Cette institutrice dévoile la routine quotidienne qui prépare sereinement votre enfant aux évaluations CP-CE1, en 15 minutes par jour seulement

La simple évocation des évaluations en CP ou CE1 suffit à crisper de nombreux parents. Comment aider son enfant à réussir sans transformer les devoirs en une source de conflit ? Une institutrice expérimentée partage aujourd’hui une routine quotidienne de 15 minutes, conçue pour ancrer les savoirs fondamentaux de manière ludique et préparer sereinement les enfants à ces étapes clés. Cette méthode simple transforme une anxiété parentale en un moment de complicité et de confiance partagée.

La genèse d’une routine qui change tout

Face au stress des parents et à l’appréhension de certains élèves, une solution simple mais structurée s’est imposée comme une évidence pour consolider les apprentissages en douceur.

Le témoignage d’une enseignante de terrain

Élise Fournier, 42 ans, institutrice en cycle 2 à Lyon, a constaté l’efficacité des rituels en classe depuis des années. « Je voyais des parents démunis face aux premières évaluations. L’idée était de transposer la structure rassurante de la classe à la maison, en version ultra-concentrée pour ne surcharger personne. »

Au départ, Élise a remarqué que ses élèves les plus à l’aise étaient ceux qui bénéficiaient d’une routine stable. Après avoir suggéré une version condensée de ses rituels matinaux à quelques familles, les retours ont été unanimes : les enfants étaient plus autonomes et confiants, abordant les notions avec plus de facilité.

Pourquoi cette méthode est-elle si efficace ?

Le secret de cette approche ne réside pas dans la complexité, mais dans la répétition et la prévisibilité. En consacrant chaque jour quelques minutes aux mêmes types d’exercices, l’enfant crée des automatismes. Le cerveau n’a plus à fournir un effort intense pour comprendre la consigne, il se concentre uniquement sur la résolution.

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  • Sécurité affective : Le rituel est un cadre connu et rassurant.
  • Ancrage mémoriel : La répétition espacée est la clé d’une mémorisation à long terme.
  • Confiance en soi : L’enfant mesure ses propres progrès au quotidien.

Mettre en place la routine de 15 minutes à la maison

L’application de cette méthode ne demande aucun matériel coûteux ni de préparation complexe. La régularité et l’attitude positive sont les seules clés du succès.

Les bénéfices concrets au quotidien

Au-delà des résultats scolaires, les impacts sont multiples. D’un point de vue pratique, la routine s’intègre facilement après le goûter ou avant le dîner. Sur le plan du bien-être, elle désamorce la pression liée aux notes et renforce le lien parent-enfant autour d’une activité collaborative et positive.

Voici un exemple de répartition sur la semaine :

Jour Activité principale (5-7 min) Activité secondaire (5-7 min)
Lundi & Mercredi Le nombre du jour (décomposition, calculs simples) Lecture d’une phrase à voix haute
Mardi & Jeudi Calcul mental ludique (avec des dés) Identifier le verbe et le sujet dans une phrase
Vendredi Résolution d’un mini-problème Écriture de 3 mots de la semaine

Variations et conseils pour garder l’intérêt

Pour éviter la lassitude, n’hésitez pas à varier les supports. Une petite ardoise blanche, des dés colorés ou même des applications éducatives sur tablette peuvent être utilisés. L’essentiel est de conserver la structure (un peu de maths, un peu de français) tout en changeant la forme pour maintenir l’engagement de l’enfant.

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Une approche en phase avec les pédagogies modernes

Cette méthode s’inscrit pleinement dans les tendances actuelles qui valorisent le micro-apprentissage (« micro-learning »). Plutôt que de longues sessions de travail, des séquences courtes et fréquentes se révèlent bien plus performantes pour consolider les connaissances, surtout chez les jeunes enfants. Cela favorise une meilleure concentration et un apprentissage sans douleur.

L’impact à long terme sur l’autonomie

En instaurant ce rituel, vous n’aidez pas seulement votre enfant à préparer ses évaluations. Vous lui transmettez des compétences transversales essentielles : l’organisation, la discipline et la persévérance. Il apprend que des efforts réguliers, même petits, mènent à de grandes réussites, une leçon fondamentale pour toute sa scolarité.

Un investissement minime pour des résultats majeurs

En définitive, ces 15 minutes quotidiennes sont bien plus qu’une simple aide aux devoirs. C’est un investissement dans la confiance en soi de votre enfant et dans la sérénité de votre vie de famille. En adoptant cette routine, vous lui donnez les outils pour devenir un apprenant autonome et épanoui.

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307 réflexions sur “Cette institutrice dévoile la routine quotidienne qui prépare sereinement votre enfant aux évaluations CP-CE1, en 15 minutes par jour seulement”

  1. 15 minutes, ça paraît court… J’espère que ce n’est pas juste une énième méthode miracle vendue comme la solution à tous les problèmes.

  2. Moi, les évaluations, ça me stresse plus que mon fils. Si cette routine peut m’aider à dédramatiser, je prends ! On verra bien si ça marche.

  3. CP et CE1, c’est encore l’âge où ils apprennent en jouant, non ? J’ai peur qu’une routine, même courte, ne casse ce plaisir et les braque contre l’école.

  4. Une routine, pourquoi pas, si elle est vraiment adaptable. Chaque enfant est tellement différent, j’espère que ce n’est pas une recette rigide !

  5. Une routine, ça peut être rassurant, autant pour l’enfant que pour le parent, non ? Si ça donne un cadre sans pression, pourquoi pas essayer.

  6. Franchement, si c’est conçu par une institutrice, ça me rassure déjà plus qu’un truc sorti de nulle part. Au moins, elle connait les programmes.

  7. Moi, je me demande surtout si 15 minutes suffisent vraiment. On nous promet toujours la lune… J’attends de voir concrètement de quoi il s’agit avant de m’emballer.

  8. L’idée d’une routine me fait penser à mon enfance. Mes parents étaient plus détendus, du coup, moi aussi. Peut-être que c’est ça, la clé ?

  9. Moi, ce qui m’interpelle, c’est le mot « sereinement ». C’est tout un programme ! Si ça marche, chapeau, parce que c’est pas gagné d’avance.

