du jardin. Les légumes, on verra l’année prochaine.

  121. Moi, ce qui me plait dans l’idée, c’est la promesse d’un potager actif en hiver. C’est tellement triste de voir tout dormir pendant des mois !

  122. Sébastien Bernard

    Moi, je suis surtout curieux de savoir si ces légumes sont faciles à cultiver. J’ai pas la main verte, alors si c’est galère, c’est mort.

  123. Les légumes oubliés ? Ça me rappelle surtout les longues soirées d’hiver à chercher des recettes originales sur internet pour essayer de les rendre appétissants.

  124. C’est marrant, moi septembre au potager, c’est surtout l’odeur de la terre mouillée et le plaisir de préparer le terrain pour le repos hivernal. L’idée de replanter, ça me semble un peu forcer la nature.

  125. Alexandre Bernard

    Clémentine a raison de vouloir prolonger le plaisir du jardinage ! J’ai toujours aimé le goût sucré du panais rôti au four. Une belle façon d’oublier la grisaille de l’automne.

  126. Topinambours, panais… ça fleure bon les plats de grand-mère. Pour moi, c’est surtout une madeleine de Proust plus qu’une révolution potagère.

  127. Christophe Bernard

    Personnellement, je trouve que ça apporte un peu de poésie de replanter ces légumes rustiques. C’est une façon de se reconnecter avec des saveurs authentiques et de sortir des sentiers battus.

  128. François Bernard

    C’est sympa de remettre au goût du jour ces légumes, mais est-ce que les enfants apprécieront ? J’ai peur de me retrouver avec des assiettes pleines.

  129. Grégoire Bernard

    Le nom « légumes oubliés » me fait sourire. Oubliés par qui ? Ma grand-mère en a toujours cultivé ! C’est peut-être juste une mode qui revient…

  130. Clémentine me parle ! J’ai aussi l’impression de gaspiller l’automne au potager. Peut-être essayer un petit carré de panais, juste pour voir. On ne risque rien.

  131. Moi, je me demande surtout si ces légumes sont résistants aux limaces. C’est mon cauchemar absolu au potager, surtout à l’automne!

  132. Personnellement, je trouve que c’est une excellente idée pour varier les plaisirs en cuisine ! Marre des mêmes légumes toute l’année.

  133. Légumes oubliés, c’est un peu pompeux. Mais l’idée de manger local et de saison, même en hiver, c’est toujours bon à prendre. Je vais creuser, merci Clémentine !

  134. Le panais, le rutabaga… ça sent le retour à la terre, au vrai. J’imagine bien des soupes fumantes en rentrant du boulot, ça me tente bien plus que des tomates hors-sol en décembre.

  135. Septembre, c’est déjà le temps des confitures chez moi! Mais l’idée de prolonger le plaisir du jardin avant le froid, ça résonne. Je vais peut-être juste ajouter quelques graines, histoire de…

  136. Le potager en septembre, c’est surtout le grand nettoyage avant l’hiver chez moi. Planter, ça me semble un peu tard, même si j’avoue, l’idée d’une soupe maison en janvier, ça séduit.

  137. Moi, ce qui me freine, c’est le temps. Entre la rentrée des classes et les jours qui raccourcissent, j’ai du mal à imaginer trouver le temps de m’occuper de nouvelles plantations.

  138. Gabrielle Bernard

    Le « légumes oubliés », c’est un peu la madeleine de Proust du potager. Ça ravive des souvenirs d’enfance, de repas chez mes grands-parents. Moins exotique qu’un avocat, mais tellement plus réconfor…

  139. Le nom « légumes oubliés » me fait sourire. C’est vrai qu’on a tendance à se focaliser sur les stars de l’été, mais ça vaut le coup de sortir des sentiers battus.

  140. Clémentine a raison, ces légumes sont robustes et parfaits pour l’autonomie. Mon grand-père en cultivait toujours, sans se soucier des modes. Un vrai garde-manger naturel !

  141. Clémentine a raison, c’est un bon moyen de diversifier l’assiette. Mais attention à l’envahissement ! Le topinambour, c’est une vraie peste si on ne maîtrise pas sa propagation.

  142. J’ai toujours trouvé ces légumes un peu tristes. Ils me font penser à la fin de l’abondance, plus qu’à une nouvelle récolte prometteuse.

