Validé scientifiquement : cette technique de micro-sieste agit comme un reset neurologique qui multiplie votre performance cognitive sans que vos collègues ne s’en aperçoivent

Le coup de barre de l’après-midi qui paralyse votre productivité n’est plus une fatalité. Nombreux sont ceux qui luttent contre cette baisse de régime post-déjeuner, un phénomène biologique tout à fait naturel. Plutôt que de multiplier les cafés, une solution simple et validée par la science permet un véritable « reset » neurologique en quelques minutes. Cette technique, connue sous le nom de micro-sieste, agit comme une pause régénératrice pour le cerveau, augmentant la performance cognitive sans perturber votre journée de travail ni alerter vos collègues.

Les fondements scientifiques de la micro-sieste pour booster sa productivité

La fatigue de mi-journée n’est pas un signe de paresse, mais une réponse à notre biorythme naturel. Vers 13h ou 14h, notre corps connaît une baisse de vigilance. La micro-sieste intervient comme une réponse directe à ce besoin, en offrant un repos conscient au système cardiovasculaire et respiratoire. En permettant aux muscles de se relâcher, même pour une courte durée, le stress est évacué et les tensions s’apaisent. L’efficacité de cette méthode repose sur un principe clé : une durée maîtrisée pour éviter l’inertie du sommeil profond et garantir un réveil dynamique et alerte.

Le témoignage d’un professionnel : une solution au coup de fatigue

Thomas Dubois, un chef de projet de 38 ans basé à Lyon, a transformé ses après-midis. « Vers 14h, mon cerveau semblait simplement s’éteindre. J’enchaînais les cafés sans aucun effet notable, c’était devenu un vrai problème pour ma concentration », confie-t-il. Initialement sceptique, il a tenté l’expérience dans une salle de réunion vide, en réglant une alarme pour 15 minutes. Au lieu de la somnolence habituelle d’un réveil, il a ressenti une clarté mentale immédiate. C’est devenu sa routine discrète pour rester performant toute la journée. Cette efficacité repose sur un principe simple : la sieste ne doit pas dépasser 20 minutes pour éviter d’entrer en sommeil profond. Ce repos léger permet de réduire le stress et de détendre le système cardiovasculaire sans provoquer l’inertie du sommeil, garantissant un réveil dynamique.

Comment intégrer la micro-sieste dans votre quotidien professionnel

L’intégration de cette pause ne requiert aucune logistique complexe. L’essentiel est de trouver un endroit calme et de s’assurer de ne pas être dérangé. Que ce soit au bureau, dans les transports ou chez soi, le confort est primordial pour faciliter un relâchement rapide. Au-delà de la vigilance accrue, l’impact est multiple. Sur le plan pratique, elle ne demande aucun matériel. Pour la santé, elle prévient l’épuisement et améliore l’humeur. Des études ont montré qu’une productivité augmentée de près de 35% est observée, transformant une simple pause en un véritable investissement.

  • Prévenir l’épuisement : Une pause préventive contre le surmenage.
  • Stimuler la mémoire : Amélioration des fonctions cognitives à court terme.
  • Augmenter la vigilance : Lutte efficace contre la somnolence.
  • Cultiver la bonne humeur : Réduction du stress et de l’irritabilité.

Optimisation et impacts élargis de cette pause régénératrice

Pour optimiser la pratique, des exercices de respiration peuvent accélérer la détente. Certains experts recommandent même des siestes de 5 à 10 minutes pour les plus pressés. Cette approche dépasse le simple cadre du bureau, étant utilisée par les créatifs pour stimuler l’imagination et les sportifs pour la récupération. Son adoption progressive remet en question la culture de la performance ininterrompue, encourageant une gestion de l’énergie plus intelligente et alignée sur nos besoins physiologiques. À long terme, elle devient un outil préventif majeur pour un bien-être durable au travail.

Caractéristique Micro-sieste (10-20 min) Sieste longue (> 30 min)
Type de sommeil Sommeil léger Sommeil profond
Sensation au réveil Alerte, rafraîchi Grognon, inertie du sommeil
Impact sur la nuit Nul ou positif Peut perturber l’endormissement

En somme, la micro-sieste est une technique accessible et redoutablement efficace pour régénérer son esprit. L’intégrer à sa routine, c’est choisir une performance durable plutôt qu’un épuisement certain. Une petite pause qui pourrait bien redéfinir notre rapport au travail et à l’efficacité.

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343 réflexions sur “Validé scientifiquement : cette technique de micro-sieste agit comme un reset neurologique qui multiplie votre performance cognitive sans que vos collègues ne s’en aperçoivent”

  1. Un « reset neurologique » en douce, ça vend du rêve. Mais perso, la micro-sieste me stresse plus qu’elle ne me détend. J’ai l’impression de rater quelque chose.

  2. Micro-sieste? J’ai essayé. Résultat : impossible de me rendormir avant le soir. Plus fatigué qu’avant, et en prime, un mal de tête carabiné.

  3. Micro-sieste, pourquoi pas? J’ai remarqué que fermer les yeux 5 minutes, même sans dormir, me suffit parfois à me recentrer. Un peu comme une méditation express.

  4. Moi, la micro-sieste, ça me rappelle les siestes obligatoires de la maternelle. J’ai toujours eu du mal, même petit. L’idée d’être performant après, bof.

  5. Le « reset neurologique », c’est un peu fort comme terme, non ? Moi, si je pique du nez 5 minutes, je me sens juste un peu honteux et déboussolé.

  6. Mouais, la micro-sieste, ça sonne bien sur le papier, mais en vrai, j’ai l’impression que ça demande une sacrée discipline. Moi, si je me pose pour cinq minutes, je suis parti pour une heure !

  7. Moi, j’y crois bien. Le coup de barre de l’après-midi, je le connais trop ! Si ça peut éviter de me gaver de sucre, je suis preneur. Faut juste que j’arrive à pas ronfler…

  8. Je suis curieux de savoir quelle est la technique exacte. « Micro-sieste » c’est vague. Ça se pratique comment concrètement au bureau sans passer pour un fainéant ?

  9. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur le long terme. Est-ce que forcer ces mini-pauses, ça ne dérègle pas notre horloge biologique à la fin ?

  10. Perso, je me demande si c’est pas juste un effet placebo bien marketé. La science valide tout et son contraire…

    J’imagine mal le mettre en place avec les open spaces d’aujourd’hui.