  10. Honnêtement, les évaluations, je m’en fiche un peu. L’important, c’est que mon enfant aime apprendre. Si cette routine l’aide à ça, tant mieux.

  11. 15 minutes, ça me rappelle les devoirs à la maison de mon époque. C’était pas la joie, mais au moins, c’était cadré. J’espère que cette routine est plus fun !

  12. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée de « préparer » aux évaluations. On dirait qu’on transforme l’enfance en une course. Ne pourrait-on pas laisser les enfants découvrir, tout simplement ?

  13. 15 minutes, c’est tentant, surtout si ça évite les crises du soir. J’espère juste que ça ne se transforme pas en corvée supplémentaire pour nous.

  14. Moi, les évaluations, ça me rappelle surtout mon propre stress d’enfant. Si cette routine peut aider, je suis prêt à tester, même si je reste vigilant.

  15. Une institutrice, c’est déjà un gage de sérieux. J’espère que sa routine est basée sur l’observation des enfants, et pas juste une méthode théorique.

  16. Moi, ce que je me dis, c’est que si ça peut me donner des idées pour jouer avec les chiffres et les lettres différemment, pourquoi pas ? On verra bien si ça tient ses promesses.

  17. J’ai l’impression qu’on cherche à transformer les parents en enseignants bis. L’école, c’est l’école, la maison devrait rester un espace de jeu et de détente, non ?

  18. Si ça peut redonner confiance à mon enfant, qui a tendance à se dévaloriser, je suis preneur. L’enjeu n’est pas la performance, mais l’estime de soi.

  19. L’idée d’une routine me fait un peu peur : chaque enfant est tellement différent. J’espère que ce n’est pas une recette miracle rigide.

  20. Moi, je me demande si ça colle avec le rythme de chaque famille. Le soir, on est déjà tous fatigués… Est-ce que ça rajouterait pas une couche de stress ?

  21. Moi, je me demande si cette routine prend en compte le plaisir d’apprendre. Si c’est juste bachoter pour les évaluations, ça risque de braquer mon enfant.

  22. Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant la routine que le mot « évaluation ». Mon enfant est encore petit, je veux pas lui mettre la pression trop tôt.

  23. 15 minutes, ça me semble court. Est-ce que ça ne risque pas d’être superficiel et de rater des difficultés plus profondes chez l’enfant ? Je préfère prendre le temps qu’il faut.

  24. Moi, ce qui me titille, c’est le mot « sereinement ». On peut vraiment aborder des évaluations sereinement avec un enfant de cet âge ? J’ai des doutes…

  25. 15 minutes pour « préparer sereinement » ? Ça sent la promesse un peu trop belle, non ? J’ai peur que ce soit culpabilisant si ça ne marche pas.

  26. Moi, je suis curieux de savoir quels jeux elle propose, cette institutrice. Si ça peut remplacer les écrans 15 minutes par jour, je dis banco !

  27. Ça me rappelle ma propre expérience… J’aurais aimé avoir ça à l’époque. Peut-être que j’aurais moins pleuré le jour des évaluations.

  28. « Routine », « préparation »… ça sonne un peu comme une course à la performance, alors que le CP et le CE1 devraient être des découvertes joyeuses. J’espère que l’institutrice n’oublie pas ça.

  29. Je me demande si cette routine est adaptable à tous les profils d’enfants, notamment ceux avec des troubles de l’attention. 15 minutes, c’est peut-être trop long pour certains !

  30. Je me demande si ça ne risque pas de déresponsabiliser les enseignants. On dirait qu’on doit pallier un manque à la maison. C’est leur boulot, non ?

  31. Moi, j’ai toujours pensé que le meilleur moyen d’aider, c’est de s’intéresser à ce qu’il fait en classe, pas de faire l’école à la maison. L’important, c’est qu’il se sente soutenu, pas qu’il bachote.

  32. Je me souviens surtout de la pression que mes parents se mettaient, pas tellement de celle que je ressentais moi. Si ça peut les aider à se détendre, tant mieux.

  33. Moi, je trouve ça chouette si ça peut donner des idées aux parents un peu perdus. On est tellement bombardés d’infos, un petit coup de pouce, ça ne peut pas faire de mal.

  34. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que 15 minutes peuvent vraiment changer la donne. J’ai l’impression que l’apprentissage, c’est plus diffus, plus une question d’atmosphère à la maison.

  35. Moi, les « méthodes miracles », ça me fait toujours un peu sourire. Chaque enfant est tellement unique, je doute qu’une seule recette puisse marcher pour tous.

  36. Franchement, j’espère surtout que cette routine inclut des câlins et des encouragements ! L’affectif, ça compte au moins autant que les exercices.

  37. Le CP et le CE1, c’est déjà loin pour moi. Mais je me rappelle surtout de la fierté de savoir lire et écrire. J’espère que cette routine ne va pas étouffer cette joie.

  38. 15 minutes, ça me paraît court pour vraiment ancrer quelque chose. J’ai peur que ça devienne une source de stress supplémentaire, plus qu’un réel soutien.

  39. Si ça permet d’éviter les crises du soir pendant les devoirs, je suis preneur ! Le mien bloque sur tout, même si je sais qu’il comprend. Peut-être qu’une routine structurée l’aiderait à se sentir plus en confiance.

  40. Moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si cette routine tient compte du rythme de chaque enfant. Mon fils a besoin de temps pour digérer les informations, 15 minutes, ça risque d’être trop rapide pour lui.

  41. J’ai surtout envie que mon enfant garde son innocence le plus longtemps possible. Les évaluations, ça me stresse plus que lui, je crois. Je préfère miser sur la curiosité naturelle.

  42. Je me demande si cette routine aide vraiment les parents à se sentir moins coupables de ne pas en faire « assez ». C’est peut-être ça, le vrai bénéfice.

  43. L’idée d’une routine me plaît, mais j’espère que ça reste discret. Je ne veux pas que mon enfant se sente différent des autres à l’école.

  44. Moi, je me demande surtout si cette routine est aussi bénéfique pour les enfants qui ont déjà des facilités. Est-ce que ça ne risque pas de les ennuyer, de les brider ?

  45. L’école devrait susciter l’épanouissement, pas l’angoisse. J’espère que cette routine ne transforme pas l’apprentissage en une course contre la montre dès le plus jeune âge.

