Cette grand-mère provençale révèle le secret anti-gaspillage des épluchures — méthode ancestrale que les chefs étoilés copient maintenant

Dans nos cuisines modernes, un geste anodin comme jeter des épluchures représente un gaspillage considérable. Pourtant, une sagesse ancestrale, tout droit venue de Provence, nous enseigne à transformer ces « déchets » en ressources précieuses. Cette méthode, longtemps gardée par nos grands-mères, est aujourd’hui redécouverte et même adoptée par des chefs étoilés, prouvant que l’anti-gaspillage peut rimer avec haute gastronomie et économies au quotidien.

Le secret ancestral pour ne plus jamais jeter vos épluchures

Jeter les épluchures de légumes vous frustre ? Vous avez raison de penser que c’est du gaspillage. Une méthode ancestrale, simple et économique, transforme ces prétendus déchets en de véritables trésors culinaires, comme des bouillons riches en saveurs. Découvrez ce secret que nos grands-mères maîtrisaient parfaitement.

Martine Dubois, 72 ans, agricultrice retraitée à Gordes, n’a jamais compris notre manie de tout jeter. « Pour nous, c’était simple : une épluchure, c’était le début d’une soupe, pas la fin d’un légume. Chaque morceau avait sa valeur et son utilité en cuisine. »

La naissance d’une habitude pleine de bon sens

En voyant le gaspillage moderne, Martine a commencé à montrer à ses proches comment elle collectait les épluchures de carottes, d’oignons et de poireaux. Après une simple cuisson lente, le bouillon obtenu a surpris tout le monde par son goût intense. Son geste est vite devenu une habitude partagée dans son entourage.

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Propose une autre astuce d'entretien naturelle et économique pour la maison

La science confirme ce savoir empirique : la peau des légumes concentre une grande partie des nutriments et des composés aromatiques. Une cuisson douce et prolongée dans l’eau permet de les extraire efficacement. Il est cependant conseillé d’utiliser des légumes issus de l’agriculture biologique.

  • Épluchures de carottes pour la douceur.
  • Peaux d’oignons pour la couleur et la profondeur.
  • Tiges de persil et de céleri pour la fraîcheur.
  • Vert de poireau pour le piquant.

Les bénéfices concrets de cette méthode anti-gaspillage

Au-delà du goût, l’impact de cette pratique est multiple. C’est un geste pratique qui réduit le gaspillage alimentaire de près de 15%. Économiquement, cela diminue le coût des courses en valorisant chaque gramme acheté. C’est une solution à la fois saine, écologique et économique pour tous.

Aspect Bénéfice direct
Économique Réduction du budget alimentaire en utilisant 100% du légume.
Écologique Diminution significative des déchets organiques ménagers.
Santé Création de bouillons et assaisonnements naturels, sans additifs.

Aller plus loin que le simple bouillon

Pour varier, ne vous limitez pas au bouillon. Vous pouvez aussi déshydrater les épluchures au four à basse température, puis les mixer pour créer une poudre de légumes maison. C’est un excellent assaisonnement pour vos plats, soupes et vinaigrettes, entièrement naturel et savoureux.

Cette philosophie du « tout se cuisine » n’est plus cantonnée aux cuisines familiales. Elle est devenue un pilier de la gastronomie durable. De nombreux chefs étoilés mettent aujourd’hui en avant des plats créés à partir d’éléments autrefois jetés, inspirant un retour aux sources culinaires.

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Une influence qui dépasse la cuisine

Adopter cette pratique, c’est bien plus que cuisiner. C’est renouer avec un savoir-faire ancien, renforcer les liens intergénérationnels et transformer notre regard sur la nourriture. Ce simple geste influence nos habitudes de consommation bien au-delà de la cuisine, vers un mode de vie plus conscient et durable.

Finalement, valoriser les épluchures est un acte simple aux bénéfices immenses. C’est une porte d’entrée accessible vers une cuisine plus créative et respectueuse de l’environnement. Un héritage de bon sens qui a toutes les chances de s’imposer comme une évidence dans nos cuisines de demain.

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333 réflexions sur “Cette grand-mère provençale révèle le secret anti-gaspillage des épluchures — méthode ancestrale que les chefs étoilés copient maintenant”

  1. Mouais, « secret » et « chefs étoilés », ça me fait toujours un peu sourire. Ma grand-mère faisait ça, oui, mais c’était surtout par nécessité, pas par choix.

  2. Ma grand-mère, elle, en faisait des chips ! Épluchures de pommes de terre frites, un peu de sel, et hop, l’apéro était sauvé. Simple et délicieux.

  3. Je suis curieux de savoir de quelles épluchures on parle exactement. Carotte, oignon, courgette… le goût doit varier énormément ! L’article reste un peu vague.

  4. Franchement, je trouve ça touchant qu’on valorise ces pratiques. Ça me rappelle les odeurs de cuisine de mon enfance, un truc réconfortant.

  5. Je me demande si cette « redécouverte » ne vient pas surtout d’une prise de conscience récente, plus que d’un réel secret provençal. Le marketing joue à fond sur la nostalgie.

  6. Le coup de la grand-mère provençale, ça marche à tous les coups ! Perso, je suis juste content que ça redevienne tendance, même si c’est présenté comme une révélation.

  7. C’est vrai que c’est à la mode, le zéro déchet. Mais au-delà des tendances, c’est surtout du bon sens. J’espère que ça incitera les gens à moins jeter, c’est le principal.

  8. Je me méfie toujours un peu des articles qui idéalisent le passé. On oublie vite la dureté de certaines vies… et le manque de choix qu’avaient nos aïeux.

  9. L’idée est bonne, mais j’espère que ça ne va pas devenir une source de stress supplémentaire pour les gens. Déjà qu’on culpabilise pour tout…

  10. Moi, j’espère surtout que ça ne va pas encourager les gens à utiliser des légumes traités. Le bio devient presque indispensable si on mange les épluchures.

  11. C’est marrant, moi ce qui me frappe, c’est l’aspect culturel. On dirait que c’est plus valorisé si c’est « provençal »… alors que ma grand-mère picarde faisait pareil!

  12. Mouais, « secret », c’est un grand mot. Ma mère a toujours fait revenir les épluchures de carottes à la poêle. C’est bon, c’est tout.

  13. J’avoue, le titre m’a fait sourire. « Secret » ? Ma grand-mère faisait ça pour ne pas mourir de faim, pas pour devenir une star de l’anti-gaspi.

  14. Moi, ça me rappelle les vacances chez ma tante. On se disputait toujours pour grignoter les bouts de légumes qu’elle gardait pour le potager. C’était ça, le vrai « secret ».

  15. C’est vrai que « secret » est exagéré, mais ça me donne envie de rappeler ma grand-mère et de lui demander ses astuces. Je suis sûr qu’elle en a plein d’autres !