  11. En tant que parent de jeunes enfants, la « sieste », même micro, c’est un mot qui évoque surtout… l’impossibilité. Rêver d’une pause au bureau, c’est déjà beaucoup demander.

  12. C’est marrant, ça me fait penser à mes chats. Ils dorment 20h par jour et sont hyper efficaces le reste du temps. Peut-être qu’ils ont raison finalement.

  13. Micro-sieste, micro-espoir ? J’ai surtout peur de me sentir encore plus vaseux après. L’idée est séduisante, mais mon corps a une inertie…

  14. Le plus dur, c’est pas la sieste, c’est de se pardonner de l’avoir faite. La culpabilité post-sommeil, ça annule tous les bénéfices, non ?

  15. Je suis toujours surpris de voir comment on cherche à optimiser chaque instant. J’ai l’impression qu’on a oublié qu’être humain, c’est aussi avoir des baisses de régime.

  16. Le bruit des claviers autour, impossible de décrocher. Je préfère sortir prendre l’air 5 minutes, même si c’est moins « scientifique ».

  17. Micro-sieste… J’ai essayé une fois. Résultat ? J’étais plus fatigué qu’avant, avec un goût amer de café froid et le sentiment d’avoir perdu mon temps. Pas convaincu.

  18. J’ai l’impression qu’on nous vend une solution miracle. Or, la fatigue post-déjeuner, c’est peut-être le signal qu’il faut manger plus sain ou bouger davantage.

  19. Moi, ça me fait penser aux réunions interminables. Une micro-sieste discrète serait un moyen élégant d’y survivre, plutôt qu’un besoin de performance.

  20. « Reset neurologique », le terme est fort. Moi, je me demande surtout si ça marche quand on a des enfants en bas âge… Parce que la vraie fatigue, elle vient de là.

  21. Micro-sieste discrète au bureau… Ça me fait rêver ! Mais entre les open spaces et la pression, l’idée me paraît presque subversive. Un acte de rébellion contre la productivité à tout prix ?

  22. Le « reset neurologique », ça me fait penser à une défragmentation de disque dur. Un peu froid comme image, non ? J’ai besoin d’une pause, pas d’une réparation.

  23. Un « reset neurologique » en quelques minutes ? Si seulement ça marchait aussi vite pour effacer la montagne de dossiers qui m’attend! Je crois que le stress est plus fort que la science, parfois.

  24. Un reset neurologique, vous dites ? Ça me rappelle surtout mes enfants quand je débranche la console… ça ne dure jamais assez longtemps ! J’imagine que c’est pareil au bureau.

  25. Moi, la micro-sieste, je la vois comme une mini-vacance. Ça coupe la journée en deux, ça évite de la subir d’une traite. Un peu comme un point de côté qui s’en va.

  26. Micro-sieste, le concept me plaît. Mais je me demande si l’environnement de bureau est vraiment propice à ça. Je crains le regard des autres, l’impression de paresse.

  27. Micro-sieste… j’y crois moyen. J’ai toujours l’impression de perdre plus de temps à essayer de m’endormir qu’à réellement me reposer. Autant faire une pause café et discuter avec les collègues.

  28. Micro-sieste ? Je suis curieux. Ce serait peut-être un moyen de mieux gérer mes migraines de tension. Une pause silencieuse pourrait être plus efficace qu’un comprimé.

  29. Le « reset neurologique », c’est vendeur. Mais est-ce que ça ne risque pas de perturber mon sommeil du soir ? J’ai déjà du mal à m’endormir…

  30. Micro-sieste, pourquoi pas ? Mais ça me fait penser à ma grand-mère qui piquait un somme après le déjeuner… C’était pas vraiment synonyme de productivité, plutôt de digestion !

  31. La micro-sieste, c’est peut-être la solution pour être moins irritable avec mes clients l’après-midi ! À tester, si ça ne me met pas de mauvaise humeur.

  32. Micro-sieste, je testerais bien… à condition de trouver un endroit discret. Le regard des autres, c’est le tue-l’amour de la sieste au bureau !

  33. Micro-sieste… ça ressemble à une excuse pour glander. On dirait que je suis le seul à carburer sous pression, sans avoir besoin de roupiller!

  34. Micro-sieste, j’ai essayé une fois. Résultat : 30 minutes de culpabilité intense et l’impression d’avoir dormi sur un cactus. Chacun son truc, quoi.

  35. Micro-sieste… Mouais. L’idée est séduisante, mais je me demande si c’est vraiment adapté à tous les métiers. Ça me semble plus pertinent pour un travail intellectuel que manuel, non ?

  36. Le « reset neurologique », ça me rappelle les pubs pour les yaourts qui boostent les défenses immunitaires. J’ai l’impression qu’on veut médicaliser un besoin naturel : faire une pause.

  37. Micro-sieste, ça me rappelle mes études. J’aurais aimé connaître ça à la BU ! Éviter le coup de barre sur un bouquin de droit… Un gain de temps énorme.

  38. Micro-sieste ? Bof, j’ai peur de sombrer complètement et de me réveiller 2 heures plus tard, complètement désorienté. Mon horloge biologique est capricieuse.

  39. Le coup de barre de l’après-midi, c’est mon ennemi juré ! Mais j’ai peur de devenir accro à la sieste, et que ça dérègle encore plus mon sommeil.

  40. Je me demande si la vraie difficulté n’est pas de trouver le lieu et le moment propice. Un bureau open space, c’est mission impossible, non ?

  41. « Validé scientifiquement »… ça me fait toujours sourire. Mais bon, si ça peut m’éviter de devenir irritable avec mes enfants à 17h, je veux bien tenter le coup. On verra si je ronfle trop fort !

  42. J’ai toujours pensé que le secret, c’était plus dans l’organisation du travail que dans une sieste miracle. Mieux vaut anticiper la fatigue, non ?

  43. Moi, le coup de barre, c’est surtout le lundi. Le week-end me dérègle plus qu’il ne me repose. Peut-être que la micro-sieste aiderait à la transition… à tester !

  44. Franchement, le « reset neurologique », ça sonne un peu marketing, non ? J’aimerais surtout savoir si ça marche vraiment pour les gens comme moi, qui ont un sommeil déjà fragile.

  45. Le coup de barre, je le combats avec une balade dehors. L’air frais et la lumière naturelle, c’est bien plus efficace qu’une sieste, non ? En plus, ça évite de culpabiliser de ne rien faire.

