Selon un psychologue : la surcharge de notifications post-keynote programme votre cerveau comme un logiciel défaillant – cette règle des 24h restaure votre concentration en moins de 48 heures

L’avalanche de notifications après chaque annonce technologique vous laisse épuisé et déconcentré ? Cette surcharge cognitive n’est pas une fatalité. Une simple règle de 24 heures peut reprogrammer votre cerveau pour retrouver une concentration optimale en moins de deux jours, en filtrant le bruit numérique incessant.

### Un témoignage éclairant

Élodie Martin, 38 ans, cheffe de projet digital à Lyon, a ressenti ce trop-plein. « Mon cerveau semblait tourner à vide, passant d’une alerte à l’autre sans jamais rien accomplir de concret. J’étais devenue l’esclave de mes propres outils de travail. »

### Le récit d’une saturation cognitive

Élodie gérait ses projets avec efficacité jusqu’à ce que chaque application devienne une source d’interruption. Après une semaine particulièrement chargée en actualités, son flux de travail s’est brisé. La fatigue informationnelle s’est installée, transformant sa productivité en une simple gestion de notifications.

### La validation par la psychologie cognitive

Chaque notification force notre cerveau à un changement de contexte, un processus qui a un coût cognitif massif. Le cerveau, constamment sollicité, libère des hormones de stress et entre dans un état d’hypervigilance, réduisant sa capacité à effectuer des tâches complexes et nuisant à la mémoire de travail.

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### Des impacts sur tous les plans

Au-delà de la perte de productivité, cette surcharge a des conséquences directes : sur le plan de la santé, elle génère stress et anxiété ; économiquement, elle représente des heures de travail perdues ; et sur le plan pratique, elle dégrade la qualité des décisions prises au quotidien.

### La règle des 24 heures et autres astuces

La solution consiste à désactiver toutes les notifications non essentielles pendant 24 heures complètes. Pour aller plus loin, vous pouvez planifier des plages horaires dédiées à la consultation des messages ou utiliser les modes « concentration » de vos appareils pour ne laisser passer que les appels urgents.

### Un enjeu bien plus large

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Traite des perturbations du rythme biologique, en lien avec les effets de la surcharge de notifications sur le bien-être

Cette démarche s’inscrit dans une tendance de fond vers le bien-être numérique. Elle fait écho au droit à la déconnexion, désormais inscrit dans la loi pour protéger le temps personnel et prévenir l’épuisement professionnel causé par l’hyperconnexion.

### Vers une transformation des habitudes

Adopter une gestion saine des notifications influence positivement la culture d’entreprise. Cela favorise la communication asynchrone, où les réponses immédiates ne sont plus la norme, et encourage un travail plus profond et réfléchi, bénéfique à long terme pour tous.

### Reprendre le contrôle de son attention

En résumé, la surcharge de notifications est un véritable fléau pour notre concentration. En appliquant des filtres simples comme la règle des 24 heures, il est possible de restaurer son attention et de transformer sa relation avec le numérique pour un quotidien plus serein et productif.

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283 réflexions sur “Selon un psychologue : la surcharge de notifications post-keynote programme votre cerveau comme un logiciel défaillant – cette règle des 24h restaure votre concentration en moins de 48 heures”

  1. Franchement, « reprogrammer son cerveau », ça me paraît un peu fort. Une simple pause, oui, ça aide. Mais de là à parler de logiciel… C’est surtout une question de discipline personnelle, non ?

  2. Moi, c’est pas les notifications qui me fatiguent, c’est surtout l’impression de rater quelque chose d’essentiel si je ne suis pas constamment à l’affût.

  3. C’est vrai que le terme « reprogrammer » fait un peu peur. Moi, ce qui me stresse, c’est plus l’idée de devoir trier toutes ces infos après coup. La règle des 24h, ça me semble surtout une façon de remettre à plus tard une tâche que je redoute.

  4. Moi, je trouve ça plutôt rassurant. L’idée de pouvoir « débrancher » volontairement et récupérer aussi vite, ça donne envie d’essayer. C’est comme une petite cure de désintox numérique après l…

  5. Après les keynotes, je me sens plus inspiré qu’épuisé. Ça me donne des idées pour mes projets, même si je n’utilise pas forcément les dernières nouveautés.

  6. L’analogie avec un logiciel qui bug, je trouve ça pertinent. Après tout, on est bombardés d’infos et ça sature vite. Je vais tester cette règle, on verra bien.

  7. Je me demande si cette règle marche aussi pour les séries Netflix… Parce que le binge-watching, c’est pire que les keynotes pour moi.

  8. Je ne crois pas que ce soit la faute des keynotes. C’est notre propre FOMO qui nous pousse à nous gaver d’informations. La règle des 24h, c’est juste une excuse pour éviter de se regarder en face.

  9. J’ai l’impression qu’on cherche un remède miracle à un mal qu’on s’inflige nous-mêmes. La règle des 24h, c’est peut-être juste une excuse pour ne pas changer nos habitudes.

  10. Je me demande si le problème n’est pas plus profond. On parle de notifications, mais c’est peut-être le besoin constant de validation qui nous épuise.

  11. Je ne suis pas sûr de l’efficacité à long terme. Est-ce que cette règle ne crée pas une anxiété anticipatoire, en attendant le moment où on va enfin se « gaver » d’infos ?

  12. Cette règle des 24h, c’est un peu comme se dire qu’on va manger sain après les fêtes, non ? L’intention est bonne, mais la volonté…

  13. Moi, j’ai juste l’impression que c’est une solution temporaire à un problème bien plus vaste. On éteint le feu, mais la maison brûle toujours.

  14. Moi, les keynotes, ça me rappelle les soldes. On a l’impression de rater quelque chose si on n’y va pas, mais au final, on achète surtout des trucs dont on n’a pas besoin.

  15. Moi, je trouve ça ironique qu’on nous propose une « règle » pour se déconnecter alors que l’article lui-même contribue à la surcharge d’informations. On est pris au piège.

  16. Moi, cette règle des 24h me parle. Les keynotes, c’est comme un feu d’artifice : c’est beau, mais après, il faut ramasser les cendres. Ça permettrait de mieux digérer.