  16. Provençal ou pas, l’important c’est surtout de se rappeler qu’on peut faire beaucoup avec peu. C’est une leçon de vie plus qu’une recette.

  17. Je me demande si ce n’est pas une manière déguisée de nous faire culpabiliser de notre confort moderne. On a oublié la valeur des choses, c’est sûr, mais le « secret » me semble un peu moralisateur.

  18. Je suis curieux de savoir quelles épluchures précisément sont concernées. Toutes ne sont pas comestibles, et certaines peuvent même être toxiques.

  19. Le marketing autour de la « grand-mère provençale » me fait toujours tiquer. On dirait qu’on a besoin d’un label régional pour valoriser le bon sens.

  20. Je suis partagé. D’un côté, c’est bien de remettre au goût du jour ces pratiques. De l’autre, je crains que ça devienne une mode éphémère, vidée de son sens profond.

  21. Ça me fait penser aux cours de cuisine de ma fille. Ils leur apprennent à faire du pesto avec les fanes de carottes. C’est moins « secret de grand-mère », plus « cours de cuisine de primaire », mais l’idée est la même.

  22. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée d’une cuisine « ancestrale » qui reviendrait. On dirait qu’avant, on n’avait pas le choix, et que maintenant, c’est un luxe de le faire.

  23. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que ce soit *nouveau*. Ma grand-mère, elle faisait ça parce qu’elle n’avait pas le choix, pas pour être « tendance ».

  24. Bof, « secret », c’est un grand mot. Ma mère mettait toujours les épluchures de légumes au compost. C’est du recyclage, pas de la magie.

  25. Moi, ça me rappelle surtout ma cantine scolaire. On nous servait des soupes « maison » dont je me demande si ce n’était pas ça, le secret.

  26. Moi, je me demande si le goût sera vraiment au rendez-vous. L’idée est bonne, mais j’ai peur d’une soupe aux épluchures fade et triste.

  27. Moi, je me demande quelles épluchures sont vraiment concernées. Celles de pommes de terre germées, par exemple, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée !

  28. Moi, je trouve ça cool si ça peut éviter de jeter bêtement. J’imagine bien une bonne tisane avec des épluchures de pomme, par exemple. Ça réchauffe le coeur, et c’est zéro déchet.

  29. C’est drôle, ça. Ma grand-mère disait toujours que le cochon avait bien besoin de manger aussi. Ça me semble plus proche de ça que d’un « secret ».

  30. Grand-mère provençale ou pas, j’espère surtout qu’il y a un vrai intérêt gustatif, parce que manger des épluchures juste pour le principe, ça ne me motive pas des masses.

  31. Moi, je me demande si cette mode ne va pas nous faire acheter des légumes déjà épluchés, histoire de ne pas avoir à se casser la tête. Un comble !

  32. Secret ou pas, j’espère surtout que ça va motiver les gens à manger plus de légumes entiers, avec la peau quand c’est possible. C’est là qu’il y a le plus de vitamines, souvent !

  33. La Provence, c’est joli, mais ma grand-mère picarde faisait pareil. On filtrait le bouillon de légumes et on gardait les épluchures pour le potager. Circulez, y’a rien de nouveau.

  34. Franchement, le coup du « secret » provençal, je trouve ça un peu fort. Mais si ça peut aider à moins jeter, tant mieux. J’ai surtout envie de savoir quelles recettes les chefs étoilés proposent a…

  35. Moi, ça me rappelle surtout les dimanches chez ma grand-mère. On ne parlait pas d’anti-gaspillage, juste de ne pas gâcher. Un réflexe, pas un « secret ».

  36. Secret ou pas, ça me fait penser à ma grand-tante qui compostait absolument tout. La terre de son jardin était incroyable, c’était peut-être ça, le vrai secret.

  37. C’est vrai que ça me rappelle les bouillons de ma mère, toujours hyper parfumés. Elle mettait tout, même les trognons de chou-fleur. Un délice !

  38. Bof, ça me rappelle surtout qu’on mangeait les fanes de carottes en salade, et que c’était pas toujours une partie de plaisir. L’anti-gaspillage oui, mais faut pas se forcer non plus.

  39. Moi, ce que je retiens, c’est surtout le côté « transmission ». J’aimerais bien apprendre ces astuces de ma grand-mère avant qu’elle ne parte.

  40. Les chefs étoilés qui suivent la tendance, ça me fait sourire. J’espère juste qu’ils ne vont pas nous faire payer le prix fort pour des plats « simples » à base d’épluchures !

  41. L’idée est bonne, mais j’espère que ça ne va pas devenir une excuse pour vendre des légumes moins frais, en nous faisant croire qu’on peut tout utiliser. La qualité à la base, ça compte !

  42. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on présente ça comme une nouveauté. C’est juste revenir au bon sens, non ? Ma grand-mère n’avait pas besoin d’être provençale pour ça.

  43. Le titre est un peu racoleur, mais ça me donne envie de tenter. J’ai toujours eu l’impression de jeter trop de choses. Si ça peut me donner bonne conscience en plus de faire des économies, pourquoi…

  44. L’article me laisse perplexe. Je me demande surtout si le goût est au rendez-vous. Parce que bon, manger des épluchures pour manger des épluchures…

  45. J’ai l’impression que cet article survalorise l’aspect « provençal ». L’anti-gaspillage, c’est universel, non ? Pas besoin d’un label régional pour ça.

  46. Je me demande quelles épluchures sont vraiment concernées. Celles de pommes de terre germées, par exemple, sont toxiques. Un peu de prudence serait bienvenue.

  47. C’est marrant, ça me fait penser à ces reportages sur les gens qui vivent avec presque rien et qui sont hyper créatifs. Peut-être qu’on a perdu cette créativité.

  48. Franchement, ça me rappelle les dimanches soirs chez ma grand-mère. On ne disait pas « anti-gaspillage », juste qu’on ne jetait rien. C’était une autre époque, moins de choix, plus d’ingéniosité.

  49. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on idéalise le passé. Nos grand-mères avaient moins de choix, c’est sûr, mais aussi moins de contraintes sanitaires.

  50. Ma grand-mère faisait ça aussi, mais elle ne l’avait pas appris en Provence, juste avec sa mère. C’est surtout une question de famille, je crois.

  51. Mouais, « secret » provençal, c’est vite dit. Ma mère recyclait les fanes de carottes en pesto. Régionalisme ou pas, le bon sens paysan, ça existe partout.

  52. Je suis curieux de savoir quelles recettes ces chefs étoilés proposent réellement. On parle d’épluchures, mais il faut des idées concrètes !

  53. Moi, ça me parle. J’ai toujours trouvé ça bête de jeter autant. J’ai commencé à faire du bouillon avec les épluchures de légumes, c’est bluffant!