  143. Ces légumes « oubliés », je les trouve surtout compliqués à préparer. J’aimerais bien des recettes simples et rapides pour m’y mettre.

  144. C’est amusant de voir ces légumes revenir à la mode. Ma grand-mère en cultivait, mais je crois qu’elle aurait été surprise qu’on les appelle « oubliés »!

  145. Je me demande si cette « redécouverte » n’est pas surtout une façon de rendre branché ce que nos aïeux mangeaient par nécessité. Est-ce que le goût est vraiment là, ou est-ce juste la nostalgie …

  146. Le côté « anti-gaspi » me séduit bien plus que le côté « tendance ». Réduire le gaspillage au potager, c’est déjà un bon début.

  147. Bof, septembre, c’est déjà la course contre le froid chez moi. J’ai peur de ne pas avoir assez de soleil pour que ça prenne bien.

  148. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée d’avoir quelque chose de différent à proposer à mes enfants. Ils en ont marre des carottes !

  149. Je suis curieux de savoir si ces légumes se conservent mieux que les légumes classiques. Si c’est le cas, ça vaut le coup de s’y intéresser !

  150. J’ai toujours pensé que ces légumes étaient plus résistants aux maladies. Moins de traitements, c’est un argument qui me parle beaucoup!

  151. Légumes « oubliés », peut-être, mais surtout « économiques » ! En période d’inflation, c’est un argument massue pour moi. On verra si le goût suit.

  152. Catherine Bernard

    J’ai toujours eu un faible pour les légumes racines, leur goût terreux me rappelle les repas d’hiver de mon enfance. Si ça peut éviter de manger encore des courgettes en octobre, je suis partant !

  153. Le topinambour, oui ! J’en ai déjà goûté en soupe, c’est délicieux. Par contre, il paraît que c’est un peu envahissant comme plante.

  154. Moi, j’aime l’idée de me reconnecter à une histoire culinaire plus large. Cultiver ces légumes, c’est un peu comme lire un vieux livre de recettes.

  155. Légumes oubliés, oui, mais faut-il encore savoir comment les cuisiner ! J’ai peur de me retrouver avec une récolte abondante et aucune idée de ce que je vais en faire.

  156. Le « retour à la terre », très tendance… Mais je me demande si ces légumes ne sont pas oubliés pour une bonne raison ! Le goût est-il vraiment au rendez-vous ?

  157. Septembre, c’est déjà la course contre le froid! Je me demande si j’aurai assez de temps pour m’occuper de ces « nouveaux » légumes en plus de préparer le jardin pour l’hiver.

  158. J’ai toujours cru que septembre était le mois des confitures et des conserves pour survivre à l’hiver, pas pour replanter ! Le jardin, c’est déjà du passé pour moi à cette période.

  159. Jacqueline Bernard

    Planter en septembre ? J’ai toujours été trop occupé à rentrer le bois pour l’hiver pour penser à autre chose. Peut-être l’année prochaine, si j’ai plus de temps libre.

  160. Légumes oubliés, ça me parle. Ma grand-mère en cultivait certains. J’ai souvenir de goûts forts, un peu rustiques, mais tellement authentiques. Ça vaut la peine de tenter, rien que pour ça.

  161. Ces légumes, c’est tout une éducation à refaire ! Je me vois mal expliquer à mes enfants ce que c’est… et encore moins les leur faire manger !

  162. Intéressant… mais est-ce que ces légumes oubliés résistent aux limaces, surtout en Normandie ? C’est ma principale préoccupation en septembre !

  163. Panais, rutabaga… ça me rappelle les repas de cantine de mon enfance ! J’avais complètement oublié ces légumes. Une madeleine de Proust potagère, en somme.

  164. Le panais, le rutabaga… ça me fait penser aux légumes que ma mère me forçait à manger ! Peut-être que cultivés dans mon jardin, ils auraient une autre saveur. À tester !

  165. Septembre et les légumes oubliés, ça me fait penser aux étals des marchés de village, pleins de couleurs et de formes bizarres. Un peu de poésie dans l’assiette, ça change des carottes et des tomates habituelles.

  166. Clémentine Haurie en Normandie, ça me parle. J’imagine bien l’humidité et la terre riche. Peut-être que ces légumes oubliés sont justement parfaits pour ce climat, une piste à creuser.