  46. Moi, ce qui me bloque, c’est la culpabilité. J’ai l’impression de « voler » du temps à l’entreprise en dormant, même quelques minutes.

  47. Je suis plutôt du matin, alors le coup de barre de l’après-midi, je connais pas trop. Mais je comprends que ça puisse aider ceux qui carburent moins le matin.

  48. J’ai du mal à imaginer trouver un endroit calme au bureau pour ça. Entre les open spaces et les réunions impromptues, ça relève de la mission impossible !

  49. J’ai toujours cru que le problème venait de la digestion, plus que du cerveau. Un sandwich trop lourd et c’est foutu, impossible d’être concentré après.

  50. Micro-sieste, oui, mais avec un bon podcast ! Ça me permet de me détendre sans me sentir complètement déconnecté du monde. C’est mon petit truc.

  51. « Validé scientifiquement », ça sonne un peu trop « solution miracle » à mon goût. J’aimerais bien voir les études en question, et surtout, si ça marche vraiment sur le long terme.

  52. La micro-sieste, c’est séduisant sur le papier. Mais le stress de me rendormir et d’être en retard me ferait plus de mal que de bien, je crois.

  53. Je me demande si ça ne serait pas plus efficace de changer radicalement d’activité pendant une dizaine de minutes. Une micro-sieste, ça doit demander une certaine maîtrise pour ne pas empiéter sur le reste de la journée.

  54. C’est marrant, moi c’est l’inverse : le matin, je suis une loque. Peut-être que la micro-sieste me servirait de « starter » pour la journée, du coup ! À tester.

  55. Moi, ce qui me bloque, c’est l’idée de devoir « performer » même pendant ma pause. On dirait qu’il faut optimiser chaque seconde de sa vie ! Je préfère flâner et rêvasser.

  56. Je ne suis pas sûr que ça marche pour moi. J’ai besoin d’obscurité totale et de silence absolu pour m’endormir, ce qui est impossible au bureau.

  57. Personnellement, j’ai juste besoin de me lever et d’aller papoter 5 minutes à la machine à café pour relancer la machine. La solitude tue plus que le coup de barre !

  58. Micro-sieste « furtive », ça me fait penser à une mission d’espionnage ! L’idée de me planquer pour dormir, ça me stresse plus que le coup de barre lui-même.

  59. Micro-sieste, reset neurologique… ça sonne bien, mais ça ne règle pas le fond du problème : pourquoi est-ce qu’on est lessivé au point d’avoir besoin de ça ?

  60. Le « sans que vos collègues ne s’en aperçoivent » me met mal à l’aise. On dirait qu’il faut se cacher pour prendre soin de soi. C’est triste, non ?

  61. Moi, la micro-sieste, ça me fait penser à quand j’étais gamin et que je piquais un roupillon sur le canapé après l’école. C’était ça, le vrai bonheur.

  62. J’ai essayé, mais le bruit ambiant au bureau m’empêche de me détendre. La micro-sieste, c’est un peu comme essayer de méditer pendant un concert de rock.

  63. Le « validé scientifiquement » me fait toujours un peu sourire. On dirait qu’on a besoin d’une étude pour justifier d’écouter son corps!

  64. Le « reset neurologique », ça sonne un peu gadget, non ? Perso, j’ai juste besoin d’un peu de silence et d’air frais pour recharger les batteries.

  65. Moi, la micro-sieste, ça me fait juste penser à un luxe inatteignable avec les deadlines qui s’accumulent. J’aimerais bien, mais… le temps, quoi.

  66. Moi, je me demande si ça marche vraiment sur les gens qui sont insomniaques chroniques. Est-ce que ça pourrait aider à mieux dormir la nuit ? 🤔

  67. Moi, la sieste, même courte, c’est direct le rêve bizarre et l’impression d’avoir voyagé trois jours. Après, je suis complètement désorienté.

  68. Moi, ce qui me bloque, c’est surtout l’endroit. Impossible de me détendre au bureau. J’aurais plus confiance chez moi, mais là, adieu la discrétion…

  69. La micro-sieste, c’est peut-être la solution, mais perso, l’après-midi, c’est souvent le moment où j’ai mes meilleures idées. J’ai peur de casser ce rythme.

  70. Le « reset neurologique », ça sonne bien, mais j’ai peur que ça me coupe plus dans mon élan que ça ne m’aide. Je préfère une bonne marche pour me changer les idées.

  71. L’après-midi, je suis plus sensible aux bruits. Une micro-sieste au bureau ? Avec les collègues qui tapent sur leur clavier ? Mission impossible pour moi.

  72. Micro-sieste, mouais… Ça me rappelle surtout mes années fac et les cours magistraux soporifiques. J’ai peur de retomber dans ce mode « étudiant somnolent ».

  73. Validé scientifiquement, vous dites ? Intéressant, mais j’aimerais bien voir ces études. Ça ressemble un peu trop à un argument marketing pour moi.

  74. Micro-sieste, je veux bien, mais ça ne risque pas de me dérégler complètement mon sommeil du soir ? J’ai déjà du mal à m’endormir…

  75. Micro-sieste… J’adorerais, mais mon open space ressemble plus à une cour de récré qu’à un havre de paix. L’idée est séduisante, l’application, une autre histoire.

  76. Micro-sieste, j’y crois moyen. Si c’était si miraculeux, on en parlerait depuis longtemps, non ? Un bon café et de la motivation, ça fait souvent l’affaire.

  77. La micro-sieste, c’est peut-être la solution pour ne pas être irritable avec mes collègues l’après-midi! Je vais essayer discrètement… on verra bien.

  78. Micro-sieste… et l’impact sur la concentration prolongée ? Une pause de 5 minutes aide peut-être, mais est-ce que ça évite vraiment le coup de mou de 16h ? Je me demande.

  79. Micro-sieste : le mot « reset neurologique » me semble un peu fort. C’est pas une baguette magique non plus ! Mais je veux bien tester si ça rend l’après-midi moins pénible.

  80. Micro-sieste, c’est tentant, mais est-ce que ça marche vraiment sans une bonne nuit de sommeil avant ? Je doute que ça compense un manque chronique.

  81. Le « reset neurologique », ça me fait sourire. Mais honnêtement, fermer les yeux 5 minutes me ferait un bien fou après avoir déjeuné devant l’écran. Je vais tenter, sans me mettre la pression.