  46. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on externalise encore l’éducation. On cherche une recette miracle au lieu de passer du temps de qualité avec nos enfants.

  47. Moi, je me dis que si ça peut donner quelques outils aux parents qui se sentent perdus, c’est toujours ça de pris. L’école a tellement changé depuis mon temps…

  48. En tant que parent divorcé, je me demande si cette routine peut aussi s’intégrer facilement dans deux foyers différents. La cohérence est primordiale pour l’enfant, non ?

  49. Je suis toujours méfiant face à ce qui promet un résultat rapide. L’apprentissage, c’est avant tout une histoire de patience et d’adaptation.

  50. J’espère que cette routine inclut des câlins et des rires, pas seulement des exercices. L’affectif, c’est la base de tout apprentissage réussi.

  51. Moi, je suis curieux de savoir si cette routine tient compte des différents styles d’apprentissage. Certains enfants sont plus visuels, d’autres auditifs, et d’autres kinesthésiques.

  52. Franchement, l’idée d’avoir une « routine » me fait un peu peur. J’ai l’impression que ça fige l’apprentissage, alors que chaque jour est différent !

  53. Je me demande si cette routine prend en compte le rythme propre de chaque enfant. Mon fils a parfois besoin de plus de temps pour digérer une notion.

  54. Une routine, c’est bien joli, mais ça ne remplacera jamais le dialogue avec l’enfant et son enseignant. C’est là qu’on comprend vraiment ses difficultés.

  55. Une routine de 15 minutes? Si ça enlève de la pression à la maison, pourquoi pas essayer. Le stress, ça se transmet vite aux enfants, et c’est contre-productif.

  56. Les évaluations, c’est surtout stressant pour les parents, non ? L’enfant, il vit ça comme un jour normal, sauf si on lui met la pression.

  57. En CP/CE1, le plus important, c’est que l’enfant aime aller à l’école, non ? Si cette routine lui donne confiance, tant mieux, mais l’essentiel reste le plaisir d’apprendre.

  58. 15 minutes, ça me semble court. J’espère que cette routine n’est pas une solution miracle qui culpabilise ceux qui n’ont pas le temps.

  59. Je suis un peu sceptique. On dirait qu’on transforme l’enfance en course à la performance dès le CP. Ne faudrait-il pas juste les laisser grandir et découvrir le monde à leur rythme ?

  60. Moi, j’aimerais surtout savoir si cette routine est adaptée aux enfants dyslexiques ou dysorthographiques. C’est souvent eux qui paniquent le plus face aux évaluations.

  61. Je me demande si cette routine ne risque pas d’uniformiser l’apprentissage. Chaque enfant est tellement unique dans sa manière d’apprendre.

  62. Moi, je me demande si cette routine prend en compte les enfants qui ont juste besoin d’un câlin et d’un encouragement, plus que de révisions supplémentaires.

  63. Moi, je me demande surtout si cette routine donne des idées concrètes. On parle beaucoup de « sérénité », mais c’est quoi les exercices ? Des exemples seraient les bienvenus.

  64. Moi, ça me rappelle les devoirs du soir qui finissaient en larmes. J’espère que cette routine est plus douce et encourageante qu’une corvée supplémentaire.

  65. En tant que parent débordé, je me demande si 15 minutes suffisent vraiment à faire une différence ou si c’est juste une promesse marketing.

  66. Moi, je me dis que si ça peut éviter les crises de stress avant les évaluations, ça vaut peut-être le coup d’essayer, non ? On verra bien si ça marche pour mon loulou.

  67. Moi, je me demande surtout si cette routine ne va pas finir par faire culpabiliser les parents qui n’ont pas le temps de la suivre. La pression est déjà assez forte comme ça.

  68. Je trouve ça dommage de mettre autant l’accent sur les évaluations si tôt. On devrait peut-être se concentrer sur le plaisir d’apprendre, non?

  69. 15 minutes, ça me semble une respiration bienvenue dans le tourbillon quotidien. L’idée n’est peut-être pas de viser la performance, mais juste de créer un petit rendez-vous rassurant avec l’apprentissage.

  70. 15 minutes… Ça me rappelle l’heure du conte. Peut-être que cette routine, c’est juste une histoire qu’on se raconte pour se rassurer.

  71. Moi, je me demande si l’institutrice propose des astuces pour les enfants qui ont des difficultés spécifiques. C’est bien beau de parler de routine, mais tous les enfants n’apprennent pas de la même manière.

  72. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de « préparer » à l’évaluation. On dirait qu’on prépare un examen d’entrée à Harvard… C’est quand même le CP, CE1 ! Un peu de légèreté, non ?

  73. L’école à la maison, même 15 minutes, ça reste l’école. J’aurais préféré un article sur comment déconnecter après les cours, personnellement.

  74. L’idée d’une routine, pourquoi pas, mais j’espère que c’est adaptable. Mon fils, le « ludique », il le voit d’un mauvais œil si ça ressemble trop à du travail.

  75. Des évaluations en CP-CE1, sérieusement ? Moi, je me souviens surtout des parties de billes et des dessins moches qu’on affichait fièrement. Cette nostalgie me fait douter de la nécessité de tout ça.

  76. J’espère que cette routine ne crée pas une pression inutile sur les enfants. L’apprentissage devrait rester une découverte, pas une course contre la montre.

  77. 15 minutes, c’est court. Mais peut-être que c’est la clé : ne pas saturer l’enfant et ne pas se décourager nous-mêmes.

    Si cette routine aide les parents à se sentir moins perdus, tant mieux.

  78. Cette routine, c’est peut-être bien, mais je me demande si ça prend en compte les enfants qui ont juste besoin de plus de temps, pas d’une méthode miracle.

  79. Moi, j’aimerais surtout que l’école apprenne à mon enfant à s’organiser, plus qu’à bachoter pour des évals. C’est ça qui lui servira toute sa vie.

  80. Moi, ça me rappelle les cahiers de vacances qu’on nous refilait en juillet. L’idée est la même, non ? Garder un petit lien avec l’école pendant les pauses.

  81. Moi, je me demande si cette routine ne risque pas d’uniformiser l’apprentissage, alors que chaque enfant est unique et apprend à son propre rythme. Ça me fait un peu peur.