  17. C’est vrai que le flot d’infos est étouffant. Perso, après une keynote, je me sens vidé, comme si j’avais couru un marathon sans m’être entraîné.

  18. Moi, les keynotes, c’est surtout que je me sens largué après. Tout le monde en parle, et si je n’ai pas suivi, j’ai l’impression d’être à la ramasse. Pas facile à gérer socialement.

  19. Moi, je me demande si le problème n’est pas la keynote elle-même. Pourquoi ressentir ce besoin de tout suivre en direct ? C’est peut-être là qu’il faut travailler.

  20. Personnellement, je n’ai jamais ressenti cette « surcharge ». Peut-être que je suis juste insensible à la pression numérique, ou que je ne m’intéresse pas tant que ça aux keynotes.

  21. Je ne suis pas sûr que la règle des 24h soit la solution. Pour moi, le vrai problème est le FOMO, cette peur de manquer quelque chose. C’est elle qui nous pousse à nous noyer dans le flux.

  22. Moi, je pense surtout que c’est une question d’habitude. Si on s’habitue à consommer l’info différemment, le besoin de tout suivre en direct s’estompe.

  23. Cette règle des 24h, c’est un peu comme mettre un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond : on est poussé à réagir à tout, tout de suite.

  24. L’idée est séduisante, mais ne s’attaque-t-elle pas à la conséquence plutôt qu’à la cause ? Ne faudrait-il pas repenser notre rapport à l’immédiateté et à l’importance que l’on accorde à ce…

  25. C’est marrant, moi je trouve que ce rush post-keynote me donne l’impression de faire partie d’un truc, une espèce de communauté. C’est peut-être ça qu’on recherche, plus que l’info elle-même.

  26. Je trouve intéressant de parler de « reprogrammer » le cerveau. On dirait qu’on est des machines, alors que c’est surtout une question de volonté et de limites personnelles.

  27. Ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on doive « reprogrammer » son cerveau. C’est oublier qu’on a le droit de choisir ce qu’on regarde, non ?

  28. Moi, après une keynote, je me sens surtout dépassé. L’impression d’avoir raté un truc crucial si je ne suis pas à la page immédiatement. La règle des 24h pourrait m’aider à calmer cette anxiété.

  29. Vraiment ? Seulement 48h pour retrouver sa concentration ? Ça me paraît un peu trop beau pour être vrai. Un bon week-end sans téléphone serait plus efficace, je pense.

  30. Moi, ce qui me fatigue le plus, c’est de voir ces « solutions » qui promettent un bonheur immédiat. On dirait qu’on est incapable de gérer nos émotions sans une astuce miracle.

  31. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’idée que les keynotes nous dictent comment nous sentir. On devrait peut-être juste les ignorer si ça nous stresse.

  32. Moi, je me demande si cette « règle » ne fait pas qu’ajouter une couche de stress. L’idée de devoir performer sa déconnexion… ça me semble contre-productif.

  33. Je me demande si cette règle des 24h ne risque pas de nous couper de discussions intéressantes. Parfois, c’est justement dans le flot d’infos qu’on trouve des pépites.

  34. Personnellement, je ne suis pas sûr que le problème vienne tant des keynotes que de notre propre rapport à la nouveauté et à l’information. Peut-être qu’accepter de ne pas tout savoir instantanément serait plus libérateur que n’importe quelle règle.

  35. Finalement, ça me rassure presque de voir que je ne suis pas le seul à ressentir ce « burn-out » post-keynote. Je pensais que c’était juste moi qui étais trop sensible.

  36. C’est marrant, moi les keynotes me donnent un coup de boost créatif. Je me sers de l’excitation ambiante pour démarrer des projets que je remettais toujours à plus tard.

  37. Ce psychologue a peut-être raison. Après une keynote, je me sens toujours un peu coupable de ne pas être à la pointe. Ça me mine plus que ça ne m’excite.

  38. Je n’ai jamais ressenti cet épuisement. Au contraire, j’adore décortiquer l’info en live avec mes amis, quitte à y passer la soirée. C’est un rituel social, pas une corvée.

  39. La règle des 24h, ça me rappelle les régimes à la mode. Un truc de plus à culpabiliser si on n’y arrive pas. Je préfère écouter mes besoins, tout simplement.

  40. Je n’arrive pas à me concentrer sur une keynote, de toute façon. Je préfère largement lire un résumé le lendemain, au calme. C’est plus efficace pour moi.

  41. Je me reconnais dans l’idée d’une surcharge, mais je crois que c’est surtout la peur de rater quelque chose qui me pousse à scroller sans fin. Le problème est plus profond que les notifications elles-mêmes.

  42. Je ne pense pas que les keynotes soient le problème. C’est plus la pression sociale de « devoir » être au courant et d’avoir un avis tranché tout de suite qui me fatigue.

  43. La « règle des 24h » me semble un pansement sur une jambe de bois. Le problème, c’est pas l’info, c’est comment on la consomme. Apprendre à dire non, ça, ça changerait la donne.

  44. Moi, ce qui me frappe, c’est la rapidité promise : « reprogrammer le cerveau en moins de deux jours » ? Ça sonne un peu trop beau pour être vrai, non ?

  45. Moi, la règle des 24h, je l’appliquerai bien… si seulement mon patron n’attendait pas des réactions immédiates aux annonces. C’est ça, le vrai problème.

  46. Je trouve ça ironique qu’on nous propose une solution technologique (la règle des 24h) pour lutter contre un problème technologique. C’est un peu comme se soigner avec le mal.

  47. Je me demande si cette règle ne risque pas de créer encore plus d’anxiété : l’idée de devoir « attendre » 24h pour s’informer me stresse déjà !

  48. Je trouve que ça met le doigt sur un truc : on est tellement bombardés d’infos qu’on oublie de se poser pour réfléchir vraiment à ce qu’on veut. Cette pause forcée pourrait nous aider à ça.

  49. Je me demande si ce n’est pas une forme de déconnexion choisie, un luxe qu’on ne peut pas tous se permettre. Moi, ça me ferait juste me sentir encore plus largué.

  50. C’est vrai que l’idée de se couper du flux est séduisante. Moi, ce qui me fatigue le plus, c’est le sentiment constant d’être sollicité de toutes parts.