  82. Moi, la micro-sieste, ça me rappelle les siestes interdites en primaire. L’idée de piquer un roupillon en douce, ça a un petit côté subversif qui me plaît bien.

  83. ProvincialeHeureuse

    Micro-sieste… honnêtement, le plus dur pour moi serait de réussir à m’endormir en si peu de temps. J’imagine que ça demande de l’entraînement !

  84. MécanicienRetraité

    Le coup de barre de l’après-midi, c’est mon ennemi juré! Si cette micro-sieste peut m’aider à éviter de ruminer des idées noires en attendant 18h, je suis preneur, même si je suis sceptique.

  85. InstitutricePassionnée

    Micro-sieste ? Ça me rappelle les voyages en train où je m’endormais sans le vouloir. Peut-être que c’est ça, la clé : ne pas chercher à s’endormir *exprès*.

  86. Micro-sieste, ça me fait penser aux chats. Ils dorment 16h par jour et sont toujours vifs. Peut-être qu’on devrait tous s’en inspirer, les chats!

  87. Micro-sieste… ça me fait penser à mon grand-père qui piquait toujours un somme après le repas. Il disait que ça lui permettait de « digérer les idées ».

  88. « Reset neurologique » ou pas, j’ai surtout besoin de silence. Le bruit ambiant au bureau, c’est ça qui me fatigue plus que le repas.

  89. Micro-sieste, pourquoi pas ? Mais j’ai surtout l’impression qu’il faudrait revoir l’ambiance au travail pour se sentir moins lessivé.

  90. Micro-sieste, je me demande si c’est compatible avec mes horaires de travail. On a des pauses, mais pas vraiment le temps de se poser…

  91. Guillaume Bernard

    Micro-sieste, hum… Ça me fait penser à une solution individuelle pour un problème qui est peut-être plus collectif. Est-ce qu’on ne devrait pas plutôt questionner la charge de travail ?

  92. Micro-sieste? Bof, moi c’est le contraire. Je carbure à fond l’après-midi, j’ai peur de casser mon rythme. Peut-être bien pour ceux qui sont du matin.

  93. Micro-sieste… l’idée est séduisante, mais j’imagine déjà la tête de mon boss si je ferme les yeux au bureau. Faut voir comment c’est perçu, mine de rien.

  94. Micro-sieste, ça me fait rêver. Finir une tâche difficile, fermer les yeux 10 minutes et attaquer la prochaine avec une énergie nouvelle… Le problème, c’est que j’ai peur de ronfler et de deven…

  95. Micro-sieste, c’est un luxe que je ne peux pas me permettre. Trois enfants à gérer, même 5 minutes de pause relèvent de l’utopie.

  96. Micro-sieste, je me demande si c’est pas juste un truc de start-up bobo pour culpabiliser ceux qui ont pas le temps ou l’énergie de « performer » encore plus.

  97. Micro-sieste ? Honnêtement, j’ai déjà essayé. J’ai surtout l’impression de perdre mon temps et de me sentir coupable de ne rien faire. Le stress reprend le dessus direct.

  98. Micro-sieste, je crois au potentiel, mais faut pas se leurrer : ça demande un sacré lâcher-prise. Pas évident quand t’as la pression des deadlines qui te vrille l’estomac.

  99. Micro-sieste… Ça sonne bien, mais perso, j’ai besoin de bouger, pas de dormir, pour me remettre d’aplomb l’après-midi. Une marche rapide, c’est mon « reset » à moi.

  100. Sébastien Bernard

    Micro-sieste… J’avoue être intrigué. Est-ce que ça pourrait aider à mieux supporter les réunions interminables ? Un petit reset discret, ça pourrait changer la donne !

  101. Micro-sieste ? Moi, c’est l’inverse. J’ai peur de me réveiller encore plus vaseux qu’avant. L’inertie du sommeil, c’est mon pire ennemi.

  102. Micro-sieste ? J’ai peur de m’endormir profondément et de rater le dernier métro. L’angoisse du réveil en retard me stresserait plus que la fatigue.

  103. Alexandre Bernard

    Micro-sieste, ça me fait penser aux chats. Ils dorment 20h par jour et semblent toujours opérationnels. Peut-être qu’ils ont compris un truc…

  104. Un reset neurologique en douce ? Ça sent la promesse un peu trop belle pour être vraie. J’ai plutôt l’impression que ça dépend des gens.

  105. Christophe Bernard

    Micro-sieste, ça me rappelle les siestes de mon enfance. Le bonheur total, mais est-ce vraiment transposable au bureau ? Le contexte change tout.

  106. Micro-sieste, pourquoi pas ? Mais le bruit du bureau… Je me vois mal me détendre avec les collègues qui tapent sur leur clavier à côté. Un casque anti-bruit serait indispensable.

  107. Micro-sieste? Mouais… J’imagine déjà la tête de mon chef si je fermais les yeux pendant 10 minutes. La culture d’entreprise est pas vraiment « sieste-friendly » par chez nous.

  108. François Bernard

    Micro-sieste, hum… ça me fait penser aux pubs pour les compléments alimentaires « anti-fatigue ». Une solution miracle, vraiment ? J’attends de voir l’étude scientifique en question avant d’y croire.

  109. Grégoire Bernard

    Micro-sieste… Je me demande si ça marche vraiment quand on a des enfants en bas âge qui vous réveillent la nuit. Si c’est juste un pansement sur une nuit blanche, bof.

  110. Micro-sieste… J’ai essayé une fois, mais j’ai juste fini par culpabiliser de ne pas être productive. Ça a plus augmenté mon stress qu’autre chose.

  111. La micro-sieste, c’est peut-être la clé pour éviter de devenir un zombie à 16h. Mais trouver le bon timing pour ne pas être plus groggy qu’avant, c’est l’équation à résoudre.

  112. Béatrice Bernard

    Micro-sieste, je me demande si ça ne crée pas une dépendance. On risque de ne plus savoir fonctionner sans cette « béquille » de 10 minutes.

  113. La micro-sieste, c’est peut-être bien, mais pour ceux qui ont un sommeil fragile, c’est le meilleur moyen de se sentir encore plus cassé après. Une vraie nuit réparatrice, c’est ça le vrai luxe.

  114. Micro-sieste, je veux bien essayer, mais j’ai peur de me sentir encore plus coupable si je n’arrive pas à m’endormir. L’échec de la sieste, ça doit être déprimant.