  54. Je suis sceptique. « Chefs étoilés » qui copient une grand-mère, ça sent le marketing plus que la vraie démarche écolo. L’authenticité est souvent instrumentalisée.

  55. L’idée est bonne, mais l’emballage « secret provençal » me fait sourire. C’est vendeur, mais un peu caricatural. On dirait qu’il faut un label pour faire quelque chose de simple.

  56. Je trouve que ça culpabilise un peu. On a déjà tellement de choses à gérer, penser en plus à chaque épluchure… C’est bien si on peut, mais pas facile.

  57. Je me demande si on ne cherche pas à nous vendre une image d’Epinal un peu simpliste. L’anti-gaspillage, c’est plus complexe que « la recette de grand-mère ».

  58. C’est vrai que l’idée est séduisante, mais j’ai peur de me lancer et de gâcher encore plus en ratant les recettes. La peur de mal faire, quoi.

  59. Ça me rappelle ma grand-mère qui compostait tout. Elle disait qu’on rendait à la terre ce qu’elle nous avait donné. C’était une philosophie plus qu’une recette.

  60. Le titre me fait sourire. Ma grand-mère, elle, jetait tout sans état d’âme. Je crois que le « secret » c’est surtout la nécessité, pas un héritage provençal.

  61. C’est cool, mais je suis nul en cuisine. Déjà que je brûle des pâtes… alors réutiliser des épluchures, c’est mission impossible pour moi.

  62. Moi, j’aimerais bien savoir quelles épluchures on peut réellement réutiliser. Carotte, ok, mais ananas ou peau de banane, ça me paraît moins évident…

  63. Moi, ce qui me frappe, c’est l’aspect cyclique de tout ça. Nos modes de consommation reviennent toujours à des pratiques plus simples, un peu comme une vague.

  64. C’est bien beau de parler de Provence, mais les citadins comme moi, on fait comment sans jardin pour composter ? L’idée est bonne, la mise en pratique, moins évidente.

  65. L’idée est bonne sur le papier, mais ça demande du temps. Et soyons honnêtes, entre le boulot et les enfants, le temps, c’est ce qui me manque le plus.

  66. Mouais, les chefs étoilés qui « copient »… On dirait surtout un bon coup marketing pour valoriser des pratiques qu’ils faisaient déjà peut-être un peu avant tout le monde.

  67. Moi, ça me rappelle les bouillons de légumes que ma mère préparait. On ne jetait rien, c’était délicieux et zéro déchet avant l’heure. Nostalgie, quand tu nous tiens…

  68. Jeter les épluchures me culpabilise toujours un peu. Mais je dois avouer, je n’ai jamais vraiment su quoi en faire d’autre qu’un vague bouillon.

  69. Je suis curieux de savoir quelles épluchures sont concernées. Carottes, oui, mais les peaux de melon, par exemple ? J’ai des doutes sur la saveur.

  70. Grand-mère provençale ou pas, l’idée me parle. J’ai toujours pensé que le compost, c’était bien, mais pas assez ambitieux. On peut faire mieux avec nos épluchures.

  71. L’idée est séduisante, mais j’espère qu’ils vont donner des recettes concrètes. J’ai peur que ça finisse en une purée marron sans saveur.

  72. Grand-mère provençale ou pas, ce qui m’intéresse, c’est le côté pratique. J’espère que l’article expliquera clairement comment conserver ces épluchures sans qu’elles ne pourrissent avant d’être utilisées.

  73. Le coup de la grand-mère provençale, ça fait vendre, c’est sûr. Mais au fond, c’est pas surtout une question de bon sens paysan, adaptable partout ? J’espère qu’on ne va pas nous vendre ça comme une mode élitiste.

  74. L’idée est bonne, mais j’espère que l’article ne va pas idéaliser la vie d’avant. On a le droit au confort moderne, non ? L’anti-gaspillage oui, la corvée non.

  75. Moi, ce qui me frappe, c’est le titre. On dirait qu’il faut qu’un chef étoilé valide une pratique ancestrale pour qu’elle soit digne d’intérêt. C’est un peu triste, non ?

  76. Moi, j’aime l’idée de renouer avec des pratiques simples. C’est un peu comme redécouvrir un trésor caché dans son propre jardin. Ça me donne envie de faire plus attention à ce que je jette.

  77. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on présente ça comme une nouveauté. Ma mère a toujours fait des chips de peau de pommes de terre ! C’est bon et ça évite de jeter.

  78. Je suis un peu las de ces articles qui présentent des évidences comme des révélations. L’anti-gaspillage, c’est avant tout une question d’éducation, pas un secret de grand-mère.

  79. Moi, ce qui me rassure, c’est que même les chefs s’y mettent. Ça veut dire qu’on peut manger bien et faire attention à la planète en même temps. C’est pas juste un truc de hippies, quoi.

  80. L’idée est sympa, mais j’ai peur de me retrouver avec un frigo plein de bocaux d’épluchures séchées que je n’utiliserai jamais. Je suis déjà débordé.

  81. Moi, j’y crois. On a oublié la valeur des choses, formatés à consommer et jeter. Revenir à ces pratiques, c’est aussi se reconnecter à une certaine humilité.

  82. C’est sympa de valoriser le « fait maison », mais j’espère que les recettes seront bonnes ! J’ai déjà essayé des bouillons de légumes « maison » qui avaient un goût de flotte.

  83. Moi, ce qui me fait sourire, c’est l’idée qu’on a besoin d’une « méthode ancestrale » pour ça. Ma foi, jeter moins, c’est juste faire gaffe, non? Pas besoin de diplôme de grand-mère provençale.

  84. C’est marrant cette fascination pour la Provence. On dirait que la sagesse ne peut venir que de là ! Moi, je fais ça depuis toujours, sans me prendre pour une star.

  85. Si cette méthode permet de faire des économies, pourquoi pas ! J’aimerais bien avoir des exemples concrets d’utilisation des épluchures, au-delà du compost.

  86. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de renouer avec une forme d’autosuffisance. C’est plus qu’une recette, c’est un état d’esprit.

  87. Je trouve ça touchant qu’on associe la Provence à l’anti-gaspillage. Ça me rappelle les étés chez ma tante, où rien ne se perdait. Un peu de nostalgie, en somme.

  88. Le coup de la grand-mère provençale, ça vend du rêve, c’est sûr. Mais bon, l’anti-gaspillage, c’est surtout une question d’organisation au quotidien, non ?

  89. Je suis toujours partagé face à ce genre d’article. L’intention est bonne, mais j’ai peur que ça devienne une nouvelle injonction à la perfection. Déjà qu’on culpabilise assez…

  90. Franchement, ça me gonfle un peu ces articles qui présentent des évidences comme des révélations. Ma grand-mère, elle, elle jetait tout ce qui était abîmé sans se poser de questions.