  51. Honnêtement, ce n’est pas la keynote elle-même, mais le flot de discussions qui suit qui me vide. C’est comme une vague incessante d’opinions souvent non sollicitées.

  52. Je crois que le vrai enjeu est de savoir si on se laisse dicter notre agenda par les annonces des autres. C’est une question de contrôle, pas de technique.

  53. C’est marrant, moi je ressens un soulagement post-keynote. C’est comme une purge d’informations, après je me sens plus léger, prêt à autre chose.

  54. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « reprogrammer » le cerveau. C’est un peu flippant comme métaphore, non ? On n’est pas des robots !

  55. Moi, ce qui me dérange, c’est l’idée qu’on soit « programmé » par des notifications. On a quand même une capacité de choix, non ?

  56. Moi, je me demande si ce n’est pas une question de priorités. Après une keynote, je me focalise sur ce qui m’intéresse vraiment, et j’ignore le reste. Ça évite la surcharge.

  57. Je suis sceptique. On nous vend une solution miracle pour un problème qu’on s’est créé. Peut-être qu’apprendre à utiliser son téléphone serait plus efficace.

  58. Moi, je trouve que c’est surtout culpabilisant. Comme si on était faibles de pas résister à l’appel des notifications. Peut-être que c’est juste humain d’être curieux, non ?

  59. Moi, je me demande si le problème n’est pas la peur de manquer quelque chose d’important. On est tellement connectés qu’on a du mal à se déconnecter, même temporairement.

  60. Je trouve que l’article pointe du doigt quelque chose d’important : notre rapport à l’immédiateté. On a l’impression de rater quelque chose si on ne réagit pas tout de suite.

  61. Franchement, je me reconnais tellement dans ce besoin de détox après une keynote. C’est pas tant les notifs elles-mêmes, mais l’impression de devoir *tout* absorber immédiatement qui est épuisante.

  62. Je suis partagé. L’idée de détox est séduisante, mais j’ai peur de manquer des infos cruciales pour mon travail. C’est un équilibre délicat à trouver.

  63. Je trouve l’analogie avec un logiciel défaillant un peu forte. Pour moi, c’est surtout une question de rythme. Après une keynote, j’ai besoin de temps pour digérer l’info, pas de tout bloquer.

  64. Bof, après une keynote, j’aime bien scroller et voir les réactions à chaud, c’est comme commenter un match de foot avec des potes. La règle des 24h ? Trop radical pour moi.

  65. Moi, les keynotes, c’est comme un buffet à volonté. On se gave, mais après, on a mal au ventre. La règle des 24h, c’est peut-être la petite tisane digestive qu’il me faut.

  66. Je me demande si cette règle n’est pas un peu trop rigide. Pour moi, c’est l’excitation de la découverte qui est intéressante, pas forcément l’avalanche de notifications.

  67. Je me demande si ce n’est pas une question d’habitude. J’ai désactivé pas mal de notifications et, honnêtement, ça change la vie. On vit mieux la keynote, et l’après.

  68. La « règle des 24h », ça ressemble un peu à une punition qu’on s’inflige. On devrait pouvoir choisir quand on se reconnecte, sans culpabiliser.

  69. Je me demande si cette règle des 24h ne simplifie pas un peu trop le problème. C’est peut-être plus une question de choisir *ce* qu’on regarde, pas de tout couper.

  70. Je me demande si le problème n’est pas plus profond. On est tellement habitués à être « connectés » qu’on a oublié de s’ennuyer. Peut-être que l’ennui, c’est la vraie cure.

  71. Moi, c’est l’inverse. Après une keynote, je me sens inspiré et plein d’énergie. Couper pendant 24h, ça casserait cet élan créatif.

  72. Je pense que cette règle peut marcher pour certains, mais je crains que ce soit un pansement sur une jambe de bois. Le problème de fond, c’est peut-être qu’on attend trop des keynotes elles-mêmes.

  73. Moi, je me demande si ce n’est pas surtout une question d’âge. Plus jeune, j’aurais adoré l’effervescence. Maintenant, je cherche juste la paix.

  74. Je trouve intéressant de considérer ça comme une réinitialisation. Un peu comme un bon vieux redémarrage de son ordinateur quand il rame.

  75. Je trouve ça ironique qu’on nous propose une solution technologique (la règle des 24h) pour un problème causé par… la technologie. On est vraiment pris au piège.

  76. Moi, les keynotes, ça me fait l’effet d’un feu d’artifice. C’est beau, ça brille, mais ça dure pas. Après, faut ranger les cotillons. La règle des 24h ? Peut-être un moyen de digérer tout ça.

  77. J’ai l’impression que cette règle des 24h, c’est un peu comme éteindre la lumière pour mieux voir le soleil… alors que j’aurais juste besoin de lunettes de soleil.

  78. Franchement, l’idée de la règle des 24h me fait un peu penser à un sevrage brutal. Est-ce que ce n’est pas un peu extrême ? Moi, j’ai juste besoin d’une bonne sieste.

  79. C’est marrant, moi je n’ai jamais ressenti cette « surcharge ». Au contraire, ça me donne l’impression d’être dans le coup, de ne rien rater. Peut-être que c’est ça le problème, la peur de manquer quelque chose.

  80. Je me demande si cette règle des 24h ne serait pas une excuse pour ne pas réfléchir aux vraies questions que posent ces annonces. On consomme, on réagit, mais on ne se demande jamais « pourquoi ».

  81. Le problème, c’est pas les notifications, c’est le vide qu’elles comblent. Si on a besoin de couper 24h, c’est qu’on a un problème plus profond.

  82. Je me demande si le problème n’est pas plutôt dans l’importance qu’on accorde à ces keynotes. Ne pas regarder, c’est peut-être déjà la solution.

  83. La règle des 24h ? Ça me rappelle les régimes miracles… efficaces sur le coup, mais rarement durables si on ne change pas ses habitudes.

  84. Moi, ça me fait penser à ces moments où l’on a besoin de couper le son après un concert trop fort. Juste se retrouver dans le silence, même temporairement.

  85. Moi, je me demande si on n’exagère pas un peu. C’est vrai qu’il y a beaucoup d’infos, mais choisir ce qu’on veut retenir, c’est aussi ça, la liberté.