  167. Légumes oubliés… ça sent la tendance bobo, non ? J’ai peur de me lancer et de me retrouver avec des légumes que personne ne voudra manger.

  168. Clémentine Haurie, je la connais ! Elle vend ses confitures au marché de Dieppe. Si elle se met aux légumes anciens, ça doit être bon. J’irai voir ça de plus près.

  169. Des récoltes savoureuses et originales en hiver, ça c’est une promesse alléchante ! Moi qui déprime quand le jardin se vide, ça me donne envie de prolonger le plaisir.

  170. Légumes oubliés… Je me demande si ce n’est pas surtout qu’on a oublié comment les cuisiner correctement. Peut-être que la clé est là, plus que dans la variété elle-même.

  171. Le « légume oublié », c’est souvent celui qui demande un peu plus de temps en cuisine. Est-ce que j’ai vraiment envie de ça en hiver ?

  172. J’ai toujours pensé que « légumes oubliés » rimait avec « rendement oublié ». Pas sûr que mon petit jardin puisse se permettre ce luxe.

  173. Plutôt que « légumes oubliés », je dirais légumes « délaissés ». On a tellement de choix maintenant, c’est facile d’oublier ce qui pousse bien chez nous.

  174. Moi, ce qui me gêne, c’est « légumes oubliés ». On dirait qu’ils ont fait quelque chose de mal ! C’est juste qu’ils sont moins à la mode, point.

  175. Moi, j’ai toujours eu l’impression que ces « légumes oubliés » étaient plus résistants aux maladies. Un avantage non négligeable quand on jardine bio !

  176. Septembre, c’est vrai que c’est déprimant au jardin. Mais je me méfie des modes. J’ai peur de me lancer dans des trucs compliqués pour un résultat bof.

  177. Sébastien Dubois

    Moi, ce qui me retient, c’est l’espace. J’ai déjà du mal à caser mes tomates en été, alors des légumes racines qui prennent de la place tout l’hiver… Faut voir !

  178. Le côté « légumes oubliés » me parle. Ma grand-mère en cultivait certains, et ça avait un goût… d’enfance. Ça vaut peut-être le coup de renouer avec ça.

  179. J’adore l’idée d’un potager d’hiver ! Ça change des salades et des radis habituels. Je vais creuser la question du panais, ça me tente bien.

  180. Je suis curieux de savoir si ces légumes oubliés se conservent bien. L’idée de récolter tout l’hiver est séduisante, mais pas si c’est pour les jeter une semaine après.

  181. Christophe Dubois

    Le topinambour, j’en ai planté une fois… Une vraie galère à maîtriser, ça devient vite envahissant. Mieux vaut être prévenu.

  182. En fait, ce qui me plait, c’est l’idée de manger local et de saison, même en hiver. Ça a du sens, plus que de chercher des tomates en décembre.

  183. Perso, j’ai toujours associé ces légumes à des plats un peu fades de cantine. Va falloir me convaincre du contraire pour les adopter !

  184. Ça me rappelle les hivers de mon enfance, avec des soupes épaisses et réconfortantes. Peut-être une façon de retrouver un peu de cette chaleur dans mon assiette.

  185. Bof, j’ai déjà du mal à identifier tous les légumes au supermarché, alors me lancer dans des trucs « oubliés »… C’est un peu trop pour moi.

  186. Septembre… l’impression que le jardin se repose, c’est vrai. Mais planter, c’est parier sur le printemps prochain, non ? Une manière d’être optimiste.

  187. J’ai toujours l’impression qu’on essaie de nous culpabiliser de ne pas jardiner « comme avant ». Moi, mon potager, c’est un plaisir, pas une performance.

  188. Légumes « oubliés », je trouve ça poétique. Comme si on redonnait vie à un bout d’histoire dans notre jardin. J’aime cette idée.

  189. Clémentine Haurie, une Normande, c’est déjà un bon point. Ça donne envie d’essayer, un peu comme suivre les conseils d’une voisine qui sait de quoi elle parle. Simple et authentique.

  190. J’aime l’idée de la résilience au potager. C’est pas juste cultiver, c’est s’adapter et profiter de ce que la terre veut bien nous donner, même quand il fait froid.

  191. Des légumes « oubliés », d’accord, mais est-ce que ça veut dire « difficiles à trouver » et « compliqués à cuisiner » ? J’ai peur de me lancer et de ne pas savoir quoi en faire une fois récoltés.