  91. L’idée est sympa, mais j’espère que l’article explique bien les précautions à prendre. On ne peut pas réutiliser n’importe quelles épluchures n’importe comment. Gare aux intoxications !

  92. Ça sent bon le marketing, tout ça ! L’anti-gaspillage, c’est essentiel, mais je doute que les chefs étoilés piquent vraiment *toutes* les astuces de nos aïeules.

  93. La « grand-mère provençale », c’est cliché, mais ça marche sur moi. Ça me rappelle les figues séchées au soleil, un goût d’enfance… Si ça peut éviter de jeter, tant mieux.

  94. La Provence, c’est vendeur, c’est sûr. Mais j’espère surtout que cette « méthode ancestrale » est adaptée à nos légumes d’aujourd’hui, traités et transportés.

  95. Ça dépend vraiment des épluchures. Carottes, oui, sans hésiter. Poireaux, ça parfume un bouillon. Mais les épluchures de pommes de terre, ça finit toujours par avoir un goût de terre, non ?

  96. Moi, j’avoue que l’idée de réutiliser les épluchures, ça me fait penser à la soupe de cailloux des contes pour enfants. Est-ce que ce sera aussi magique ?

  97. Moi, je me demande si l’astuce ne consiste pas juste à faire des chips d’épluchures. Ma grand-mère faisait ça, et c’était délicieux !

  98. Je suis curieux de savoir si cette méthode fonctionne vraiment pour tous les types d’épluchures, surtout celles des légumes un peu amers comme les courgettes.

  99. Mouais, les modes passent. On nous parle d’anti-gaspillage, mais c’est surtout du marketing. J’espère que cette « sagesse » ne va pas devenir une corvée de plus.

  100. SportifDuDimanche

    La Provence et les chefs étoilés, ça fait un peu « bling-bling » pour parler d’épluchures, non ? J’espère que le goût suit, parce que l’argumentaire… moyen.

  101. Je suis sceptique. Ma grand-mère faisait ça par nécessité, pas par philosophie. J’espère que ce retour aux sources ne sera pas juste un argument marketing bobo.

  102. Tiens, ça me rappelle les confitures de melon vert de ma tante. Elle ne jetait rien, un vrai trésor de patience. J’espère que cette « méthode » a la même saveur.

  103. ProvincialeHeureuse

    Ma grand-mère, elle, les donnait aux poules. Ça évitait le gaspillage et ça faisait des œufs avec une belle couleur. Simple et efficace.

  104. MécanicienRetraité

    C’est amusant comme on idéalise le passé. Ma grand-mère, elle, jetait un tas de choses !

    J’espère que la recette est simple. Je n’ai pas envie de passer ma journée en cuisine.

  105. InstitutricePassionnée

    J’imagine déjà le prix des légumes qui vont augmenter sous prétexte qu’on utilise tout! Bientôt on paiera l’épluchure au prix du légume entier.

  106. Je suis toujours un peu agacé par cette glorification du passé. On a progressé depuis, quand même ! L’anti-gaspillage, oui, mais pas à n’importe quel prix.

  107. Si ça peut éviter de culpabiliser quand je fais la cuisine, je prends. On verra si c’est aussi révolutionnaire que ça en a l’air.

  108. Je suis curieux de voir ce que cette méthode a de plus qu’un simple bouillon de légumes. Si ça peut ajouter une touche originale à mes plats sans me ruiner, pourquoi pas.

  109. Si ma grand-mère voyait des chefs se pavaner avec ses astuces, elle rigolerait bien ! Le vrai secret, c’était surtout de ne pas avoir le choix.

  110. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les poubelles. Si tout le monde se met à composter, on va payer plus cher la collecte, non ?

  111. Je me demande si c’est vraiment une « méthode » ou juste du bon sens paysan déguisé en tendance. On recycle depuis des lustres, non ?

  112. Guillaume Bernard

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est la promesse d’économies. J’ai l’impression que le temps passé à « valoriser » ces épluchures ne sera jamais rentable.

  113. Je suis intrigué, mais surtout par le côté « chefs étoilés ». J’espère qu’ils ne vont pas transformer un truc simple en une usine à gaz prétentieuse.

  114. Mouais… La « grand-mère provençale », ça sent la recette marketing à plein nez. J’espère juste que ce n’est pas un prétexte pour nous vendre des gadgets hors de prix.

  115. Ça me rappelle surtout les confitures de melon de ma tante. On gardait les écorces. Le vrai luxe, c’était pas le plat, c’était de tout utiliser.

  116. J’espère qu’on ne va pas tomber dans la glorification excessive du passé. Nos aïeux n’avaient pas toujours le choix, c’est tout.

  117. C’est marrant, ça me fait penser aux bouillons de légumes que ma mère faisait. Rien ne se perdait, et ça parfumait toute la maison. Une madeleine de Proust, quoi!

  118. C’est vrai que le titre est accrocheur, mais au fond, on a tous plus ou moins entendu parler de ça. Ma question : est-ce que c’est vraiment meilleur pour la santé que de simplement composter ?

  119. Ça me rappelle mes vacances chez ma grand-mère. Elle faisait infuser les épluchures de pommes pour parfumer l’eau du bain. Un petit luxe simple et parfumé.

  120. Sébastien Bernard

    L’idée est séduisante, mais je me demande si l’énergie et le temps investis valent vraiment le coup par rapport au bénéfice final.

  121. Le côté « provençal » me laisse un peu froid. C’est la tendance actuelle, on dirait. Mais si ça peut aider les gens à moins jeter, tant mieux.

  122. Je me demande si cette « redécouverte » ne vient pas surtout du prix des légumes qui augmente. Forcément, on regarde de plus près ce qu’on jette.

  123. Alexandre Bernard

    Franchement, le côté « chefs étoilés » m’agace un peu. On dirait qu’il faut que ce soit validé par un chef pour être digne d’intérêt. Ma grand-mère le faisait bien avant eux.

  124. Moi, c’est l’odeur de la soupe de légumes qui me revient. Ma grand-mère y mettait tout, même le trognon du chou-fleur. Un goût d’enfance, même si on râlait un peu à l’époque.

  125. Christophe Bernard

    Mouais… Anti-gaspillage, oui, mais faut pas que le goût en pâtisse. J’ai essayé une fois de faire un truc avec des épluchures de carottes, c’était amer et terreux. Expérience non renouvelée.

  126. Le « secret » provençal, c’est surtout du bon sens. On nous prend parfois pour des imbéciles avec ces titres à sensation. Ma grand-mère faisait pareil, et elle n’a jamais mis les pieds en Provence.