  115. Micro-sieste… Mouais. Plus qu’un reset neurologique, j’y vois surtout un moyen de faire passer le temps plus vite jusqu’à la fin de la journée.

  116. Gabrielle Bernard

    Micro-sieste, la belle affaire ! Moi, j’appelle ça écouter son corps. Le problème, c’est surtout de se l’autoriser sans se juger.

  117. « Reset neurologique », ils y vont fort ! Moi, je crois surtout que c’est une solution pour survivre à des journées interminables qu’on nous impose. La micro-sieste, symptôme d’un problème plus prof…

  118. Micro-sieste, ou comment optimiser sa fatigue… Je me demande si ce n’est pas une solution pansement pour des organisations du travail mal pensées.

  119. Micro-sieste, pourquoi pas ? Mais j’ai l’impression que ça marche mieux sur le papier que dans la vraie vie. Trouver le moment idéal, c’est déjà une mission.

  120. Micro-sieste, la théorie est séduisante, mais j’imagine mal gérer ça avec les open spaces bruyants et les réunions à rallonge. L’environnement de travail doit s’y prêter, sinon c’est mission impossible.

  121. Micro-sieste, j’ai testé ! Ce n’est pas magique, mais avec une appli de bruit blanc et des écouteurs, ça aide VRAIMENT à tenir le coup.

  122. Micro-sieste : j’en fais de temps en temps, et le plus dur, c’est de ne pas culpabiliser ensuite. On a tellement intégré l’idée qu’il faut toujours être à fond.

  123. Micro-sieste, ça me rappelle mes études. On piquait un somme sur un bouquin, et hop, reparti ! Le « reset neurologique », c’est peut-être juste l’effet d’avoir déconnecté un peu.

  124. Micro-sieste, ça me fait penser aux siestes de mon chat. Il est toujours zen après ! Peut-être qu’on devrait plus suivre son exemple.

  125. Micro-sieste… J’ai peur de m’endormir vraiment et de me réveiller complètement désorienté. L’effet inverse de celui recherché, quoi.

  126. Micro-sieste, le secret des fainéants qui réussissent ? Honnêtement, ça me donne envie d’essayer pour pouvoir enfin me concentrer sur ce qui compte vraiment : mes séries.

  127. Micro-sieste, vraiment discret ? Mes cernes en diraient sûrement le contraire. Le « reset » neurologique, je veux bien, mais la gueule de bois post-sieste, c’est cadeau ?

  128. Micro-sieste… Honnêtement, j’ai toujours cru que c’était un truc de feignasse. Mais si ça booste vraiment la concentration, je suis preneur ! Faut juste que je trouve le bon moment.

  129. Micro-sieste au bureau ? Ça me rappelle le Japon… où c’est presque un art. Ici, j’imagine déjà la tête de mon chef si je pionce !

  130. Catherine Bernard

    Micro-sieste, mouais… J’ai surtout peur de me sentir encore plus flagada après. C’est pas comme si j’avais le temps de récupérer en rentrant.

  131. Micro-sieste… ça me rappelle les cours soporifiques du lycée. Peut-être que si j’avais su que ça s’appelait « reset neurologique », j’aurais moins culpabilisé !

  132. Micro-sieste… J’ai essayé une fois. Résultat : un réveil en sursaut, le cœur battant, et l’impression d’avoir dormi 12h. Pas très « reset » pour le coup.

  133. Micro-sieste, ça me fait penser à mes gosses qui piquent du nez 5 minutes dans la voiture et ressortent frais comme des gardons. Peut-être que le secret est là, juste assez pour recharger les batteries.

  134. Un reset neurologique, carrément ? Ça sonne bien. Mais j’ai surtout peur de louper des infos importantes au boulot. Le monde va trop vite pour se permettre de déconnecter, même 5 minutes.

  135. Micro-sieste, je me demande si ça marche aussi bien avec le bruit ambiant du bureau. Je visualise mal le « reset » avec les appels incessants et les conversations autour.

  136. Jacqueline Bernard

    Micro-sieste ? Peut-être que ça marche pour certains, mais perso, ça me mettrait une pression monstre de devoir être performant *juste* après. J’aurais l’impression d’être encore plus à la bourre.

  137. Micro-sieste ? J’aimerais bien, mais mon open space ressemble plus à une cour de récré qu’à un cocon de relaxation. Mission impossible pour moi.

  138. Je suis surtout curieux de savoir comment on fait ça discrètement. Parce que s’allonger sous le bureau, ça risque de faire jaser plus qu’autre chose.

  139. Micro-sieste… l’idée me séduit, surtout si ça évite le coup de barre. J’imagine que ça demande un peu d’entraînement pour pas que ça empiète sur la pause déjeuner.

  140. Micro-sieste… Mouais. Honnêtement, ça me rappelle les méthodes miracles vendues sur internet. Un peu trop beau pour être vrai, non ?

  141. Micro-sieste, c’est marrant, ça me rappelle mes études. Je faisais ça en amphi, et c’était plus un échappatoire qu’un boost de productivité, haha !

  142. Micro-sieste, je me demande si l’effet « reset » ne dépend pas vachement de la qualité du sommeil habituel… Si on est déjà crevé, ça risque d’être un emplâtre sur une jambe de bois, non ?

  143. Micro-sieste… J’ai essayé, et j’avoue que le plus dur, c’est pas de s’endormir, c’est de se réveiller sans culpabiliser d’avoir « perdu » du temps.

  144. Micro-sieste : le « sans que vos collègues ne s’en aperçoivent » me fait sourire. C’est ça le problème, non ? Qu’on ait besoin de se cacher pour prendre soin de soi…

  145. Micro-sieste : le coup du « reset neurologique », ça sonne très marketing. Mais bon, si ça peut m’aider à survivre aux réunions interminables, je suis prêt à tester !

  146. Micro-sieste : En tant que parent, je me demande si ça marche aussi avec les cris d’enfants en fond sonore. Si oui, je signe tout de suite !

  147. Micro-sieste : le « validé scientifiquement » me rassure un peu, mais je me demande quelle est la durée idéale ? 10 minutes ? 20 ? Faut-il une application pour ça ?

  148. Micro-sieste : Pour moi, le vrai luxe serait d’avoir une culture d’entreprise qui encourage les pauses, pas les siestes furtives.

  149. Micro-sieste : Moi, je trouve ça triste qu’on en arrive à optimiser même les moments de fatigue. On devrait peut-être s’interroger sur la charge de travail, non ?