  192. Le « légume oublié », ça fait tout de suite plus terroir que le chou kale importé à prix d’or. On peut faire local sans forcément se ruiner !

  193. Le panais, le rutabaga… ça sent le plat unique de grand-mère, long à mijoter. Pas sûr que ça colle avec mon rythme de vie, mais ça a le mérite de l’authenticité.

  194. Des légumes oubliés, ça veut dire moins de pesticides, non ? C’est peut-être ça le vrai intérêt, plus que le côté « terroir ».

  195. Personnellement, je trouve que « légume oublié » rime souvent avec « goût particulier ». Pas toujours facile à faire apprécier à toute la famille, surtout aux enfants !

  196. Le « légume oublié », c’est bien joli, mais ça demande un vrai investissement en temps. Je préfère miser sur des valeurs sûres que je connais et maîtrise déjà.

  197. Moi, ce qui me freine, c’est l’espace. Mon potager est minuscule. Planter des légumes qui prennent de la place pendant des mois, c’est un luxe que je ne peux pas me permettre.

  198. Septembre pour planter ? Tiens, je n’avais jamais pensé qu’on pouvait encore faire quelque chose au potager à cette période ! Ça change des chrysanthèmes.

  199. Je suis toujours surpris de voir à quel point les modes reviennent, même au potager ! Les légumes « oubliés » ? C’est juste que nos parents et grands-parents savaient manger de saison, point.

  200. Légumes oubliés… Moi, ça me fait penser à la soupe de ma grand-mère, celle qui réchauffe après une journée dehors. Un vrai souvenir d’enfance !

  201. Plutôt que « oubliés », je dirais « redécouverts »! J’adore l’idée de renouer avec des goûts d’antan. Ça change des tomates hors-sol insipides.

  202. Ces légumes « oubliés », c’est surtout qu’ils demandent une patience que plus personne n’a vraiment, non ? Entre le boulot et les enfants, j’avoue que la rentabilité immédiate prime souvent dans mes choix au potager.

  203. Clémentine Haurie, elle a de la chance d’avoir du temps en Normandie! Ici en région parisienne, entre les transports et le boulot, j’ai à peine le temps de tondre la pelouse.

  204. Le côté « légume oublié » me fait sourire. On dirait une stratégie marketing pour nous vendre des légumes que personne ne voulait plus !

  205. Clémentine Haurie, elle me donne envie de me lancer! Marre des légumes standardisés du supermarché, j’aimerais bien retrouver des saveurs plus authentiques.

  206. Le topinambour, ça me rappelle surtout les difficultés à le digérer ! Faut vraiment savoir le cuisiner pour éviter les ballonnements.

  207. J’ai surtout peur de ne pas savoir les cuisiner correctement. Le topinambour, je connais, mais le panais et le rutabaga… Il faudrait des recettes simples et gourmandes !

  208. J’ai l’impression que ces légumes ont surtout été « oubliés » par les enfants, justement. Il faudra que j’en cuisine avec mes petits-enfants pour qu’ils connaissent ces goûts !

  209. Je me demande si le « retour » de ces légumes n’est pas aussi lié au prix des autres. Si ça devient plus économique de planter du topinambour que d’acheter des tomates…

  210. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de défier la saison. On nous dit toujours « c’est la fin », et là, on nous propose un nouveau départ. Un petit pied de nez à l’automne, quoi !

  211. J’ai toujours trouvé que le potager d’automne avait quelque chose de mélancolique. L’idée de le remplir à nouveau me plaît, mais je me demande si le goût de ces légumes sera à la hauteur de mes souvenirs d’enfance.

  212. Moi, ce qui me freine, c’est l’espace. J’ai un petit balcon, pas un potager. Est-ce que ces légumes oubliés sont adaptés à la culture en pot ?

  213. Septembre, replanter déjà ? J’ai à peine fini de nettoyer le barbecue des dernières grillades… L’idée de me remettre au jardin maintenant, ça me fatigue d’avance.

  214. Des légumes « oubliés », c’est vite dit… Ma grand-mère en a toujours planté. Le problème, c’est surtout que les jeunes ne connaissent plus, non ?

  215. Ces légumes, ça me rappelle surtout les hivers longs et les soupes épaisses. Un peu triste, mais nourrissant, c’est sûr ! Un goût d’avant, quoi.