  127. François Bernard

    L’idée me plaît, surtout si ça évite d’enrichir encore plus la poubelle. Mais j’espère que l’article donnera des recettes concrètes et faciles à réaliser.

  128. Grégoire Bernard

    Ça dépend vraiment des légumes, non ? Les épluchures de courgettes, ça passe, mais celles de pommes de terre, bof. Texture trop bizarre.

  129. Ça me rappelle les dimanches chez ma tante. On triait les épluchures ensemble pour le compost. Un vrai moment de partage, au-delà de l’anti-gaspillage.

  130. J’espère surtout que cet article évitera de jeter des épluchures potentiellement traitées aux pesticides… Bio obligatoire, sinon je passe mon tour.

  131. Le titre me vend du rêve provençal, mais je me demande surtout si ça prend pas un temps fou pour un gain minime. Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?

  132. Si ça peut me faire économiser quelques euros sur le budget courses, je suis preneur. J’attends de voir si c’est vraiment applicable au quotidien sans devenir une corvée.

  133. Béatrice Bernard

    Si les chefs étoilés s’y mettent, c’est peut-être que ça vaut le coup d’œil. Curieux de voir quelles astuces ils utilisent pour sublimer ces restes.

  134. Moi, j’y vois surtout une façon de renouer avec un rapport plus respectueux à la nourriture. Au-delà des économies, c’est une belle leçon.

  135. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». C’est plus qu’une recette, c’est une philosophie.

  136. Gabrielle Bernard

    C’est marrant comme on redécouvre des trucs que les plus démunis ont toujours faits par nécessité.

    Je me demande si c’est vraiment nouveau ou juste une mode bobo.

  137. On dirait une pub déguisée pour le tourisme en Provence, non ? J’imagine déjà le stage « cuisine zéro déchet » à 500 balles.

  138. Mouais, ça me rappelle surtout les repas de famille interminables où ma tante nous forçait à finir nos assiettes « parce qu’il y a des enfants qui meurent de faim ».

  139. Je me demande surtout si on a vraiment le temps pour ça. Entre le boulot et les enfants, je cours déjà après les minutes. Cuisiner les épluchures, c’est encore une charge mentale en plus, non?

  140. Ça sent bon le marketing, tout ça. Mais si ça peut éviter de jeter la moitié des légumes à la poubelle, pourquoi pas essayer ? Faut juste pas que ça tourne à l’obsession.

  141. Ma grand-mère faisait de la confiture d’épluchures de melon. C’était délicieux. Le problème, c’est le temps de préparation… Vraiment conséquent.

  142. C’est vrai que ça sonne « grand-mère », mais si ça permet de réduire un peu la facture au supermarché, je suis preneur. On verra bien ce que ça donne à la maison.

  143. Je suis plus sensible à l’argument économique qu’à l’écologie pure. Si ça peut alléger le budget courses sans me prendre un temps fou, je suis partant.

  144. Le côté « chefs étoilés » me laisse froid. J’espère juste que ce n’est pas un truc compliqué qui demande des ingrédients introuvables.

  145. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée qu’on glorifie la pauvreté. Transformer les épluchures, c’est bien, mais c’est avant tout une nécessité pour ceux qui n’ont pas les moyens de mieux.

  146. L’idée d’une « méthode ancestrale » me fait sourire. On redécouvre le fil à couper le beurre, quoi. Mais bon, si ça peut inspirer quelques personnes à moins jeter, tant mieux.

  147. Moi, ce qui me titille, c’est l’aspect « provençal ». Est-ce que ça marche seulement avec les légumes du sud, gorgés de soleil ? J’habite en Bretagne, ça marchera avec mes choux ?

  148. J’ai l’impression qu’on cherche à nous vendre une astuce miracle. J’attends de voir la réalité derrière ce « secret » avant de m’emballer.

  149. L’article me fait penser aux recettes de ma propre grand-mère, mais adaptées à notre époque « green ». J’espère que ça ne va pas virer au nouveau dogme culpabilisateur.

  150. Catherine Bernard

    Moi, ça me rappelle surtout l’odeur du bouillon qui mijotait chez ma tante, après le marché. Un peu bizarre au début, mais tellement réconfortant.

  151. C’est marrant, ma grand-mère faisait ça, mais elle ne disait jamais que c’était une « méthode ancestrale ». Juste qu’il ne fallait rien gâcher.

  152. Ma grand-mère, elle, faisait de la confiture avec les peaux d’agrumes. Un délice acidulé qu’on ne trouve plus. C’est peut-être ça, le vrai secret oublié ?

  153. Moi, ce que j’aime, c’est l’idée que nos cuisines redeviennent un peu plus créatives, moins standardisées. On a oublié le plaisir d’inventer avec ce qu’on a sous la main.

  154. L’article m’intéresse, mais j’espère que les recettes seront simples. Pas envie de passer des heures en cuisine pour sauver trois bouts de légumes.

  155. C’est surtout l’histoire de la grand-mère provençale qui me touche. J’imagine sa cuisine pleine de soleil et de bonnes odeurs, un vrai tableau. Plus qu’une recette, c’est un art de vivre.

  156. Jacqueline Bernard

    Mouais, le coup du « secret » et des chefs étoilés, ça me fait toujours un peu sourire. L’anti-gaspillage, c’est du bon sens, pas un truc à breveter.

  157. Si ça peut éviter de jeter bêtement, tant mieux. Mais j’espère qu’on ne va pas nous faire croire que c’est nouveau.

    J’ai toujours pensé que le marc de café, c’était bon pour les plantes.

  158. J’ai hâte de voir ce que cette « méthode ancestrale » a de plus que le composteur que j’ai installé dans mon jardin. J’espère que c’est plus appétissant !

  159. L’idée est séduisante, mais j’ai peur que ça ne demande un temps que je n’ai pas. Déjà faire les courses, c’est une corvée.

  160. Les épluchures, ça me rappelle mon enfance et la soupe de légumes de ma mère. Elle ne jetait rien ! Une madeleine de Proust, cet article.

  161. J’espère que l’article donnera des idées concrètes. Je suis nul en cuisine, mais si c’est facile à faire, je suis preneur ! Marre de jeter bêtement.

  162. Ma grand-mère faisait des chips d’épluchures de pommes de terre. C’était un peu gras, mais tellement bon ! Ça vaut le coup d’essayer avant de tout jeter.

  163. L’idée de la grand-mère provençale, ça fait vendre, c’est sûr. Mais ma grand-mère à moi, elle aurait surtout regardé si c’était nourrissant, pas juste « anti-gaspi ». Le goût avant tout.

  164. Le coup de la grand-mère provençale, ça sent le marketing, mais si ça peut démocratiser des astuces, pourquoi pas. Perso, je suis plus intéressé par les bénéfices pour la santé que par le côté « gastronomie ».