  150. Sébastien Dubois

    Micro-sieste : Honnêtement, j’ai peur que ça me dérègle plus qu’autre chose. J’ai déjà du mal à m’endormir le soir, alors m’habituer à des mini-dodos en journée… bof.

  151. Micro-sieste : J’ai toujours pensé que c’était réservé aux chats. Je vais peut-être essayer, après tout, ils ont l’air assez détendus.

  152. Micro-sieste : Ça me fait penser aux chats qui squattent mon canapé. Eux, ils ont tout compris. Peut-être une piste à explorer… miaou.

  153. Micro-sieste : J’ai essayé une fois, j’ai surtout rêvé que mon patron me virait pour fainéantise… Pas très reposant, au final.

  154. Micro-sieste : Et si le problème n’était pas la fatigue, mais l’ennui profond ressenti après le déjeuner ? Un bon bouquin me réveille plus sûrement !

  155. Christophe Dubois

    Micro-sieste : « reset neurologique », ils disent… Moi, ça me fait surtout penser à un cache-misère pour une organisation du travail bancale.

  156. Micro-sieste : Personnellement, je crois que ça dépend de l’environnement. En open space, bonne chance pour se détendre! L’idée est bonne, l’application… moins évidente.

  157. Micro-sieste : C’est marrant, ça me rappelle les siestes interdites en primaire. On se cachait sous la table pour piquer un roupillon ! Peut-être que la science a juste redécouvert un truc qu’on savait déjà intuitivement.

  158. Moi, le café, il me fait plus l’effet d’un coup de fouet qui me laisse encore plus cassé après. Si la micro-sieste peut éviter ça, je suis prêt à tenter. On verra bien !

  159. Je suis curieux de savoir quelle est la durée « idéale » de cette micro-sieste. Trop courte, ça ne sert à rien, trop longue, on est groggy. Un timer, peut-être ?

  160. Le titre est vendeur, mais j’imagine déjà la difficulté de mettre ça en place discrètement. Je me vois mal fermer les yeux au milieu d’une réunion Zoom.

  161. Moi, ce qui me bloque, c’est surtout la culpabilité de pas être productif. Même quelques minutes, j’ai l’impression de voler du temps à l’entreprise.

  162. L’idée est séduisante, mais je me demande si c’est vraiment compatible avec mon rythme. Déjà que j’ai du mal à décrocher le soir…

  163. Micro-sieste : ça me rappelle mon chat ! Il dort 20h par jour et a toujours l’air frais. Peut-être que c’est ça, le secret…

  164. Micro-sieste… ça me fait rêver à une époque où on respectait le rythme du corps. On a tellement couru après la performance qu’on a oublié d’écouter notre fatigue. Triste ironie.

  165. J’ai essayé une fois. Je me suis réveillé avec le visage collé sur mon clavier et une réunion manquée. L’humiliation, ça paralyse encore plus que le coup de barre !

  166. Le « reset neurologique », ça sonne bien, mais mon cerveau, il a plutôt besoin d’une balade dans la nature, pas d’un redémarrage express.

  167. Un « reset neurologique », c’est un peu ambitieux comme promesse, non ? Moi, j’ai surtout peur de ronfler discrètement et de devenir la risée du bureau.

  168. Le « reset », je veux bien, mais moi, c’est surtout le regard des autres qui m’empêche de déconnecter. On dirait qu’être fatigué, c’est une honte.

  169. J’ai l’impression qu’on cherche toujours une solution miracle pour contourner le problème de fond : on nous en demande trop. La sieste ne devrait pas être un hack, mais un droit.

  170. Micro-sieste, oui, mais avec un bon casque anti-bruit. Sinon, adieu la discrétion et bonjour les bruits de bureau qui empêchent de se relaxer !

  171. Mouais, ça me rappelle les articles sur « comment être plus productif » qui oublient qu’on est des humains, pas des machines. C’est pas une astuce qui va changer ma vie, c’est une pause digne de ce nom.

  172. Micro-sieste, oui, mais ça marche vraiment sur le long terme ? J’ai peur que ça devienne juste une béquille et qu’on finisse par être encore plus épuisé.

  173. Micro-sieste, ok, mais j’ai du mal à me détendre au bureau, l’environnement est trop stimulant. Je préfère une bonne playlist relaxante.

  174. Micro-sieste, bof. Moi, c’est un bon thé et cinq minutes à regarder par la fenêtre qui me remettent d’aplomb. Plus simple, moins culpabilisant.

  175. Micro-sieste, pourquoi pas ? Mais perso, j’ai jamais réussi à me réveiller sans être complètement vaseux. L’effet inverse garanti !

  176. Micro-sieste ? L’idée me séduit. Mais je me demande si ça ne risque pas de dérégler mon sommeil du soir, déjà pas terrible…

  177. Micro-sieste, facile à dire. Mais quand mon chef me voit les yeux fermés, il pense que je dors au lieu de bosser. L’ambiance est déjà assez tendue comme ça.

  178. Micro-sieste… J’aimerais que ça marche pour moi. Malheureusement, dès que je ferme les yeux, mon cerveau part en vrille et se met à ressasser tout ce que j’ai à faire.

  179. Micro-sieste… Ça me rappelle mes années fac. Je piquais un somme de 15 minutes entre deux cours et ça me requinquait bien. Peut-être que je devrais réessayer au boulot.

  180. Micro-sieste, mouais… J’ai essayé une fois. Résultat : réveil en sursaut avec l’impression d’avoir dormi 10 heures et un mal de crâne carabiné. Merci, mais non merci.

  181. Moi, la micro-sieste, je l’imagine comme un court-circuit bienvenu dans le tourbillon de la journée. Un peu comme éteindre son téléphone cinq minutes pour ne plus penser à rien.

  182. Micro-sieste discrète, dites-vous ? Ça sonne comme un défi digne d’un agent secret. Je suis curieux de savoir si ça marche vraiment sans ronflements intempestifs !

  183. Micro-sieste… j’en ai besoin, c’est sûr. Mais le bureau n’est pas une chambre à coucher, et je manque de pratique. Un guide pratique, ce serait top!

  184. La micro-sieste… un luxe que je ne peux pas m’offrir, malheureusement. J’ai des horaires de malade et les rares moments de pause, je les passe à décompresser, pas à essayer de dormir.