  216. Jacqueline Dubois

    Le côté « légumes oubliés » me semble un peu surfait. On dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Le marketing a vraiment réponse à tout.

  217. J’adore l’idée de manger local en hiver ! Marre des tomates insipides qui viennent de l’autre bout du monde. Le panais, ça change.

  218. Clémentine Haurie, ça me parle. Les jardiniers ont souvent des prénoms qui fleurent bon la terre. J’espère qu’elle a raison, et que ces légumes ne sont pas trop difficiles à cuisiner !

  219. Panais, rutabaga… Mon chat va adorer quand je les sortirai du potager ! Lui, au moins, ne fera pas la fine bouche. On verra si j’arrive à le convaincre d’en manger ensuite…

  220. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de défier la nature. Planter quand tout le monde pense que c’est fini, c’est presque un acte de résistance.

  221. Clémentine Haurie, une Normande… ça donne envie de lui faire confiance. J’imagine déjà ses recettes avec du beurre salé et une touche de cidre.

  222. Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout le temps qu’il faut y consacrer. Entre le boulot et les enfants, j’ai peur de ne pas réussir à m’en occuper correctement.

  223. L’idée est sympa, mais j’ai toujours du mal à visualiser comment utiliser ces légumes en dehors de la soupe. Des idées recettes seraient les bienvenues !

  224. Septembre, c’est aussi le moment où je me dis qu’il faut vraiment nettoyer le potager… Pas sûr que je sois assez motivé pour replanter tout de suite. On verra.

  225. Le potager en septembre ? Pour moi, c’est surtout le plaisir de ralentir le rythme et de préparer la terre au repos. Le retour des légumes « oubliés », pourquoi pas, mais sans pression.

  226. Ces légumes oubliés, c’est un peu comme exhumer un vieux disque vinyle. Ça a du charme, mais faut voir si la musique est toujours bonne !

  227. Ces légumes « anciens », ça me rappelle surtout les hivers de mon enfance. Un peu triste, tout ça… Mais peut-être que c’est juste une question de goût.

  228. J’ai toujours associé ces légumes d’hiver à la rusticité et aux plats roboratifs. L’idée de les cultiver me reconnecte avec une certaine authenticité, loin des légumes standardisés des supermarchés.

  229. Le « vide » du potager, je le vois surtout comme une invitation à faire une pause bien méritée. Reprendre en septembre, ça me demanderait un regain d’énergie que je n’ai pas forcément.

  230. Le panais, le rutabaga… ça me rappelle surtout les repas peu variés de la cantine. Si je replante, ce sera plutôt des épinards, au moins, je sais comment les cuisiner facilement.

  231. Ces légumes, c’est surtout une bouffée d’air frais face à l’inflation. Si ça pousse bien et que c’est nourrissant, je suis preneur, peu importe le goût.

  232. Légumes oubliés… c’est vrai qu’on a tendance à se focaliser sur les mêmes. Peut-être que c’est le moment de sortir de sa zone de confort et de goûter à nouveau.

  233. Sébastien Durand

    Le topinambour, ça envahit tout ! J’en ai planté une fois, je me bats encore pour m’en débarrasser. Un conseil : réfléchissez bien avant de vous lancer.

  234. Le panais, le rutabaga… ça me fait penser aux recettes de ma grand-mère. Des plats simples, mais réconfortants. Je vais peut-être tenter, pour retrouver ces saveurs d’antan.

  235. Septembre, c’est surtout la rentrée des classes pour les enfants ! Le potager, c’est déjà une activité secondaire pour moi, alors en rajouter… J’admire ceux qui ont le temps.

  236. Clémentine a raison, on peut prolonger le plaisir ! Mais j’avoue, le défi, c’est d’imaginer des recettes sympas avec ces légumes « oubliés ».

  237. Légumes oubliés ? C’est surtout les magasins qui les oublient. Difficile de trouver des plants corrects, alors pour jardiner en septembre, bon courage pour la mission commando !

  238. Christophe Durand

    Septembre au potager, ça me rappelle surtout les jours qui raccourcissent et la nécessité de bien se couvrir. Planter des légumes, oui, mais faut-il encore avoir la motivation avec ce temps maussa…

  239. Moi, septembre, c’est l’odeur des feuilles mortes et le plaisir de replanter des fleurs d’automne pour égayer le jardin. Les légumes, on verra plus tard.