  86. Intéressant. Pour ma part, je trouve que ça met en lumière notre addiction. C’est peut-être pas une solution miracle, mais ça pointe un vrai problème.

  87. 24 heures sans rien ? Impossible pour moi. Je préfère trier sur le vif, désactiver les notifications non essentielles et garder le contrôle.

  88. C’est vrai que ce flux incessant peut être anxiogène. Moi, ça me rappelle les périodes d’examens où on est bombardé d’informations à retenir. La pause, c’est vital pour assimiler.

  89. Moi, ça me fait penser à une cure de détox après les fêtes. On se sent bien après, mais on replonge vite dans les excès. L’important, c’est peut-être d’apprendre à mieux s’alimenter en continu.

  90. Je trouve ça culpabilisant. On dirait qu’on est obligés de réagir à la seconde, sinon on est dépassés. Pourquoi ne pas juste accepter de rater quelques infos ?

  91. Moi, je me demande si on ne surestime pas l’impact réel de ces annonces sur nos vies. Est-ce qu’on a vraiment besoin de tout savoir immédiatement ?

  92. Je me reconnais tellement dans ce besoin de déconnexion. Pour moi, c’est pas juste après les keynotes, c’est un peu tout le temps… Le week-end, je coupe tout, sinon, je suis lessivé le lundi.

  93. Moi, la règle des 24h, j’y crois moyen. C’est comme éteindre un incendie avec un verre d’eau. Le problème est plus profond que ça, c’est la nature même du travail aujourd’hui.

  94. L’idée est séduisante, mais 24h d’abstinence totale, ça me paraît contre-productif. On risque juste de rater des infos importantes pour le boulot et de stresser encore plus.

  95. C’est marrant, moi ça me donne surtout envie de comprendre pourquoi on est si fasciné par ces keynotes au point d’être submergé après. C’est peut-être ça, le vrai sujet.

  96. Je me demande si le problème n’est pas qu’on attend trop de ces annonces. Se forcer à être à la page, c’est peut-être ça qui nous épuise, plus que les notifications elles-mêmes.

  97. Cette règle des 24h me semble un peu simpliste. Le problème, c’est pas tant les notifications que l’angoisse de ne pas être « performant » qu’elles génèrent.

  98. C’est vrai que le terme « logiciel défaillant » est un peu fort. Pour moi, c’est juste le signe qu’on est passionnés, et c’est pas forcément une mauvaise chose.

  99. Je crois que le vrai problème, c’est qu’on s’identifie trop aux marques et à leurs produits. On en fait une affaire personnelle, forcément ça fatigue.

  100. 24h sans tech ? Impossible ! Mais je comprends l’idée de se protéger. Perso, je trie direct : si c’est pas vital, poubelle. Ça évite la noyade.

  101. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours du cerveau comme une machine. On oublie l’humain derrière l’écran, et ça, c’est dommage.

  102. Perso, après une keynote, je me sens surtout comme après un repas de Noël : lourd et un peu coupable d’avoir trop consommé. La détox numérique, ça se tente, mais sans pression.

  103. Moi, ce qui me fatigue, c’est pas les notifications, c’est de savoir que je devrais être excité par la dernière nouveauté. Je préfère utiliser ce que j’ai déjà, tant que ça marche.

  104. Je suis d’accord sur le fond, mais je pense que le problème est plus profond. C’est la peur de rater quelque chose qui nous pousse à nous noyer dans l’info, pas juste la keynote elle-même.

  105. Je ne suis pas sûr que la « règle des 24h » soit la solution miracle, mais je comprends le besoin de se déconnecter. Parfois, j’ai juste envie de retrouver le silence.

  106. Je me demande si cette règle des 24h ne risque pas de créer plus d’anxiété qu’elle n’en résout. L’idée d’être « déconnecté » me stresse plus que les notifications elles-mêmes.

  107. C’est vrai qu’après une keynote, on a l’impression d’avoir le cerveau saturé. Moi, je me sens surtout submergé par la quantité de choses à *vouloir* acheter, plus que par les notifications elles-mêmes.

  108. Je me demande si le problème n’est pas plutôt notre rapport à l’attente. On veut tout, tout de suite, et la keynote ne fait qu’exacerber cette impatience.

  109. Moi, les keynotes, ça me fait rêver. C’est un peu comme regarder un film de science-fiction. La règle des 24h, je comprends l’idée, mais j’aurais peur de manquer une info cruciale pour mon boulot.

  110. Moi, ce que je trouve ironique, c’est qu’on nous propose une « règle » pour contrer un problème créé par la technologie. Le serpent qui se mord la queue, quoi.

  111. Franchement, la règle des 24h, ça me fait penser aux régimes. C’est restrictif, et après, on replonge encore plus fort. La modération, c’est peut-être ça la clé ?

  112. SportifDuDimanche

    Je crois que le vrai problème, c’est qu’on confond l’excitation de la nouveauté avec un besoin réel. On se laisse happer, et après on cherche des solutions « miracles ».

  113. Moi, les keynotes, ça me rappelle les jours de soldes. On est poussés à consommer, et bizarrement, on se sent coupable après. La « règle des 24h », c’est peut-être une façon d’éviter la gueule d…

  114. Moi, je me demande surtout si cette règle des 24h est réaliste. Dans mon métier, l’info, c’est le nerf de la guerre. Déconnecter, c’est prendre le risque d’être largué.

  115. ProvincialeHeureuse

    C’est marrant, moi, j’ai l’impression que c’est surtout la peur de passer à côté de quelque chose qui me pousse à scroller sans fin après une keynote.

  116. MécanicienRetraité

    J’ai l’impression que l’article simplifie un peu trop les choses. La concentration, c’est pas juste un logiciel à « reprogrammer ». C’est plus complexe, lié à notre état émotionnel du moment.

  117. InstitutricePassionnée

    Personnellement, je trouve ça rassurant de voir qu’un psychologue s’intéresse à l’impact des keynotes. On se sent moins seul face à ce tourbillon d’infos.

  118. Moi, ce qui me frappe, c’est l’analogie avec le logiciel. On est plus organique que ça, non ? La fatigue post-keynote, c’est peut-être juste un besoin de décompresser, comme après une grosse fête.