  185. Micro-sieste… L’idée me séduit, mais je me demande si l’environnement de bureau est vraiment propice à ça. Le bruit, la lumière… Ça me paraît incompatible.

  186. Micro-sieste ? Bof. J’ai plus l’impression de perdre du temps à essayer de m’endormir qu’autre chose. Autant faire une vraie pause café.

  187. Jacqueline Dubois

    Le « reset neurologique », ça sonne bien vendeur. Mais je me demande si c’est pas juste une excuse pour être encore plus performant après. On est déjà tellement poussés…

  188. L’idée est bonne, mais ça me rappelle trop les discours sur l’optimisation à outrance. On finit par culpabiliser de ne pas être des machines.

  189. Je suis partagé. Si ça booste vraiment la concentration, tant mieux. Mais j’ai peur que ça devienne une nouvelle injonction à la performance.

    Le « sans que vos collègues ne s’en aperçoivent » me met mal à l’aise.

  190. Moi, la micro-sieste, c’est l’inverse de la pause café. C’est se recentrer, pas sociabiliser. Si ça marche, c’est un outil perso, pas un team building.

  191. Micro-sieste, micro-sieste… Est-ce que ça marcherait avec mon cerveau hyperactif ? J’ai peur de me réveiller encore plus embrouillé qu’avant.

  192. Moi, je crois surtout que ça dépend du chef. Si le patron est cool, ça passe. Sinon, c’est direct l’étiquette de fainéant.

    Peut-être que ça marche pour certains, mais je doute que ça règle un problème de fond : la charge de travail excessive.

  193. Le titre promet beaucoup, mais j’ai l’impression qu’on cherche juste à bricoler un peu pour tenir le coup dans un système qui nous épuise.

  194. Je suis sceptique. Un « reset neurologique » en douce, ça sonne un peu trop beau pour être vrai. On dirait qu’on nous vend une solution miracle.

  195. Un reset neurologique, carrément ! Moi, j’appelle ça juste fermer les yeux 5 minutes pour pas péter un câble.

    Ça me rappelle les siestes de mon enfance.

  196. L’idée de booster ma performance sans que Robert de la compta me voit ? Ça, ça m’intéresse déjà plus que le « reset neurologique ». Je vais tenter le coup!

  197. Je suis déjà envieux des gens qui arrivent à s’endormir en 5 minutes n’importe où. Moi, il me faut un rituel et le silence absolu.

  198. Sébastien Durand

    Franchement, ça me fait penser aux profs qui nous disaient de « se détendre » avant un contrôle. Le problème, c’est pas la sieste, c’est le contrôle qui arrive.

  199. J’avoue, le « validé scientifiquement » me fait toujours un peu sourire. On valide tout et son contraire ces temps-ci.
    Micro-sieste ou pas, je crois que c’est surtout une question d’écoute de son corps, non ? Forcer la machine, c’est rarement une bonne idée.

  200. Moi, ce qui me frappe, c’est l’obsession de la performance. Même le repos devient un outil pour être plus productif. Triste époque.

  201. Le plus dur, c’est de trouver le bon endroit au bureau pour faire ça discrètement. Les toilettes, c’est pas super hygiénique…

  202. Christophe Durand

    Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de ça comme une astuce. Le problème, c’est pas la sieste, c’est le rythme infernal qu’on nous impose.

  203. Moi, je me demande si ça marche quand on a des enfants en bas âge. La « pause régénératrice », c’est pas vraiment dans leur vocabulaire.

  204. Moi, le coup du « reset neurologique », ça me fait surtout penser à une rustine sur un pneu crevé. On maquille la fatigue au lieu de s’attaquer à la cause.

  205. Moi, ce qui me bloque, c’est le côté « sans que vos collègues ne s’en aperçoivent ». On est donc censé se cacher pour prendre soin de soi ? Ça en dit long sur l’ambiance au travail.

  206. Je trouve ça paradoxal de devoir optimiser son repos pour mieux supporter un travail épuisant. On est pas des machines quand même!

  207. Je suis curieux de tester ça. Si ça peut m’éviter de sombrer après le déjeuner, je prends ! On verra si ça marche vraiment sur moi.

  208. C’est marrant, ça. On dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma grand-mère faisait ça instinctivement après le repas, et elle était loin d’être un robot!

  209. Micro-sieste, micro-sieste… J’ai surtout peur de me réveiller encore plus vaseux qu’avant ! L’idée est séduisante, mais j’imagine mal le mettre en place concrètement.

  210. Le titre promet beaucoup, mais j’ai peur que ça ne marche pas pour moi. Mon cerveau a besoin de plus de quelques minutes pour se déconnecter complètement.

  211. Je me demande si ça marche vraiment quand on a des enfants en bas âge… Une micro-sieste ? C’est un luxe que je ne peux même pas imaginer !

  212. Micro-sieste, ou comment culpabiliser de ne pas être productif H24. J’ai l’impression qu’on cherche à transformer chaque pause en optimisation.

  213. Le « reset neurologique », c’est beau sur le papier. Mais dans un open space bruyant, bonne chance pour trouver le calme nécessaire !

  214. Je suis plutôt du matin, donc l’après-midi, je suis à fond. Mais peut-être que si j’étais moins à fond, je pourrais être plus à fond le reste du temps ? Bref, je vais creuser.

  215. Je suis curieux de voir si ça aide à la créativité. Plus que la productivité brute, c’est l’inspiration qui me manque parfois.

  216. Moi, la sieste, c’est sacré ! Mais est-ce que 5 minutes suffisent vraiment ? J’ai besoin d’au moins 20 pour sentir un vrai bénéfice.

  217. C’est marrant, je ressens plus le besoin de ça le weekend, quand je suis censé être « libre ». Le boulot me tient éveillé, la détente me fatigue !

  218. Moi, c’est le contraire. La micro-sieste me stresse ! J’ai l’impression de perdre mon temps et je me réveille encore plus angoissé par ce que je n’ai pas fait.

  219. Mouais, ça me fait penser aux techniques de méditation express. Marcher une minute en pleine conscience, respirer 3 fois profondément… Est-ce que ça change vraiment quelque chose ou est-ce juste…

  220. Micro-sieste… ça me rappelle les cours de yoga où on te dit de te détendre *vraiment*. Mission impossible, surtout quand la deadline approche.

  221. Micro-sieste « validée scientifiquement »… ça sent le discours d’entreprise qui veut nous faire avaler n’importe quoi. Moi, je préfère une bonne blague avec mes collègues.