  240. J’aime l’idée de reconnecter avec des légumes d’autrefois. Ça change des tomates et courgettes ! J’espère juste que les jardineries locales suivront le mouvement.

  241. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de moins dépendre des supermarchés. Si ces légumes d’hiver peuvent m’aider à ça, je signe tout de suite.

  242. Plutôt que « oubliés », je dirais méconnus. J’ai toujours eu l’impression que ces légumes demandent un certain savoir-faire que l’on a perdu.

  243. Septembre et les légumes oubliés… Mouais. Perso, je préfère profiter des dernières tomates gorgées de soleil avant de dire adieu à l’été. L’hiver, on aura bien le temps de manger des racines.

  244. Le « légume oublié », c’est surtout un nom marketing, non ? Ma mère a toujours cuisiné le topinambour, et je ne me sens pas particulièrement original en en mangeant.

  245. C’est vrai que septembre, c’est le moment de penser à l’hiver. Perso, j’ai toujours trouvé le topinambour indigeste. D’autres suggestions de légumes faciles à digérer pour les estomacs fragiles ?

  246. Je me demande si ces légumes « oubliés » ne sont pas juste plus résistants aux maladies et moins gourmands en eau que les légumes d’été. Un argument écolo qui ne dit pas son nom ?

  247. Le topinambour, ça me rappelle surtout les repas chez ma grand-mère. Un goût de terre, un peu spécial… ça me replonge en enfance.

  248. Topinambour, panais… ça me rappelle les hivers où on mangeait ce qu’il y avait, point. Pas vraiment un choix, plus une nécessité. Est-ce qu’on y revient par nostalgie ou par réelle envie de redécouverte ? Je me pose la question.

  249. Légumes oubliés, oui, mais souvent difficiles à cuisiner. J’aimerais bien des recettes simples et rapides pour les intégrer facilement dans mon quotidien.

  250. C’est marrant, on dirait que ces légumes reviennent à la mode tous les 5 ans ! Je me demande qui en mange vraiment régulièrement…

  251. Septembre, c’est déjà l’heure de penser à la soupe ! Panais et rutabagas, ça change du potiron. J’essaierai bien cette année.

  252. Septembre au potager, c’est surtout le temps du grand nettoyage chez moi. Ces légumes d’hiver, je les achèterai au marché, ça me fera gagner du temps.

  253. Légumes oubliés… Je crois surtout que c’est la grande distribution qui les a oubliés ! Ma grand-mère, elle, n’a jamais arrêté d’en faire pousser. C’est bon, et ça nourrit.

  254. Septembre, c’est parfait pour le potager, mais j’ai toujours peur que les limaces ne fassent un festin de mes jeunes pousses. Un vrai défi !

  255. Ces légumes « oubliés », c’est bien joli, mais j’ai surtout peur de ne pas avoir la patience de les voir pousser tout l’hiver.

  256. Plutôt que de « légumes oubliés », je dirais des légumes redécouverts. Pour moi, c’est surtout une question de saisonnalité respectée.

  257. Ces légumes oubliés, c’est peut-être une bonne idée… mais j’ai un sol argileux. Est-ce que ça va pousser correctement ? J’ai peur de me lancer pour rien.

  258. Septembre et ces légumes, c’est surtout l’occasion de prolonger le plaisir du jardinage avant le froid. Une manière de rester connecté à la terre, même quand les jours raccourcissent.

  259. Légumes « oubliés »… Ça me rappelle les repas de cantine de mon enfance. J’espère juste que ceux-là auront plus de goût !

  260. Moi, planter en septembre, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre mouillée et les pulls en laine. Le potager, c’est un peu comme un rituel de passage vers l’hiver.

  261. Septembre et ces légumes, ça me fait penser aux soupes réconfortantes qui vont bientôt mijoter sur le feu. Un peu de nostalgie d’avance, en somme.

  262. Septembre et ces légumes oubliés, ça me rappelle les défis culinaires. J’imagine déjà les recettes originales à tester pour apprivoiser ces saveurs inconnues !

  263. « Légumes oubliés », moi je trouve ça surtout très économique. Ça change des tomates cerises à prix d’or en supermarché. Si en plus c’est bon, banco!