  82. Si ça peut aider les parents à se sentir plus impliqués dans la scolarité de leur enfant, c’est déjà ça. J’aurais aimé avoir ça quand ma fille était en CP.

  83. Moi, je me dis que ça peut éviter les crises du soir pour les devoirs. Si c’est court et régulier, c’est peut-être moins angoissant pour tout le monde.

  84. Moi, ce qui me frappe, c’est la pression sur les épaules de ces petits, dès le CP. C’est pas censé être l’âge de la découverte et du jeu, tout simplement ?

  85. Franchement, le « sereinement » me fait sourire. J’ai l’impression qu’on essaie de nous vendre du rêve, alors qu’on parle quand même d’évaluations à 6 ans.

  86. Moi, je trouve que c’est bien de s’intéresser à ce que fait l’école, ça évite de paniquer après. C’est un peu comme savoir le menu de la cantine en avance, on est plus détendu.

  87. 15 minutes, ça semble court, mais c’est peut-être le bon compromis pour ne pas braquer l’enfant. Je suis curieux de voir ce que cette institutrice propose concrètement.

  88. Le mot « sereinement » me semble un peu exagéré. Mais si ça donne aux parents des outils pour accompagner, et pas stresser, leur enfant, pourquoi pas.

  89. Je me demande surtout si cette routine ne risque pas de transformer le temps passé avec mon enfant en une sorte de mini-cours particulier. J’ai envie qu’on profite de ces moments pour autre chose, pour des jeux, des histoires.

  90. Cette histoire de routine, ça me rappelle les méthodes miracles pour apprendre une langue en dormant. On dirait qu’on cherche à « hacker » l’enfance.

  91. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça reporte la pression de l’école à la maison. L’apprentissage, ça devrait rester un plaisir, pas une contrainte supplémentaire.

  92. L’idée d’une routine me plaît, ça structure. Mais j’espère que ce n’est pas trop scolaire, sinon, autant laisser faire l’école.

  93. Franchement, les évaluations CP-CE1… Est-ce que c’est vraiment une course contre la montre ? Je me demande si on ne met pas trop de pression trop tôt.

  94. Moi, l’idée d’avoir un petit coup de pouce de pro, ça me rassure. Si ça peut éviter les soirs de panique devant les devoirs, je prends.

  95. J’ai surtout l’impression qu’on externalise encore une fois la responsabilité de l’éducation. L’école n’est-elle plus suffisante ?

  96. 15 minutes, ça me semble gérable. Le soir, après le goûter, ça peut être un moment privilégié, loin des écrans. Je suis curieux de savoir en quoi consiste cette routine.

  97. Moi, ça me rappelle les cahiers de vacances que je faisais enfant, mais en version « prévention ». Est-ce que ça marche vraiment ?

  98. SportifDuDimanche

    Le titre me fait penser aux pubs pour maigrir : « 15 minutes par jour et hop, la réussite ! ». Un peu simpliste, non ? L’école, c’est un tout, pas juste un entraînement.

  99. Ça me fait penser aux cours particuliers déguisés, mais gratuits. Si l’instit est bonne, pourquoi pas, mais je préfère que mon enfant joue dehors.

  100. Je me demande si cette routine tient compte du rythme de chaque enfant. Le mien a parfois besoin de plus de temps pour digérer les notions.

  101. ProvincialeHeureuse

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est la pression que ça met sur les épaules des enfants dès le CP. On dirait qu’il faut déjà performer.

  102. MécanicienRetraité

    J’ai l’impression qu’on transforme l’apprentissage en performance. Mon enfant est curieux, je ne veux pas casser ça avec la pression des évaluations.

  103. InstitutricePassionnée

    Je suis partagé. D’un côté, aider son enfant, c’est normal. De l’autre, j’aimerais que l’école fasse son travail sans que j’aie à rajouter une couche à la maison.

  104. Personnellement, je trouve rassurant qu’une professionnelle propose des outils concrets. L’idée n’est pas de stresser, mais de consolider les bases en douceur.

  105. Je suis un peu las de cette obsession de la préparation. Ne pourrait-on pas laisser les enfants apprendre à leur rythme, tout simplement ?

  106. Je suis surtout frappé par la proposition de « routine ». On dirait qu’on veut formater les enfants. Chaque enfant est unique, non ?

  107. Moi, ce qui me gêne, c’est le mot « sereinement ». On nous vend la sérénité, mais le simple fait de parler d’évaluations la fout en l’air, non ?

  108. Moi, ce qui me rassure, c’est que ça donne l’impression de reprendre un peu le contrôle. L’école, c’est parfois opaque, là, on a une petite clé.

  109. 15 minutes, c’est tentant. Mais est-ce que ça ne risque pas de transformer le moment des devoirs en une corvée chronométrée ? J’ai peur que ça devienne contre-productif.

  110. Guillaume Bernard

    En tant que parent, j’ai juste envie que mon enfant soit heureux d’aller à l’école. Si cette routine peut éviter des pleurs le dimanche soir, je suis prêt à tenter le coup.

  111. Si l’institutrice a vraiment des astuces pour que mon enfant gagne en confiance, je suis preneur. L’école, ça peut être intimidant quand on est petit.

  112. Ça me rappelle ma propre expérience : j’aurais aimé avoir ça pour mon aîné, ça nous aurait peut-être évité quelques soirées tendues.

  113. J’espère surtout que cette routine ne se substitue pas au plaisir de lire des histoires ensemble. Les évaluations, c’est important, mais les câlins et les livres, c’est essentiel.

  114. Moi, je me demande si cette routine est adaptable. Mon fils a des difficultés d’attention, 15 minutes, c’est déjà long pour lui.

  115. Franchement, ça me fait penser aux pubs pour les régimes miracles. On promet une solution facile, rapide… J’ai du mal à croire que 15 minutes suffisent à tout changer.

  116. Honnêtement, je suis un peu sceptique. J’ai l’impression qu’on met une pression inutile sur les épaules des enfants dès le CP. Laissons-les grandir à leur rythme!

  117. Je me demande si cette routine ne risque pas d’uniformiser l’apprentissage. Chaque enfant est unique, non ? Ce qui marche pour l’un ne fonctionnera peut-être pas pour l’autre.