  165. Le titre me fait sourire. Ma grand-mère, elle, mettait tout au potager, nourriture pour les poules et engrais. Plus simple, tu meurs.

  166. Étonnant comme on redécouvre des évidences. C’est surtout une question de bon sens, non ? Le marketing s’emballe pour un truc que les paysans font depuis toujours.

  167. Moi, ce qui me frappe, c’est la perte de savoir-faire. On a délaissé la cuisine au profit du tout-fait et maintenant on s’extasie devant des pratiques ancestrales. C’est triste, non ?

  168. La Provence, les chefs étoilés… ça fait rêver, c’est sûr. Mais moi, je me demande surtout quelles épluchures on peut réellement utiliser sans risque pour la santé.

  169. Bof, ça me rappelle surtout que j’ai la flemme de cuisiner. Trier les épluchures, les transformer… Je préfère encore aller au marché et acheter juste ce qu’il faut.

  170. Moi, ça me rappelle surtout le plaisir de faire participer les enfants à la cuisine. Transformer les épluchures en activité, c’est ça qui est chouette.

  171. Sébastien Dubois

    Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que c’est une « méthode ». Pour moi, c’était juste normal de faire attention à ce qu’on jette, une habitude apprise.

  172. C’est bien joli de parler de Provence et de chefs, mais concrètement, quelles recettes simples on peut faire avec des épluchures de carottes ? Donnez des exemples, quoi !

  173. Je me demande si cette « redécouverte » ne vient pas surtout du porte-monnaie qui se vide. L’écologie, oui, mais la facture qui diminue, ça aide à se motiver !

  174. Christophe Dubois

    Je suis curieux de savoir si ces chefs étoilés paient leurs fournisseurs moins cher en échange des épluchures. Le modèle économique m’intéresse plus que la poésie.

  175. Moi, je me demande si on ne romantise pas un peu la misère d’avant. On réutilisait tout parce qu’on n’avait pas le choix, pas forcément par philosophie.

  176. Franchement, ça me gave un peu ces articles qui idéalisent le passé. On a progressé, non ? J’aime bien mon confort et mes poubelles faciles.

  177. Mouais, l’histoire de la grand-mère provençale, ça fleure bon le marketing, non ? On nous vend du rêve avec un peu de nostalgie.

  178. Moi, ça me parle. On dirait que ça nous reconnecte à un truc instinctif, un respect du produit qu’on a peut-être perdu avec les supermarchés.

  179. Je ne suis pas sûr que ce soit si nouveau. Ma mère a toujours fait des chips avec les peaux de pommes de terre. C’est bon et anti-gaspi, mais pas vraiment un secret de grand-mère.

  180. Perso, l’idée des épluchures, ça me rappelle surtout les corvées de compostage de mon enfance. C’est bien, mais ça sent fort quand même.

  181. L’idée est sympa, mais je crains le côté « mode ». On va avoir des épluchures à 10€ le kilo sous vide dans les épiceries fines.

  182. C’est marrant comme la cuisine de ma grand-mère, je la retrouve partout maintenant. Elle mettait toujours les fanes de carottes dans la soupe. C’était juste normal, pas un truc de chef.

  183. Ça me fait penser aux confitures de peaux d’oranges de ma tante. C’était bon, certes, mais surtout très amer. L’anti-gaspi, oui, mais pas à n’importe quel prix gustatif.

  184. L’article me fait sourire. Ma grand-mère, elle, jetait tout, et sans état d’âme. Elle préférait passer son temps à jouer aux cartes qu’à cuisiner des épluchures !

  185. C’est vrai que ça fait culpabiliser, cette histoire d’épluchures. Mais bon, je suis pas une grand-mère provençale et je suis pas un chef étoilé, juste un mec qui bosse et qui a pas envie de passer sa vie à peler des légumes.

  186. Le coup de la grand-mère provençale, c’est un peu cliché, mais si ça peut éviter de jeter bêtement, tant mieux. J’espère juste qu’on ne va pas se ruiner avec ça.

  187. Si ça peut inspirer les gens à moins jeter, c’est bien. Mais faudra que je trouve des recettes simples. J’ai pas envie de passer des heures en cuisine pour des épluchures.

  188. Franchement, ça me rappelle mon enfance où on était trop pauvres pour jeter quoi que ce soit. C’est plus une nécessité qu’une tendance pour moi.

  189. Les saveurs de l’enfance reviennent souvent par le goût, pas par les leçons de morale. Si ça a du goût, je suis preneur. Sinon, poubelle !

  190. Je me demande surtout si les épluchures gardent leurs nutriments une fois cuisinées. C’est bien de ne pas jeter, mais est-ce que c’est vraiment bon pour la santé ?

  191. Moi, ce qui me frappe, c’est le marketing autour de la pauvreté d’avant. On nous vend le « fait maison » comme un luxe, alors que c’était souvent une contrainte.

  192. On dirait qu’on redécouvre l’eau tiède, non ? Ma mère a toujours fait des bouillons avec les restes. C’est bon, économique, et ça évite le gâchis. Simple, quoi.

  193. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée qu’il faille un label « provençal » ou « étoilé » pour valider une pratique de bon sens. On a besoin d’une approbation extérieure pour agir logiquement ?

  194. Moi, ce qui me titille, c’est le mot « secret ». Ma grand-mère n’avait pas de secrets, juste du bon sens paysan. C’est pas un mystère, c’est la vie, quoi.

  195. L’idée est sympa, mais j’espère que les chefs étoilés ne vont pas vendre ça trois fois le prix sous prétexte que c’est « réinventé ».

  196. L’idée de « secret » provençal me fait sourire. Ma grand-mère bretonne faisait la même chose ! L’important, c’est de transmettre ces astuces, peu importe d’où elles viennent.

  197. Franchement, tant mieux si les chefs s’y mettent. Ça obligera peut-être les supermarchés à mieux nous informer sur l’origine des légumes.

  198. C’est marrant, ça me fait penser à la fois où j’ai essayé de faire des chips d’épluchures de pommes de terre. Catastrophe culinaire, mais au moins j’ai essayé !

  199. Je suis partagé. C’est bien de valoriser l’anti-gaspillage, mais j’ai peur que ça devienne une mode éphémère, comme le pain fait maison pendant le confinement.

  200. L’idée est séduisante, mais est-ce vraiment nouveau ? Ma mère a toujours fait revenir les queues de brocolis à la poêle, c’est délicieux et anti-gaspi depuis toujours !

  201. « Secret provençal », vraiment ? Je me demande surtout si ce n’est pas une manière de culpabiliser les gens qui n’ont pas le temps de faire ça.

  202. L’idée est bonne, mais j’espère surtout que ça ne va pas complexifier davantage nos vies déjà bien chargées. Trouver du temps pour éplucher, c’est déjà un défi !