  119. L’idée est séduisante, mais ça me fait penser à ces défis de détox digitale qu’on abandonne vite. Est-ce que ça s’attaque vraiment à la source du problème, qui est notre rapport à l’informat…

  120. Je me demande si cette « règle » n’est pas juste une excuse pour procrastiner. Le vrai défi, c’est d’apprendre à trier l’info pertinente dès le début, non ?

  121. Cette règle, c’est peut-être un pansement sur une jambe de bois. On devrait plutôt apprendre à aimer le silence et à choisir nos sources d’information en amont.

  122. Moi, ça me parle. J’ai l’impression que mon attention est devenue une denrée rare, et ce genre de « cure » peut aider à la préserver.

  123. Je me demande si cette règle ne serait pas plus efficace si on la personnalisait. Chacun a son propre seuil de saturation informationnelle après tout.

  124. Guillaume Bernard

    Franchement, après une keynote, j’ai plus envie d’en parler avec mes potes que de me couper du monde. Le partage, c’est ça qui me vide pas.

  125. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on dirait qu’il faut se « réparer » après un événement qu’on a choisi de suivre. On est pas obligés de regarder les keynotes, non ? C’est notre choix.

  126. Je me demande si cette « règle des 24h » n’est pas simplement une façon de culpabiliser les gens qui aiment suivre l’actualité tech. On a le droit d’être passionné, non ?

  127. Moi, je me demande si le problème n’est pas la keynote elle-même. Peut-être qu’on pourrait juste les rendre moins longues et moins sensationnalistes ?

  128. Personnellement, je trouve ça ironique qu’on nous propose une solution « rapide » (48h !) à un problème créé par la vitesse et la surenchère d’informations.

  129. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on doit « reprogrammer » son cerveau. C’est quand même flippant de voir la technologie nous affecter à ce point. On dirait qu’on est des robots.

  130. Moi, je suis juste fatigué d’être constamment considéré comme un problème à résoudre. On dirait qu’on ne peut plus apprécier un événement sans qu’on nous dise qu’il faut se « soigner » après.

  131. Moi, j’y vois surtout une injonction supplémentaire à la performance. Même nos loisirs doivent être optimisés pour être productifs après… ça devient absurde.

  132. J’ai l’impression que cet article oublie le plaisir de la découverte. Se couper du monde pendant 24h, c’est rater les premières réactions, les mèmes, les blagues.

  133. C’est vrai que l’idée d’une « cure » après une keynote me fait sourire. Pour ma part, c’est surtout l’excitation du moment qui compte, pas tellement l’optimisation du cerveau après.

  134. Sébastien Bernard

    Je ne suis pas psychologue, mais l’idée me rappelle un peu les cures de désintoxication numérique à la mode. Est-ce vraiment une nécessité, ou juste une nouvelle façon de se sentir coupable de …

  135. Je suis plus préoccupé par l’effet des algorithmes qui filtrent *déjà* l’information, plutôt que par les notifications post-keynote. C’est un autre type de « reprogrammation » plus insidieuse.

  136. Moi, je pense que cette « règle des 24h » est un luxe. Qui peut vraiment se permettre de tout couper pendant une journée entière, boulot compris, juste après une keynote ? C’est un peu déconnecté de la réalité quotidienne.

  137. Alexandre Bernard

    Franchement, je ressens surtout une forme de tristesse. On dirait qu’on a perdu la capacité à digérer l’information naturellement. Besoin d’une « règle » pour ça?

  138. Je me demande si le vrai problème n’est pas l’importance qu’on accorde à ces keynotes. Si ça sature autant, c’est peut-être parce qu’on leur laisse trop de place dans notre vie.

  139. Christophe Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est la vitesse à laquelle on médicalise l’enthousiasme ! On dirait qu’il faut toujours se méfier de nos propres réactions.

  140. Je trouve que c’est un peu alarmiste. Perso, j’adore le buzz des keynotes, ça me donne de l’énergie créative. C’est comme un bon café, ça réveille !

  141. Moi, ce qui me fatigue, c’est d’entendre parler de « reprogrammer le cerveau » à tout bout de champ. On dirait qu’on est des robots à optimiser, et ça, ça me stresse plus que les notifs.

  142. François Bernard

    Moi, je trouve que c’est dommage qu’on ne parle que de négatif. Les keynotes, c’est aussi des avancées qui peuvent améliorer concrètement la vie. On oublie de célébrer ça.

  143. Grégoire Bernard

    Moi, ça me fait penser à une gueule de bois après une soirée trop arrosée. Sauf que là, c’est une gueule de bois numérique. L’analogie me parle plus que « logiciel défaillant ».

  144. Ce qui me dérange, c’est l’idée implicite que la concentration est un état passif à « restaurer ». Pour moi, elle se cultive activement, keynote ou pas.

  145. Moi, je trouve ironique qu’un article qui prétend nous aider à nous concentrer contribue lui-même à la surcharge d’informations. C’est le serpent qui se mord la queue du numérique.

  146. Moi, je suis surtout frappé par l’idée qu’on doive « réagir » aux keynotes. Je les regarde parfois, mais c’est plus par curiosité qu’autre chose. La pression de devoir être à la page, très peu pour moi.

  147. Béatrice Bernard

    La « règle des 24h », ça ressemble un peu à un régime détox après les fêtes. Peut-être que le vrai luxe, c’est juste de s’autoriser à décrocher complètement, sans règle.

  148. Finalement, ce qui me pèse le plus, c’est le sentiment d’être constamment en retard. Toujours un train de nouvelles technologies à rattraper.

  149. La règle des 24h, ça me rappelle les régimes miracles. Promesse alléchante, application contraignante et résultats… variables. Je préfère écouter mes propres besoins.

  150. C’est marrant comme on cherche toujours une solution rapide. Mais la vraie question, c’est pas de « réparer » son cerveau, c’est de savoir pourquoi on se laisse envahir au départ.

  151. Je me demande si cette « règle » ne risque pas de créer une anxiété de la déconnexion. L’idée de devoir se priver pendant 24h, c’est une contrainte de plus, non ?

  152. Gabrielle Bernard

    Franchement, l’idée de se couper du monde pendant 24h après une keynote me semble radicale. Je préfère doser l’information en amont plutôt que de subir un sevrage brutal ensuite.