  118. Moi, ce qui m’inquiète, c’est de voir les parents se transformer en coachs scolaires à domicile. On ne risque pas d’empiéter sur le rôle des enseignants ?

  119. Sébastien Bernard

    Je me demande si l’école ne devrait pas s’inspirer de ces « routines » pour rendre l’apprentissage plus engageant. Peut-être que le problème n’est pas les évaluations, mais la manière dont on ensei…

  120. En tant que parent, je vois surtout une main tendue. Si ça peut désamorcer des tensions, ça vaut peut-être la peine de s’y pencher.

  121. 15 minutes, ça me paraît jouable. Le soir, après le goûter, un petit moment structuré, ça pourrait éviter les devoirs bâclés à la dernière minute.

  122. Alexandre Bernard

    J’espère juste que cette routine n’ajoute pas une couche de culpabilité pour les parents déjà débordés. On fait ce qu’on peut!

  123. Moi, ce qui me rassure, c’est que ça parle de « routine ludique ». Si c’est amusant, mon enfant ne verra pas ça comme une corvée. L’apprentissage par le jeu, ça a toujours été efficace chez nous.

  124. Christophe Bernard

    Je suis partagé. D’un côté, je comprends l’angoisse des parents. De l’autre, j’ai peur que ça transforme l’enfance en course à la performance.

  125. Moi, ça me fait penser à ces recettes de cuisine « express » qui te laissent avec plus de vaisselle que de plat réussi. J’ai peur que ce soit pareil.

  126. Franchement, ça sent le plan marketing bien ficelé. « Sereinement », « ludique »… On nous vend du rêve, mais est-ce que ça marche vraiment pour tous les enfants ? J’ai des doutes.

  127. François Bernard

    Moi, je suis surtout curieux de savoir ce qu’il y a dans ces 15 minutes. Des flashcards ? Des jeux de société adaptés ? Le diable est dans les détails, comme on dit.

  128. Grégoire Bernard

    Les évaluations, ça me rappelle surtout mon propre stress d’enfant. J’espère qu’on ne reproduit pas ça, même avec de bonnes intentions.

  129. Ma fille adore quand je lui raconte des histoires. Je me demande si je pourrais adapter ça pour réviser les notions de base, plutôt que de faire des exercices « scolaires ».

  130. Je me demande si l’intérêt principal n’est pas de rassurer *les parents* plus que de réellement aider *les enfants*. On se focalise trop sur les « évaluations » à cet âge.

  131. Je me demande si ces 15 minutes ne seraient pas mieux utilisées pour lire une histoire ensemble. Créer un souvenir, c’est ça qui compte, non ?

  132. Béatrice Bernard

    15 minutes? Ça me semble court pour vraiment changer quelque chose, mais ça peut peut-être éviter le décrochage si on est attentif aux premiers signes.

  133. Si ça peut éviter les crises de larmes le dimanche soir avant la dictée, je prends ! Je suis prêt à tenter le coup, quitte à ajuster. L’important, c’est que ma fille se sente soutenue, pas oppressée.

  134. Moi, les évaluations, ça me fait penser aux contrôles techniques de ma voiture. Une piqûre de rappel utile, mais pas le but du voyage. L’important, c’est qu’il prenne plaisir à apprendre, le reste suivra.

  135. Moi, j’ai l’impression que l’école c’est l’école, la maison c’est la maison. Mélanger les deux, ça risque juste de créer de la confusion. On a tous besoin de séparer les espaces, non ?

  136. Le titre est alléchant, mais ça sent un peu le « miracle » facile. J’ai peur que ce soit plus culpabilisant qu’autre chose si ça ne fonctionne pas.

    Je préfère me concentrer sur les forces de mon enfant et l’encourager dans ce qu’il aime.

  137. Gabrielle Bernard

    Je suis curieux de voir les détails de cette routine. Si c’est vraiment ludique et court, ça peut être une manière douce de renforcer les apprentissages sans pression.

  138. Franchement, le problème, c’est pas l’évaluation, c’est la pression qu’on met sur nos enfants. 15 minutes ou 1 heure, si l’ambiance est tendue, ça sert à rien.

  139. Je me demande si cette routine n’est pas une façon de normaliser l’anxiété liée à l’école dès le plus jeune âge. L’enfance devrait être une parenthèse joyeuse.

  140. Moi, ça me rappelle surtout mon propre stress d’enfant face aux examens. Je préfère que mon fils garde de bons souvenirs de cette période.

  141. Une routine, ça ressemble trop à une corvée. L’école devrait suffire, non ? Je préfère passer du temps avec mon enfant à faire des choses qu’il choisit.

  142. Je me demande si cette routine pourrait aider à repérer les difficultés de mon enfant plus tôt. Mieux vaut prévenir que guérir, surtout en CP/CE1.

  143. 15 minutes, c’est bien court ! J’espère que ce n’est pas juste du bachotage intensif sur les compétences évaluées. Un apprentissage plus large me semble plus important.

  144. J’espère que cette routine laisse de la place à l’imagination et la créativité. Les bases, c’est essentiel, mais l’étincelle, c’est ce qui compte vraiment.

  145. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que l’apprentissage se résume à préparer des évaluations. On oublie le plaisir de la découverte !

  146. Personnellement, je trouve ça rassurant. L’école a tellement changé, avoir un petit coup de pouce structuré à la maison, ça me donne l’impression de mieux accompagner mon enfant.

  147. Mouais, je me méfie des recettes miracles. Chaque enfant est tellement différent, je doute qu’une seule routine puisse convenir à tous.

  148. Si cette routine marche, tant mieux ! Mais perso, j’ai toujours trouvé que lire une histoire ensemble, c’était bien plus enrichissant et moins « scolaire ».

  149. 15 minutes, ça me semble un bon compromis. L’idée, c’est peut-être de compléter ce que fait l’école, pas de le remplacer. Un petit coup de pouce quotidien, ça peut rassurer.

  150. L’angoisse des évaluations… ça me rappelle surtout les miens ! J’aimerais que mon enfant apprenne sans cette pression constante, juste par curiosité.

  151. Ça sent la méthode Coué pour parents stressés, non ? On nous vend de la sérénité en kit… J’ai plus confiance dans le feeling.