  203. Ça me fait penser que c’est souvent ce qui est simple qui est le meilleur. J’imagine bien une bonne tisane d’épluchures de carottes un soir d’hiver !

  204. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée du « secret ». Ma grand-mère faisait ça sans se poser de questions, c’était juste normal.

  205. Jacqueline Dubois

    Je trouve intéressant que l’article parle des chefs étoilés. Ça donne une légitimité à cette pratique et ça peut inciter plus de monde à essayer, même si c’est juste par curiosité.

  206. Mouais, c’est joli sur le papier, mais perso, je préfère acheter moins de légumes et des légumes de meilleure qualité. Ça revient au même, non ?

  207. La Provence, les chefs étoilés… On nous vend du rêve. Mais concrètement, quelles épluchures sont vraiment bonnes à manger ? Ça mériterait d’être précisé, non ?

  208. Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est le goût. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de se forcer à manger des épluchures juste pour le principe ? La saveur doit être au rendez-vous quand même.

  209. C’est marrant, ça me rappelle les restes de repas que ma grand-mère transformait en un truc délicieux le lendemain. Pas de gaspillage, juste de l’ingéniosité.

  210. Je trouve ça cool que ça revienne à la mode. Perso, j’ai commencé à faire des chips de peaux de pommes il y a quelques années, et c’est devenu un de mes snacks préférés !

  211. C’est surtout une question de temps, non ? Entre le tri, le nettoyage, la transformation… Est-ce que j’ai vraiment envie de ça après une longue journée de boulot ?

  212. « Secret » c’est un grand mot. Ma grand-mère aussi faisait ça, mais c’était surtout par nécessité après la guerre.

    On dirait qu’on redécouvre l’eau tiède.

  213. Les épluchures en cuisine, c’est comme les radis : on mange les fanes aussi. Ma grand-mère n’était pas provençale, mais elle ne jetait rien non plus.

  214. « Méthode ancestrale », « secrets »… On dirait qu’on cherche à enjoliver quelque chose de très simple. Ma grand-mère faisait ça, oui, mais par besoin, pas par philosophie.

  215. Moi, je me demande surtout si on a vraiment besoin de « secrets » pour ça. Un peu de bon sens et l’envie de moins jeter, ça suffit, non ?

  216. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « grand-mère ». Comme si la modernité nous avait fait oublier des choses évidentes sur le respect de la nourriture. Triste constat, non ?

  217. Moi, j’y vois surtout une façon de se reconnecter avec des valeurs simples, dans un monde qui va trop vite. Ça a un côté réconfortant, non ?

  218. Moi, ce qui me dérange, c’est cette idée que c’est nouveau. Ma mère, elle, réutilisait les épluchures pour faire du bouillon. C’est juste de la cuisine de famille, non ?

  219. Je suis plus intrigué par l’adoption par les chefs étoilés. Qu’est-ce qu’ils font concrètement avec ces épluchures pour justifier un tel engouement ? Simple curiosité.

  220. Sébastien Durand

    Moi, je me demande si ces « secrets » ne sont pas surtout liés à une époque où l’on n’avait pas le choix. On faisait avec ce qu’on avait, point. C’était pas une philosophie, c’était la vie.

  221. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’idée que cette pratique revienne à la mode. Est-ce un vrai mouvement de fond ou juste un effet de mode passager ? J’espère que ça durera.

  222. L’idée de « secret » me semble exagérée. Perso, je donne mes épluchures aux poules. Elles adorent et ça évite de les jeter. C’est tout.

  223. « Secret anti-gaspillage », ça me fait penser aux pubs pour maigrir. On nous vend la lune, alors que c’est juste cuisiner intelligemment.

  224. Moi, ce qui me gêne, c’est le côté « Provence ». Comme si l’anti-gaspillage était une exclusivité régionale. Ma grand-mère bretonne faisait pareil, et elle n’avait pas besoin d’une appellation co…

  225. Christophe Durand

    Je me demande si l’accent mis sur les chefs étoilés ne risque pas de décourager les gens. On a l’impression que c’est compliqué alors que c’est juste… logique !

  226. Je trouve ça chouette de mettre en avant ces pratiques, même si le côté « secret » est un peu surfait. Ça peut donner des idées à ceux qui n’y pensent pas.

  227. Je suis plus intéressé par le bénéfice concret. Quel type d’épluchures et pour quel usage ? Carotte, ok, mais peau de banane ? Là, ça devient tout de suite moins clair.

  228. Bof. On dirait un article sponsorisé par les offices de tourisme provençaux. On nous vend du rêve, mais au final, on n’apprend rien.

  229. Franchement, le coup des chefs étoilés, ça dédramatise le truc. Ça montre que même les pros peuvent s’y mettre, pas juste les mamies à la campagne.

  230. L’idée est bonne, mais j’aurais préféré qu’on parle des grands-mères *en général* plutôt que de focaliser sur la Provence. Ça sonne un peu trop marketing à mon goût.

  231. Moi, c’est le mot « secret » qui me chiffonne. On dirait qu’on a inventé l’eau chaude. Ma grand-mère faisait ça, c’était juste du bon sens paysan, pas un truc à breveter !

  232. Le terme « grand-mère provençale » me fait sourire. La mienne, elle était picarde et faisait la même chose. C’est juste de la débrouille, peu importe d’où elle vient !

  233. Moi, j’aime bien l’idée que ces pratiques reviennent au goût du jour. On a tellement oublié le lien entre ce qu’on jette et ce qu’on pourrait manger. C’est un rappel bienvenu.

  234. Je m’interroge. Est-ce que l’article aborde les risques sanitaires liés à la réutilisation de certaines épluchures ? La sécurité alimentaire, c’est primordial !

  235. J’espère surtout que l’article donne des recettes simples. L’anti-gaspillage, c’est bien, mais si c’est compliqué, je laisse tomber.

  236. C’est marrant, ça me rappelle mon enfance. Ma mère faisait des chips avec les épluchures de pommes de terre, saupoudrées de paprika. Un délice !

  237. Je suis curieux de voir ce que ces chefs font concrètement. J’imagine bien des veloutés ou des bouillons, mais j’espère qu’ils vont plus loin que ça.

  238. C’est vrai qu’on a tendance à zapper ces pratiques. Espérons que l’article donne des idées vraiment originales et faciles à mettre en oeuvre au quotidien.

  239. Mouais, l’article me laisse un peu froid. J’espère que ce n’est pas juste un effet de mode passager. On verra si ça dure plus d’un mois.

  240. J’espère que l’article ne va pas glorifier l’idée que les grand-mères avaient *toujours* raison. C’était souvent une nécessité économique, pas un choix philosophique !