  153. Je me demande si le problème n’est pas plutôt qu’on donne trop d’importance à ces événements. C’est du marketing, pas une obligation.

  154. En tant que parent, je me demande si cette règle des 24h n’est pas juste un luxe inaccessible. Qui peut se permettre de se déconnecter complètement avec les enfants à gérer ?

  155. J’ai l’impression que c’est encore une injonction au bien-être culpabilisante. Si on n’y arrive pas, c’est qu’on est « défaillant ».

  156. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « réparer » son cerveau. C’est quand même flippant de considérer son esprit comme un appareil à réparer après un événement marketing.

  157. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’implication que notre concentration est si fragile. On dirait qu’on est programmés pour être distraits.

  158. Moi, ça me fait penser aux détox après les fêtes. On culpabilise d’avoir « abusé » de l’info, alors qu’on était juste curieux.

  159. Moi, ça me parle. J’ai l’impression qu’avant, je choisissais l’info, maintenant elle me tombe dessus. C’est plus une question de contrôle perdu qu’autre chose.

  160. C’est marrant comme on médicalise tout maintenant. Avant, on disait juste qu’on était fatigué après avoir trop regardé un écran.

  161. Moi, je crois que c’est surtout le timing qui est mauvais. Après une keynote, on est excité, on veut en parler. Attendre 24h, c’est un peu contre-nature.

  162. C’est peut-être un peu radical, mais je vais essayer. Le pire, c’est que j’ai déjà la tête qui tourne rien qu’en lisant l’article. On verra bien si ça marche sur moi.

  163. Je suis perplexe. On dirait qu’on nous vend une solution miracle pour un problème qu’on s’est créé nous-mêmes. C’est un peu absurde, non?

  164. Catherine Bernard

    Je me demande si l’urgence à commenter immédiatement n’est pas le vrai problème. On a peur de rater quelque chose, mais rate-t-on vraiment quelque chose d’important ?

  165. Je suis curieux de savoir si cette « règle » aide vraiment à trier le bon grain de l’ivraie dans le flux d’infos. Peut-être que l’attente crée une sorte de filtre naturel.

  166. J’ai l’impression que c’est une excellente idée pour se recentrer, mais ça suppose qu’on a le contrôle sur son environnement numérique. Pas facile quand le travail dépend de ces notifications.

  167. Moi, ce que je retiens, c’est la peur de manquer quelque chose. On dirait qu’on vit dans un monde où rater une info = être exclu. C’est ça qui me fatigue, plus que les notifications elles-mêmes.

  168. Je trouve ça intéressant, mais ça me fait penser qu’on délègue notre capacité à gérer notre attention à des règles externes. On est vraiment devenus incapables de se dire « stop » par nous-mê…

  169. Je trouve l’idée séduisante, mais je crains que ce soit juste un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond que juste les 24h post-keynote, non ? C’est notre rapport constant à l’info.

  170. Jacqueline Bernard

    Je trouve l’idée intéressante mais un peu déconnectée de la réalité. Qui peut réellement se permettre de s’isoler du flux d’information pendant 24h ? C’est un luxe.

  171. Pour moi, le vrai problème n’est pas tant la quantité, mais la qualité. Si le contenu était plus pertinent, on ne se sentirait pas autant submergés.

  172. Vraiment ? Moi, j’ai l’impression que cette « règle » risque surtout d’amplifier la frustration. Ne rien voir pendant 24h, c’est comme retenir son souffle, la déferlante sera juste plus violente après.

  173. C’est marrant, on dirait qu’on doit s’imposer une cure pour quelque chose qu’on a nous-même créé. Un peu comme se mettre au régime après avoir trop mangé de gâteaux.

  174. Perso, après une keynote, j’ai surtout l’impression d’être bombardé de « résumés » faits par des gens qui n’ont rien compris. La vraie détox, c’est de ne lire que les sources primaires.

  175. C’est fou comme on cherche toujours la solution miracle. Moi, je me demande si on ne serait pas plus heureux sans suivre ces keynotes, tout simplement.

  176. C’est amusant de penser que la solution à un problème moderne se trouve dans une absence volontaire. Ça me rappelle les retraites spirituelles, mais pour geeks accros aux nouveautés.

  177. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que mon cerveau soit un logiciel à « reprogrammer ». C’est quand même déshumanisant, non ? On n’est pas des machines.

  178. J’ai l’impression qu’on diabolise un peu trop la technologie. C’est un outil, pas un bourreau. Apprenons à l’utiliser avec discernement plutôt que de tout rejeter.

  179. Après la keynote, je ressens surtout une excitation créative. J’ai hâte de voir comment les développeurs vont s’approprier les nouveautés. C’est ça qui m’intéresse.

  180. Moi, c’est surtout la pression sociale qui m’épuise. L’impression de devoir absolument être au courant de tout, sinon je rate quelque chose d’essentiel.

  181. Je me demande si cette « règle des 24h » ne risque pas de me faire passer à côté d’opportunités professionnelles importantes. L’info, c’est le nerf de la guerre, non ?

  182. C’est vrai que l’excitation initiale retombe vite. Je me sens surtout dépassé par la masse d’informations après coup, et je finis par ne plus rien retenir.

  183. L’idée de la règle des 24h me parle. Pas forcément pour une question de productivité, mais plus pour éviter de me laisser influencer par le marketing ambiant.

  184. Je suis fatigué de ces articles qui présentent une solution simpliste à un problème complexe. La surcharge d’informations est multifactorielle, et un simple « arrêt » de 24 heures ne résoudra pas tout.

  185. Cette « règle des 24h », ça me fait penser au tri que je fais dans ma boîte aux lettres. Je jette tout ce qui est pub directement, sans culpabiliser. Peut-être que ça s’applique aussi au numérique.

  186. Je me demande si le problème n’est pas plutôt la peur de manquer quelque chose. On veut tout voir, tout savoir, et on s’épuise pour rien.

  187. Sébastien Dubois

    Je me reconnais tellement dans ce cycle d’excitation puis de saturation. Peut-être que le vrai problème, c’est de croire qu’on doit absolument tout comprendre immédiatement.