  152. Les évaluations me stressent moins que l’idée de devoir caser encore 15 minutes dans notre journée déjà surchargée. Est-ce vraiment gérable sur le long terme ?

  153. Catherine Bernard

    Je me demande si cette routine prend en compte les enfants qui ont juste besoin de jouer et de se défouler après l’école. L’équilibre est crucial.

  154. Je me demande si cette routine est vraiment pensée pour l’enfant, ou surtout pour rassurer les parents anxieux de leur propre réussite à travers celle de leur enfant. C’est ça, la vraie question.

  155. Je suis partagé. Si ça aide à désacraliser les évaluations et à enlever de la pression à l’enfant, pourquoi pas. Mais je crains que ça ne transforme la maison en extension de l’école.

  156. Franchement, si ça peut éviter les crises de larmes avant les évaluations, je suis preneur. On a testé les révisions « sauvages » la dernière fois, et c’était l’enfer.

  157. Moi, j’aimerais surtout qu’on arrête de parler d’évaluations comme d’un examen d’entrée à Polytechnique. C’est le CP, le CE1! Laissons-les respirer.

  158. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’uniformisation. Chaque enfant est différent, et apprendre, c’est aussi trouver sa propre voie. Une recette miracle, ça me paraît suspect.

  159. Moi, j’espère juste que ça ne deviendra pas une nouvelle injonction à la parentalité parfaite. Déjà qu’on est bombardés d’idées…

  160. Moi, ça me rappelle surtout les devoirs du soir quand j’étais petit. 15 minutes, c’est peut-être court, mais ça peut vite devenir une corvée si c’est mal présenté.

  161. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que 15 minutes puissent faire une différence. C’est presque trop beau pour être vrai. On dirait une pilule magique pour la réussite scolaire.

  162. Pour moi, le plus important c’est que ça vienne de l’instit elle-même. Elle connaît les enfants, leurs besoins. C’est pas un énième gadget marketing.

  163. 15 minutes, ça me paraît un timing réaliste pour ne pas grignoter sur le temps de jeu, essentiel à cet âge.

    L’expérience de l’institutrice est un vrai plus, à condition qu’elle partage réellement des astuces applicables à la maison.

  164. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on anticipe déjà la pression des évaluations dès le CP. Ne pourrait-on pas se concentrer sur le plaisir d’apprendre, tout simplement ?

  165. L’intérêt, c’est surtout de dédramatiser les évaluations, non ? Si ces 15 minutes peuvent aider à ça, c’est déjà une victoire.

  166. Moi, je me demande surtout si cette routine prend en compte les enfants qui ont des troubles d’apprentissage. 15 minutes, c’est peut-être trop long pour certains, et pas assez pour d’autres.

  167. Finalement, ce qui me rassure, c’est que ça parle d’une routine *quotidienne*. L’idée d’un effort régulier et modéré me semble plus saine que des révisions intensives juste avant les évals.

  168. Je me demande si cette routine fonctionne aussi bien pour les enfants qui adorent l’école. On parle toujours de ceux qui ont des difficultés ou de la pression, mais qu’en est-il des autres ?

  169. Franchement, ça me rappelle surtout ma propre angoisse quand j’étais enfant face aux contrôles. J’espère que ça ne retransmet pas ça aux enfants.

  170. Je suis curieux de savoir si cette routine tient compte du rythme propre à chaque enfant. Ma fille a besoin de plus de temps le matin pour se réveiller, je ne sais pas si elle serait réceptive à une activité scolaire avant d’être bien réveillée.

  171. Je suis un peu sceptique. On dirait qu’on transforme le foyer en annexe de l’école. La maison, ça devrait être un espace de liberté, non ?

  172. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le « 15 minutes par jour ». Ça sonne comme une promesse marketing. Est-ce que la vraie vie, avec la fatigue du soir, les imprévus, peut vraiment rentrer dans ce moule ?

  173. Je me demande surtout si ça renforce le lien parent-enfant, au-delà de l’aspect scolaire. C’est peut-être une opportunité de partager un moment privilégié.

  174. Moi, ce qui me frappe, c’est que ça ramène l’éducation à une préparation aux évaluations. On oublie le plaisir d’apprendre pour le plaisir d’apprendre, non ?

  175. Sébastien Dubois

    En tant que parent, je ressens la pression des évaluations. Mais je préfère miser sur l’épanouissement global de mon enfant plutôt qu’une préparation ciblée.

  176. Moi, je me dis que si ça peut éviter les crises de larmes le soir des devoirs, ça vaut peut-être le coup d’essayer. On verra bien si ça marche sur mon petit casse-cou !

  177. Moi, j’y vois surtout un moyen de mieux comprendre ce que mon enfant apprend en classe. Ça permettrait de suivre ses progrès de plus près.

  178. Pour moi, l’intérêt réside surtout dans le gain de temps. Si ça peut éviter des heures d’aide aux devoirs plus tard, je suis preneur !

  179. Christophe Dubois

    Moi, je suis partagé. L’idée est bonne, mais j’espère que ça n’ajoute pas une pression inutile sur les épaules de l’enfant. On a tous été petits…

  180. Je me demande si ces 15 minutes ne seraient pas mieux employées à lire une histoire ensemble. L’imagination, c’est aussi fondamental, non ?

  181. L’idée me semble intéressante, à condition que l’institutrice précise le contenu de cette routine. 15 minutes de quoi exactement ? Sans détails, c’est du vent.

  182. J’ai l’impression qu’on cherche une solution miracle. Chaque enfant est différent, non ? Une routine standardisée me semble un peu réductrice.

  183. Je me demande si cette routine ne risque pas de transformer l’apprentissage en une corvée. Le plaisir de découvrir, c’est important aussi, non ?

  184. Bof, ça sent le truc marketing pour vendre une méthode. J’ai plus confiance en l’instinct et l’adaptation au rythme de mon enfant.

  185. Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant l’évaluation, mais le bien-être de mon enfant. Si ces 15 minutes sont vécues comme un jeu, pourquoi pas ? L’important, c’est qu’il garde le sourire.

  186. Franchement, ça me rappelle les cours de préparation à l’accouchement. On te vend une méthode « zen » et au final, tu paniques quand même le jour J. L’école, c’est pareil, ça se vit.