  241. L’emphase sur la Provence me semble un peu excessive. L’anti-gaspillage, c’est surtout ne pas avoir les moyens de faire autrement, non ? C’est universel.

  242. « Chefs étoilés » et « anti-gaspillage » dans la même phrase, ça me laisse dubitatif. J’ai du mal à imaginer des plats sophistiqués à partir d’épluchures. Ça sent un peu le greenwashing.

  243. Grand-mère, Provence, chefs étoilés… Ça sent bon le storytelling, tout ça ! Mais au-delà du côté pittoresque, si ça peut inciter à moins jeter, tant mieux.

  244. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’idée qu’il faille attendre les chefs étoilés pour valoriser un truc que nos aïeules faisaient déjà. On dirait qu’on a besoin d’une validation « haut de gamme » pour se sentir légitime à faire attention.

  245. Moi, ça me fait penser à ma voisine, Madame Girard. Elle a toujours un potager magnifique et ne jette jamais rien. C’est elle, la vraie cheffe étoilée !

  246. Moi, j’ai toujours pensé qu’un bon bouillon de légumes, c’est la base. Ma grand-mère y mettait tout, même les trognons de chou-fleur ! Ça parfume divinement les soupes.

  247. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée de redécouverte. Ma mère a toujours composté, et ça, c’est encore mieux que jeter dans la poubelle classique, non ? Simple et efficace.

  248. Le titre est accrocheur, c’est sûr. Mais j’ai peur que ça crée plus de travail qu’autre chose. Déjà que je cours après le temps…

  249. Franchement, le « secret » c’est surtout qu’on a oublié de faire attention, non ? Ma mère râlait toujours quand je gaspillais… Maintenant, je comprends mieux.

  250. Moi, je me demande si le goût est vraiment au rendez-vous. L’idée est bonne, mais je n’ai pas envie de manger quelque chose de fade ou amer juste pour éviter de jeter.

  251. Je suis intrigué. Est-ce que cette méthode change vraiment le goût des plats ? J’aimerais bien voir des recettes concrètes et faciles à réaliser avant de me lancer.

  252. Le côté « secret » me fait sourire. C’est surtout une question de bon sens qu’on a perdu avec les supermarchés plein à craquer.

  253. Mouais, « secret » c’est un peu fort. Mais si ça peut inspirer les gens à moins jeter, tant mieux. Le problème, c’est surtout qu’on achète trop, non ?

  254. Provence, chefs étoilés… Ça sent le marketing tout ça. J’espère juste que cette mode ne va pas faire grimper le prix des légumes moches.

  255. Ma grand-mère faisait frire les épluchures de pommes de terre avec des herbes. C’était notre « chips » maison, bien avant que ça devienne tendance. Un souvenir d’enfance délicieux.

  256. « Secret provençal », ça me rappelle surtout les vacances chez ma tante et ses confitures improbables. J’espère que cette tendance ne va pas transformer le plaisir de cuisiner en corvée culpabilisante.

  257. Grand-mère provençale ou pas, l’idée de valoriser les épluchures est séduisante. J’espère juste que ça ne va pas devenir une nouvelle injonction au « zéro déchet » culpabilisante.

  258. Moi, ce qui me frappe, c’est la résilience de ces pratiques. On dirait qu’on redécouvre ce que nos ancêtres savaient instinctivement pour survivre. C’est touchant.

  259. Grand-mère provençale, chefs étoilés… Moi, je pense surtout à la planète. Chaque petit geste compte, même si c’est pas glamour.

  260. Jacqueline Durand

    Moi, ça me parle surtout de transmission. On a tellement déconnecté la cuisine de la nature qu’on en oublie les bases. C’est un retour aux sources, non ?

  261. L’idée est bonne, mais l’expression « méthode ancestrale » me fait toujours un peu tiquer. On a l’impression que c’est plus compliqué que ça ne l’est vraiment.

  262. Les épluchures en bouillon, oui, ça me rappelle ma mère. Mais honnêtement, je n’ai jamais trouvé ça particulièrement bon. Peut-être qu’elle ne maîtrisait pas le « secret » provençal ?

  263. Moi, je me demande surtout quelles épluchures sont concernées. Carottes et pommes de terre, d’accord, mais quid des courgettes ou des oignons ? Le goût doit varier énormément !

  264. Mouais, le « secret » me fait sourire. Ma grand-mère, elle, donnait les épluchures aux poules. C’était ça, son anti-gaspillage. Simple et efficace.

  265. C’est marrant, ma grand-mère, elle, les compostait. C’était son truc, et son jardin était magnifique. On mangeait des légumes incroyables.

  266. Ça me fait penser aux dimanches chez ma tante. Elle râlait toujours contre le prix des légumes, alors elle recyclait tout, même les feuilles de radis !

  267. C’est vrai que ça a du sens. Le truc, c’est le temps : j’ai déjà du mal à faire les courses, alors transformer mes épluchures…

  268. Grand-mère et chefs étoilés, ça fait un beau contraste ! Perso, je suis plus sensible à l’argument du porte-monnaie qu’à la tendance. Si je peux économiser, je teste.

  269. L’idée est séduisante, mais j’ai peur que ça finisse comme mes tentatives de pain maison : une belle intention qui s’essouffle vite.

  270. « Secret » ou pas, c’est surtout une question de bon sens. J’espère juste qu’ils donneront des recettes concrètes. J’en ai marre des articles qui promettent monts et merveilles sans expliquer comment faire.

  271. « Méthode ancestrale », « chefs étoilés »… Ça sent le marketing, tout ça. J’espère qu’au-delà du buzz, il y a une vraie démarche écologique derrière.

  272. Ma madeleine de Proust à moi, c’est l’odeur du bouillon de légumes fait avec les restes. Ça sentait l’hiver et le réconfort. J’espère que l’article ravivera ce genre de souvenirs plus que de créer une nouvelle lubie bobo.

  273. Moi, j’espère que ça ne va pas devenir une corvée de plus. Déjà qu’il faut trier, bientôt faudra faire bac +5 en recyclage alimentaire.

  274. Si ça peut éviter de culpabiliser à chaque fois que j’épluche une carotte, je suis preneur. J’attends de voir si c’est vraiment facile à mettre en œuvre.

  275. Je me demande quelles épluchures sont vraiment concernées. On parle toujours des carottes et des patates, mais quid des courgettes amères ou des peaux de melon traitées ?

  276. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la texture. J’ai déjà essayé de faire des chips d’épluchures… Disons que mon chien les a appréciées.

  277. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de renouer avec quelque chose de simple. On dirait qu’on a oublié que nos aïeux n’avaient pas le choix.

  278. Je me demande si ma grand-mère, elle, approuverait. Elle était provençale, mais surtout pragmatique. Si c’était vraiment bon, elle l’aurait fait, non ?

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