  188. Moi, ce qui me frappe, c’est la manière dont on externalise notre concentration. On blâme la technologie au lieu de reprendre le contrôle. C’est facile de dire « c’est la faute des notifications », m…

  189. Je trouve ça ironique qu’un article sur la déconnexion me soit notifié instantanément sur mon téléphone. Le remède est-il pire que le mal ?

  190. Mouais, une « règle » de plus… J’ai l’impression qu’on cherche des solutions miracles alors que parfois, il suffit juste de s’ennuyer un peu. C’est peut-être ça, le vrai remède.

  191. Moi, je vois surtout un aveu : on a créé des outils censés nous faciliter la vie, mais ils nous rendent malades. C’est un peu triste, non ?

  192. Christophe Dubois

    Moi, je trouve que ça infantilise un peu. On est censés être des adultes capables de gérer notre attention, non ? C’est à nous de nous fixer des limites.

  193. Je ne sais pas trop… Si je coupe tout pendant 24h, je risque juste d’avoir une montagne de trucs à rattraper après. L’idée est bonne, mais pas forcément adaptée à tous les métiers.

  194. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de « reprogrammer le cerveau ». On n’est pas des robots ! On a le droit de se sentir dépassé sans avoir besoin d’un hack.

  195. C’est marrant, on dirait qu’on découvre l’eau chaude. Ma grand-mère disait déjà qu’il faut savoir se couper du monde pour se retrouver.

  196. C’est vrai que la promesse de concentration retrouvée en 48h est séduisante. Mais honnêtement, je crois que le problème est plus profond qu’une simple surcharge de notifications.

  197. Je pense surtout que cette règle des 24h est un luxe que beaucoup ne peuvent pas s’offrir. Le simple fait d’y penser me stresse déjà.

  198. La promesse est belle, mais j’ai peur de rater l’info importante en coupant tout. Et si c’était justement pendant ces 24h que je reçois l’appel que j’attends ?

  199. L’idée est intéressante, mais j’ai peur que 24 heures suffisent juste à me rendre encore plus anxieux à l’idée de ce que je pourrais manquer. Je me vois mal appliquer ça.

  200. Je me demande si cette règle ne serait pas plus efficace pour la prévention que pour la « guérison » après une grosse keynote. Anticiper la surcharge plutôt que réagir ensuite.

  201. Je me demande si le problème n’est pas plutôt notre rapport à l’attente. On est devenus incapables de patienter, et c’est ça qui nous stresse, pas juste les notifications.

  202. Franchement, je crois que c’est surtout une question de volonté. On peut tous éteindre ces satanées notifications si on le voulait vraiment.

  203. Je me demande si cette « règle » ne nous infantilise pas un peu. C’est à nous de trouver notre équilibre, pas aux experts de nous dicter des pauses forcées.

  204. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « reprogrammer » le cerveau. On dirait qu’on le considère comme une machine. C’est réducteur, non ? On est quand même plus complexes que ça.

  205. Moi, ce qui me dérange, c’est l’idée que la solution à un problème créé par la technologie réside encore dans… la technologie. On ne nous propose jamais de débrancher vraiment, juste de débrancher « intelligemment ».

  206. Personnellement, je me sens déjà coupable de ne pas être constamment connecté. Cette règle ajoute une couche de stress : la culpabilité de « déconnecter ».

  207. Moi, je me demande si cette règle marche vraiment pour tout le monde. Chaque cerveau est différent, non ? 24h pour retrouver sa concentration, ça me paraît un peu simpliste.

  208. C’est marrant, on dirait qu’on découvre que les notifications, c’est intrusif. Perso, j’ai juste désactivé celles qui ne sont pas cruciales. Problème réglé, sans règle des 24h.

  209. Je trouve l’idée intéressante, mais un peu anxiogène. J’ai peur de rater quelque chose d’important pendant ces 24 heures. C’est peut-être ça, le vrai problème ?

  210. Ça me fait penser aux régimes. Une solution miracle pour un problème de fond. On oublie souvent que c’est notre façon de consommer la technologie qui pose problème, pas la technologie elle-même.

  211. En tant que parent, j’ai plus l’impression de courir après le temps que d’être submergé par les notifications. 24h sans regarder mon téléphone ? Impossible avec les enfants.

  212. Je me reconnais tellement dans ce besoin de déconnexion. Le simple fait de savoir que je peux ignorer volontairement les notifications pendant une journée entière me soulage déjà.

  213. Je me demande si le problème n’est pas que l’on attend une « solution » miracle. La concentration, c’est un muscle qui se travaille au quotidien, pas un interrupteur qu’on actionne une fois.

  214. Je crois que le problème n’est pas tant la concentration que l’incapacité à s’ennuyer. On a peur du vide, alors on le remplit de notifications.

  215. Je me demande si cette règle des 24h ne crée pas une attente irréaliste. On risque de se sentir encore plus mal si on ne retrouve pas sa concentration en 48h.

  216. Je pense que c’est plus la peur de l’isolement social qui nous pousse à rester connectés, qu’une réelle addiction aux notifications. On a peur de manquer une info, de ne plus faire partie de la conversation.

  217. J’ai l’impression qu’on diabolise un peu trop les notifications. Elles peuvent aussi être une source de connexion positive avec mes proches, pas seulement une invasion.

  218. Moi, ce qui me frappe, c’est le vocabulaire guerrier. « Surcharge », « avalanche »… On dirait qu’on est en état de siège permanent à cause de nos téléphones.

  219. Je trouve le titre un peu alarmiste. On dirait qu’on est tous des cobayes ! Personnellement, je ressens surtout de la curiosité après une keynote, pas de l’épuisement.

  220. C’est marrant, moi je n’ai jamais ressenti ça. Après une keynote, je suis plutôt motivé pour tester les nouveautés, ça me donne de l’énergie.

  221. Je ne crois pas que ce soit les keynotes le problème, mais plutôt notre incapacité à choisir ce qui est pertinent. On s’abonne à tout et n’importe quoi, puis on s’étonne d’être submergés.

  222. Moi, ce qui me fatigue, c’est surtout l’anticipation de ces keynotes. On nous promet toujours la révolution, et au final, c’est souvent plus de la même chose.

  223. Personnellement, je trouve que l’article pointe du doigt un vrai problème de notre époque. On est tellement sollicités qu’on ne sait plus où donner de la tête.