  187. Moi, j’y vois surtout un moyen de rassurer *les parents*. Si l’enfant est déjà à l’aise, ces 15 minutes risquent d’être superflues.

  188. Moi, ça me rappelle ma propre primaire. J’aurais détesté qu’on m’impose un truc en plus à la maison. Le soir, j’avais juste envie de jouer.

  189. C’est rassurant pour un parent angoissé, c’est sûr. Mais ma fille, elle, adore l’école justement parce que c’est différent de la maison. J’ai peur que ça empiète sur son espace.

  190. Moi, ce genre d’article me met mal à l’aise. On dirait qu’il faut transformer son salon en salle de classe bis. L’école devrait suffire, non ?

  191. Si ça peut éviter à mon gamin de se sentir perdu le jour J, je suis preneur. Après tout, 15 minutes, c’est moins qu’un épisode de Pat’ Patrouille.

  192. Je me demande si ça ne va pas créer une pression inutile et déformer la relation parent-enfant. J’ai peur que mon fils finisse par associer « maman » à « devoirs ».

  193. C’est tentant, oui. Mais j’ai peur de lui mettre la pression pour quelque chose qui, au fond, ne devrait pas être une source d’angoisse.

    Je me demande si ces 15 minutes ne seraient pas mieux utilisées pour lire une histoire ensemble.

  194. 15 minutes ? C’est le temps que je passe à batailler pour qu’il range ses chaussures. Si ça pouvait transformer ce moment en apprentissage… pourquoi pas essayer ?

  195. L’idée d’une routine, ça me parle. Mais 15 minutes, c’est court. J’imagine mal comment aborder sereinement les points faibles sans que ça devienne une micro-corvée.

  196. Je suis sceptique. L’apprentissage, c’est aussi le droit à l’erreur et à la lenteur. Chronométrer ça me semble contre-productif.

  197. L’idée est séduisante, mais je me demande si cette « routine » n’est pas une manière détournée de culpabiliser les parents qui font déjà de leur mieux.

  198. Je me demande surtout ce que cette institutrice vend derrière cette routine miracle. Un livre ? Une formation ? On ne nous dit jamais tout.

  199. Moi, je me dis que si ça permet à l’institutrice d’adapter son enseignement en voyant ce qui coince à la maison, c’est peut-être pas si mal. Une sorte de feedback loop quoi.

  200. Moi, les évaluations, ça me rappelle surtout mes propres angoisses d’enfant. Est-ce qu’on ne projette pas trop nos peurs sur eux ?

  201. Moi, je me demande surtout si c’est vraiment adapté à tous les enfants. Le mien, si on lui impose un truc, même 15 minutes, ça se transforme vite en cauchemar.

  202. Moi, je trouve qu’on oublie souvent le plaisir d’apprendre. Ces évaluations, ça ressemble plus à un contrôle qu’à une découverte. On devrait laisser aux enfants le temps de s’épanouir à leur rythme.

  203. Moi, ce qui m’inquiète, c’est de transformer l’école en une course à la performance dès le CP. C’est tellement tôt pour mettre cette pression.

  204. En tant que parent d’un enfant atypique, je me demande si cette routine ne risque pas d’uniformiser les apprentissages et de laisser de côté ceux qui ont besoin d’une approche différente.

  205. 15 minutes, ça me semble un bon compromis pour éviter la surcharge mentale. Si ça aide mon enfant à gagner en confiance, je suis preneur.

  206. Franchement, si ça peut éviter les crises du soir à cause des devoirs, je veux bien essayer. On verra bien si ça marche sur le long terme.

  207. Moi, je me souviens surtout de l’excitation de mon fils quand il a enfin compris comment lire. C’est ça, le plus important, non ? Pas les évaluations.

  208. L’idée d’une routine courte me plaît, mais est-ce que ça ne risque pas de créer une dépendance ? Mon fils a parfois besoin de plus de temps pour digérer les notions.

  209. Une routine, c’est peut-être bien, mais j’espère qu’elle laisse de la place à l’improvisation et aux découvertes spontanées. L’apprentissage, c’est aussi ça !

  210. Une routine imposée par un tiers, ça peut vite devenir une nouvelle corvée. J’ai peur que ça dénature le lien parent-enfant autour de l’apprentissage.

  211. Cette routine, je l’imagine bien comme un petit sas de décompression après l’école, un moment privilégié pour se reconnecter avec son enfant.

  212. Je suis curieux de connaître le contenu exact de cette routine. 15 minutes, c’est court, j’espère qu’il ne s’agit pas juste de bachoter.

  213. Moi, je me demande si c’est vraiment adapté à tous les enfants, surtout ceux avec des troubles de l’attention. Ça me paraît un peu trop standardisé comme approche.

  214. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de sérénité, mais le mot « évaluation » me stresse déjà pour lui. L’école devrait plus rassurer les enfants !

  215. L’école devrait s’adapter à mon enfant, pas l’inverse. J’espère surtout que cette routine ne va pas le transformer en petit robot.

  216. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça crée une pression supplémentaire sur les parents qui travaillent déjà beaucoup. Trouver 15 minutes chaque jour, c’est pas toujours facile.

  217. Je me demande si ça ne risque pas de déresponsabiliser les enseignants. C’est à eux de donner les bases, pas aux parents de faire le job à la maison.

  218. Si ça peut éviter les pleurs du soir devant les devoirs, je prends. On verra bien si ça marche, mais ça vaut le coup d’essayer.

  219. 15 minutes, ça me semble bien court pour vraiment changer quelque chose. J’ai peur que ça ne fasse qu’effleurer les difficultés, sans les résoudre en profondeur.

  220. Je suis curieux de savoir ce que contient exactement cette routine. Est-ce que c’est vraiment du jeu ou juste des exercices déguisés ?

  221. Moi, je me demande si l’institutrice a pensé aux enfants qui ont juste envie de jouer après l’école. C’est important aussi, non, de décompresser ?

  222. Franchement, je me demande si c’est pas juste un coup de pub déguisé pour l’institutrice. Ça sent un peu le « voici ma méthode miracle » alors que chaque enfant est unique. Bof.

  223. Perso, je trouve ça rassurant qu’une pro propose un truc concret. Ça change des discours généraux sur l’éducation bienveillante, mais qui ne disent pas comment faire.