  222. Personnellement, je pense que ça dépend énormément des gens. Moi, j’ai juste besoin de fixer un point au loin quelques secondes pour me recentrer.

  223. Micro-sieste discrète ? J’imagine déjà la tête de mon chef si je ferme les yeux au bureau. Ça me semble plus facile de faire une pause pipi de 5 minutes pour décompresser.

  224. Le « reset neurologique », ça me fait penser à redémarrer mon ordi quand il rame… Sauf que là, c’est mon cerveau. Ça vaut peut-être le coup d’essayer !

  225. Ce « reset neurologique », ça sonne un peu comme une solution miracle. Mais honnêtement, si ça peut m’éviter de devenir désagréable avec mes collègues l’après-midi, je suis prêt à tester !

  226. Micro-sieste, micro-résultat ? J’ai essayé une fois, j’ai rêvé que j’étais en retard et ça a empiré mon stress. Chacun son truc, je suppose.

  227. Le coup de barre de l’après-midi… un vrai fléau. Je me demande si ça marche vraiment, ou si c’est juste une excuse pour roupiller discrètement.

  228. Moi, le coup de barre, je le combats avec une pomme. Le sucre naturel, ça réveille sans le crash du café. La micro-sieste, j’ai peur de plus savoir où j’en suis après !

  229. Micro-sieste au bureau, c’est tentant. Mais je me demande si l’environnement est vraiment propice à ça. L’ambiance sonore, la lumière… ça risque d’être contre-productif, non ?

  230. J’ai toujours pensé que le problème, c’était pas le coup de barre, mais plutôt la surcharge de boulot qui le provoque. La sieste, c’est un cache-misère, non?

  231. Le titre est vendeur, mais je me demande si c’est vraiment compatible avec la culture d’entreprise française. La productivité, oui, mais au prix de quoi ?

    C’est marrant, ça me rappelle mes années fac et les amphis soporifiques.

  232. Le titre est prometteur, mais je me demande si ça ne risque pas de perturber mon cycle de sommeil la nuit. J’ai peur de me sentir encore plus fatigué à long terme.

  233. Micro-sieste incognito ? Ça me fait penser aux gosses qui font semblant d’écouter en classe. Est-ce qu’on ne devrait pas plutôt s’attaquer aux causes de la fatigue au lieu de la camoufler?

  234. Jacqueline Durand

    Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on voit toujours la sieste comme une faiblesse. On devrait l’intégrer dans le quotidien comme une pause déjeuner normale.

  235. Le titre me fait sourire. Un « reset neurologique », rien que ça ! J’aimerais bien voir la tête de mon chef si je lui expliquais que je fais un « reset » pendant la réunion…

  236. Je crois que l’idée de la micro-sieste est bonne sur le papier, mais ça me rappelle trop l’époque où j’essayais de me rendormir en douce après le réveil.

  237. La micro-sieste, pourquoi pas? Mais le bruit du bureau, les notifications… ça me semble incompatible avec un vrai relâchement. Un casque anti-bruit serait indispensable!

  238. C’est vrai que la micro-sieste a l’air miraculeuse, mais j’imagine déjà le stress de devoir me réveiller pile à temps pour ne pas être en retard. Paradoxal, non ?

  239. Le coup du « reset neurologique », ça me fait penser à un gadget à la mode. Moi, je préfère une bonne balade de 10 minutes dehors. L’air frais, c’est plus efficace.

  240. Micro-sieste, ouais, ça sonne bien. Mais moi, après, je suis encore plus vaseux qu’avant ! Pas sûr que ça me rende plus performant.

  241. Je suis curieux de savoir quelle est la durée idéale de cette micro-sieste. Trop courte, c’est inutile, trop longue, on est groggy. Il y a une science derrière ça ?

  242. Le coup de la micro-sieste, c’est tentant, mais j’ai peur de me réveiller complètement désorienté et encore moins productif. Pour moi, c’est plutôt un bon thé qui me requinque.

  243. Micro-sieste au boulot, franchement ? J’aimerais bien savoir comment ils gèrent la culpabilité après… Moi, j’aurais l’impression de voler mon employeur.

  244. Micro-sieste discrète ? L’idée est amusante. Mais je crains surtout de me retrouver avec des rêves bizarres et une incapacité totale à me concentrer après. Ça serait pire qu’avant.

  245. Moi, je me demande surtout si ça marche quand on a des enfants en bas âge qui réclament toutes les 10 minutes… Un rêve, cette micro-sieste.

  246. Moi, la micro-sieste, ça me fait penser aux chats. Ils dorment 16h par jour et ont l’air plutôt performants. Peut-être que le secret est là.

  247. Moi, ce qui me bloque, c’est l’aspect social. Comment justifier ce besoin aux autres sans paraître bizarre ou malade ? L’intégration, c’est aussi une performance.

  248. L’idée est séduisante, mais je crains que ça ne devienne vite une excuse pour procrastiner. « Attends, je me reset, et après, je m’y mets ! »

  249. Moi, la micro-sieste, j’ai essayé. Au début, c’était nul. Puis, j’ai trouvé le truc : un podcast relaxant et une couverture lestée. Maintenant, c’est mon arme secrète anti-stress.

  250. Micro-sieste, micro-sieste… Ça me rappelle surtout mes années fac et les cours soporifiques. Peut-être que ça marcherait mieux maintenant que je suis censé être un adulte responsable.

  251. Le « reset neurologique », ça sonne un peu trop « science-fiction » pour moi. Je préfère une bonne balade dehors pour me vider la tête.

  252. Le titre promet beaucoup, mais l’article reste vague. Quel type de micro-sieste ? Quelle durée ? Sans détails, difficile de se faire une idée concrète.

  253. En tant que travailleur de nuit, je me demande si ça marche à l’envers. Une micro-sieste avant de commencer, ça boosterait ma vigilance ? À tester, peut-être.

  254. Je suis curieux de savoir si ça aide vraiment à se concentrer après. J’ai plus l’impression que je serais vaseux pendant une heure.

  255. J’ai essayé une fois, et je me suis réveillé complètement désorienté, avec l’impression d’avoir raté quelque chose d’important. Plus jamais.

  256. Je suis un peu jaloux de ceux qui arrivent à s’endormir comme ça, sur commande. Pour moi, c’est mission impossible avant le soir !

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