  224. Je me reconnais dans ce « logiciel défaillant ». Peut-être que se déconnecter 24h est trop radical, mais réduire drastiquement les sources d’info, ça, c’est envisageable.

  225. Honnêtement, je me demande si on ne crée pas le problème en en parlant autant. Avant, on lisait des magazines après un salon, point.

  226. Jacqueline Dubois

    C’est vrai que la promesse de « reprogrammer » son cerveau en 48h, ça fait un peu pub pour lessive. Moi, j’ai juste l’impression d’être un peu plus bête après.

  227. C’est vrai que le ton est un peu sensationnaliste, mais ça me parle. J’ai l’impression de rater quelque chose si je ne suis pas au courant de la dernière nouveauté.

  228. Moi, les keynotes, ça me rappelle surtout les cours magistraux à la fac. On prend des notes à toute vitesse, on a l’impression de comprendre, et puis… on oublie 90% une heure après.

  229. Je me demande si le problème n’est pas la peur de manquer quelque chose. On se sent obligé de suivre, alors qu’au fond, on pourrait juste faire confiance aux autres pour nous résumer l’essentiel.

  230. Ça me fait penser aux régimes miracles. On nous vend une solution simple pour un problème complexe, et ça marche rarement. Je préfère un tri progressif qu’une purge brutale.

  231. Je me demande si l’intérêt de ces keynotes n’est pas surtout social. On en parle, on partage, on se sent connectés à une communauté. La nouveauté technique, c’est secondaire.

  232. Je me demande si le problème n’est pas l’excitation. On est tellement pompés à l’idée de découvrir le futur qu’on devient accros au flot constant d’infos, bonnes ou mauvaises.

  233. Je ne suis pas sûr que le problème soit tant l’après-keynote que la culture de l’immédiateté qu’elle renforce. On veut tout, tout de suite.

  234. Je trouve que l’article oublie un truc essentiel : le plaisir ! C’est excitant de suivre ces événements, même si c’est parfois superficiel. Pourquoi s’en priver ?

  235. Moi, ce qui me fatigue le plus, c’est l’injonction à être toujours à la pointe. C’est épuisant de courir après la dernière nouveauté, alors que souvent, mes vieux outils font très bien l’affaire.

  236. Personnellement, je trouve ça un peu infantilisant. On est capables de gérer un flux d’informations, non ? C’est pas une keynote qui va me « programmer » comme un robot.

  237. Cette règle des 24h, c’est comme une détox digitale forcée. Ça peut faire du bien, mais j’ai peur de passer à côté d’infos vraiment utiles pour mon travail.

  238. Franchement, cette « règle des 24h » ressemble à un pansement sur une jambe de bois. Le problème, c’est pas les notifications, c’est le vide qu’on essaie de combler en les regardant.

  239. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on soit « programmés ». On a quand même une capacité de discernement, non ? C’est un peu alarmiste comme approche.

  240. Je me demande si on surestime pas l’impact réel de ces annonces. Perso, je regarde, je suis à moitié attentif, et puis j’oublie vite. La vie reprend son cours.

  241. C’est marrant, moi je me sens surtout nul de pas comprendre la moitié des trucs techniques présentés. Un peu comme quand j’étais petit devant une émission scientifique.

  242. C’est vrai que l’article parle de concentration, mais moi, je suis juste nostalgique de l’époque où les annonces tech surprenaient vraiment. Maintenant, on dirait un feuilleton prévisible.

  243. Sébastien Durand

    Je comprends l’idée, mais je crois que l’impact dépend vraiment de notre rapport personnel à la technologie.

    La règle des 24h peut être utile pour certains, mais inutile pour ceux qui savent naturellement se déconnecter.

  244. Je me demande si cette règle marche vraiment. Pour moi, c’est plus le regret d’avoir perdu du temps à regarder la keynote qui me plombe le moral après.

  245. Je suis toujours étonné qu’on parle de « reprogrammer » le cerveau comme si c’était une machine. On dirait qu’on oublie qu’on peut juste… choisir de ne pas regarder ?

  246. Bizarrement, je trouve l’idée de la règle des 24h rassurante. Savoir que même après avoir succombé à la curiosité, il existe une « solution » simple, c’est presque culpabilisant de ne pas l’appliquer.

  247. Plutôt que de me sentir « programmé », je me sens surtout flatté qu’on pense que mon attention vaut autant d’efforts marketing. C’est presque un compliment, non ?

  248. Christophe Durand

    L’idée de « reprogrammer » est forte, mais je me demande si c’est pas juste une excuse pour pas assumer notre propre addiction. C’est plus facile de blâmer la « programmation » que son manque de volonté.

  249. Je trouve l’idée séduisante, mais je me demande si la pression sociale de « ne pas être à la page » rend la règle des 24h vraiment applicable. On a peur de rater une info importante.

  250. Franchement, l’idée est bonne, mais c’est un pansement sur une jambe de bois. Le vrai problème, c’est l’injonction permanente à la nouveauté. On devrait plutôt apprendre à être content avec ce qu’on a déjà.

  251. L’idée d’une « solution » rapide me laisse sceptique. Pour moi, la déconnexion, c’est un cheminement plus long qu’une simple pause de 24h.

  252. J’ai l’impression que c’est un peu prendre le problème à l’envers. On se concentre sur la « guérison » alors qu’il faudrait questionner l’hyperstimulation elle-même.

  253. Je me demande si cette règle des 24h ne risque pas de transformer l’attente en une frustration encore plus grande. L’interdit peut-être plus difficile à supporter que l’information elle-même…

  254. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que la keynote elle-même serait la source du problème. J’aime bien les keynotes, c’est un peu comme regarder un film de science-fiction.

  255. Moi, ce qui me dérange, c’est cette idée de performance. On dirait qu’il faut optimiser sa concentration, même après avoir cédé à sa curiosité.

  256. Moi, ce qui me fatigue le plus, c’est pas l’info elle-même, c’est la peur de la manquer. On dirait qu’on doit toujours être au courant de tout.

  257. Moi, ce qui me dérange le plus, c’est le ton alarmiste. On dirait qu’une keynote est une attaque cérébrale. C’est juste une présentation, non ? Je me sens un peu infantilisé.

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