  224. Moi, je me demande si cette routine est pensée pour les enfants qui ont des difficultés spécifiques. Est-ce que c’est adaptable ?

  225. L’idée d’une routine, ça peut aider à structurer la semaine, c’est vrai. Mais j’ai peur que ça devienne vite une corvée, autant pour l’enfant que pour le parent.

  226. Sébastien Durand

    Moi, ce qui me gêne, c’est la pression implicite sur la réussite. L’école devrait être un lieu d’épanouissement, pas une course à l’échalote.

  227. Je me souviens de mes propres évaluations… Le stress était plus celui de mes parents que le mien. J’espère que cette routine aide les enfants à ne pas ressentir cette anxiété.

  228. Moi, je me souviens surtout de la fierté de mon fils quand il a compris un truc. Si cette routine peut donner ça, c’est déjà gagné. Le reste, les notes, on verra bien.

  229. Christophe Durand

    L’idée est séduisante, mais j’espère que ce n’est pas juste une recette toute faite. Chaque enfant apprend à son rythme, il faut rester flexible.

  230. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de dédramatiser. Si ça peut éviter les scènes de panique à la maison, c’est déjà pas mal. On verra bien si ça marche vraiment.

  231. J’ai l’impression qu’on infantilise un peu trop les enfants en CP et CE1. Les évaluations, ça fait partie de la vie, non ? Autant les préparer à ça plutôt que de chercher à tout prix à les « dédramatiser ».

  232. Moi, j’aimerais surtout savoir si cette routine prend en compte les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. C’est facile de faire des routines pour ceux qui suivent le rythme.

  233. Moi, j’aimerais savoir ce que l’institutrice entend par « ludique ». Est-ce que c’est vraiment adapté à tous les enfants, ou juste ceux qui apprennent facilement en jouant ?

  234. Je me demande si c’est pas un peu tôt pour mettre autant l’accent sur les évaluations. Ils sont si petits ! Est-ce qu’on ne leur vole pas une part de leur enfance ?

  235. 15 minutes, c’est tentant… mais j’ai peur que ça devienne une corvée de plus, et qu’on finisse par abandonner au bout de deux semaines.

  236. Moi, les évaluations, je les voyais surtout comme un outil pour que les profs sachent où en sont les gamins. Si ça peut aussi aider mon enfant à gagner en confiance, tant mieux.

  237. En tant que parent, je cherche surtout à ce que mon enfant aime apprendre. Si cette routine peut l’aider à être plus à l’aise en classe, pourquoi pas.

  238. Je ne suis pas sûr que ce soit la quantité qui compte, mais plutôt la qualité du temps passé avec mon enfant. 15 minutes peuvent être suffisantes si on est pleinement présent.

  239. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que 15 minutes peuvent calmer l’anxiété des parents. C’est surtout ça qu’il faut adresser, je crois.

  240. L’idée d’une routine, ça me parle, mais j’espère que ça ne ressemble pas à une méthode miracle. Chaque enfant est tellement différent !

  241. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça crée une pression supplémentaire à la maison. L’école devrait suffire, non ? Je préfère qu’il joue et se repose après sa journée.

  242. Franchement, j’ai l’impression qu’on infantilise les parents plus qu’on aide les enfants. On nous vend du « sérénité garantie » en 15 minutes, c’est un peu gros, non ?

  243. L’idée d’une routine, oui, mais j’espère que ça laisse de la place à l’imprévu et à ses propres découvertes. L’apprentissage, c’est pas un chemin tout tracé, non ?

  244. Moi, je me demande surtout ce qu’il y a dans ces 15 minutes. Si c’est des exercices barbants, ça risque d’être contre-productif. Le jeu, c’est quand même le meilleur moyen d’apprendre, non ?

  245. Ces évaluations, je m’en fiche un peu, honnêtement. L’important, c’est que mon gamin soit heureux d’aller à l’école.

    Je préfère passer 15 minutes à lire une histoire avec lui qu’à faire des exercices.

  246. Je me demande si cette routine ne risque pas de transformer l’apprentissage en une corvée supplémentaire, alors que l’école devrait rester un lieu d’épanouissement.

  247. Moi, ça me fait penser à ces régimes « minceur express ». On sait bien que ça ne dure pas. J’espère que ce n’est pas la même chose pour l’apprentissage.

  248. Je suis partagé. Si ça permet de rassurer certains parents, tant mieux. Mais l’école, c’est aussi apprendre à gérer le stress des évaluations, non ?

  249. Moi, je me dis que si ça peut donner des idées à ceux qui se sentent dépassés, c’est toujours bon à prendre. On n’est pas tous égaux face à l’accompagnement scolaire.

  250. Je me demande si cette routine ne risque pas de stigmatiser les enfants qui ont plus de difficultés. On risque de les isoler encore plus.

  251. Moi, j’aimerais surtout savoir si cette routine tient compte des spécificités de chaque enfant. Un truc standardisé, ça me fait un peu peur.

  252. J’ai l’impression qu’on met la charrue avant les boeufs. On devrait se concentrer sur les apprentissages fondamentaux tout au long de l’année, pas paniquer à l’approche des évaluations.

  253. L’idée d’une routine, ça me rappelle les entraînements sportifs. C’est la régularité qui paye, pas le sprint final. Peut-être que ça peut aider à structurer l’aide aux devoirs.

  254. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée de « préparer » à l’évaluation comme on prépare un examen. L’école devrait être un terrain de jeu, pas une course d’obstacles.

  255. 15 minutes, ça me paraît presque trop court. J’ai peur que ça survole les choses et que ça ne soit pas assez approfondi pour certains besoins.

  256. Je suis curieux de savoir si cette routine met l’accent sur la compréhension profonde ou juste sur la mémorisation pour réussir les tests. L’apprentissage durable, c’est plus important que les note…

  257. Moi, j’espère juste que cette routine n’ajoute pas une couche de pression supplémentaire à nos soirées déjà bien remplies. Le temps en famille, c’est précieux aussi.

  258. En tant que parent, je me demande si cette routine ne risque pas de déresponsabiliser l’école. C’est à elle de donner les outils, pas à nous de faire le travail à sa place le soir.

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