  264. Septembre et les légumes oubliés… Ça me fait penser aux étals moins colorés des marchés. Un peu triste, mais c’est la nature qui reprend ses droits.

  265. Légumes oubliés, oui, mais pas par tout le monde ! Ma grand-mère en a toujours cuisiné. C’est juste que les jeunes les boudent, c’est dommage.

  266. Septembre et les légumes oubliés… ça me fait penser aux légumes que les jardiniers amateurs comme moi ont moins de scrupules à laisser se faire manger par les limaces. Moins de perte au final !

  267. Légumes oubliés en septembre ? C’est vrai que ça change des courgettes géantes qu’on essaie d’écouler tout l’été. À essayer pour varier un peu, mais j’espère que c’est pas trop compliqué à cultiver.

  268. Septembre, les légumes oubliés… J’avoue, je suis plus du genre à vouloir prolonger l’été le plus longtemps possible. Le potager en mode « hibernation », c’est pas trop mon truc.

  269. Septembre et les légumes oubliés… Bof, ça me fait surtout penser aux jours qui raccourcissent et à la motivation qui s’effrite. Le potager, c’est bien l’été, avec le soleil.

  270. Septembre et les légumes oubliés, ça me parle surtout de transmissions. J’imagine bien Clémentine Haurie replantant ce que sa propre grand-mère cultivait. Un joli retour aux sources.

  271. Septembre et ces légumes… Je me demande si c’est vraiment facile pour ceux qui ont un petit balcon en ville. Faut-il un grand jardin pour le panais ?

  272. Septembre et ces légumes oubliés… Je me demande si on peut vraiment parler d’oubli. Pour moi, c’est surtout une question de mode. Le panais, c’est juste redevenu tendance, non ?

  273. Septembre et les légumes oubliés… Tiens, ça me donne une idée de soupe originale pour affronter les premiers frimas. Panais, rutabaga, ça doit réchauffer !

  274. Jacqueline Durand

    Septembre, les légumes oubliés… Honnêtement, j’ai l’impression que c’est surtout un argument marketing pour nous faire acheter des graines ! L’hiver, je préfère aller au marché.

  275. Septembre et ces légumes dits oubliés… Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout de savoir comment les cuisiner après ! Je ne voudrais pas me retrouver avec des légumes immangeables.

  276. Septembre, et ces légumes oubliés… Je me demande si le goût est au rendez-vous. J’ai souvenir du topinambour, c’était… spécial. Peut-être que les variétés ont été améliorées depuis.

  277. Septembre et ces légumes… Ça me rappelle les étals de marchés d’antan. Ma grand-mère cuisinait le topinambour, c’était simple et nourrissant. Une madeleine de Proust !

  278. Septembre et les légumes oubliés… Ça me fait penser aux conserves de ma tante. Elle préparait des bocaux de légumes racines pour l’hiver. Une manière astucieuse de profiter des récoltes.

  279. Septembre et les légumes oubliés… C’est vrai que ça change du potager d’été. Je vais peut-être tenter le coup, histoire de prolonger le plaisir de jardiner un peu plus longtemps.

  280. Septembre et les légumes oubliés… Est-ce que ça vaut vraiment le coup de se casser la tête pour quelques légumes ? Je crois que je vais plutôt profiter de la fin de saison des tomates.

  281. Septembre et ces légumes oubliés… Bof, je suis plutôt du genre à préparer mon jardin pour le printemps prochain. L’hiver, c’est repos pour la terre et pour moi !

  282. Septembre et ces légumes oubliés… J’ai toujours eu un faible pour les défis au potager. Si Clémentine Haurie réussit en Normandie, pourquoi pas moi dans le Centre ? Je vais creuser la question.

  283. Septembre et les légumes oubliés… Clémentine Haurie en Normandie, c’est bien joli, mais est-ce que ça tient la route avec la sécheresse qu’on se tape ces dernières années ? J’ai peur de gaspiller de l’eau pour rien.

  284. Septembre et ces légumes « oubliés »… Moi, ça me rappelle surtout que j’ai plus de temps libre après les vacances. Peut-être l’occasion de me lancer un petit défi culinaire et potager.

  285. Septembre et ces légumes « oubliés »… Je me demande si c’est vraiment une question de « mode » ou si c’est juste qu’on a oublié qu’ils étaient bons et peu exigeants.

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