La déception d’une récolte de framboises qui s’amenuise chaque année est une frustration commune. Pourtant, la solution pour garantir l’abondance future est un geste simple, souvent oublié : une taille ciblée des framboisiers dès le mois de septembre, une méthode simple mais décisive.
Jean-Pierre Dubois, 68 ans, horticulteur retraité en Dordogne, l’affirme : « On oublie que la plante prépare déjà l’année suivante. Ne pas l’aider à ce moment-là, c’est s’assurer d’un résultat médiocre. La nature a besoin d’un coup de main pour donner le meilleur. »
Ses propres rendements baissaient jusqu’à ce qu’il relise les carnets de son grand-père. Après un test sur une seule rangée, la différence de production l’été suivant fut saisissante. Depuis, cette taille automnale est devenue un rituel incontournable pour assurer la générosité de ses plants.
Le mécanisme est logique. En ôtant les cannes ayant déjà produit, on aère le pied et on dirige la sève vers les jeunes pousses de l’année. Mieux nourries et exposées à la lumière, elles prépareront bien mieux les bourgeons à fruits de la saison suivante.
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Aborde également une inspection régulière pour éviter des problèmes coûteux, comme la taille des framboisiers
Les bénéfices sont multiples. C’est un gain de temps qui prévient les maladies. Économiquement, la récolte peut doubler sans frais supplémentaires. Pour la santé du plant, une meilleure aération réduit le besoin de traitements et renforce sa vigueur générale pour affronter l’hiver.
La méthode s’adapte. Sur les variétés remontantes, on ne coupe que la pointe des tiges ayant fructifié à l’automne. Il est aussi conseillé de ne garder qu’une dizaine de cannes robustes par mètre et de les attacher pour optimiser leur exposition au soleil.
Ce principe de nettoyage préparatoire va au-delà des framboisiers. Il s’inscrit dans une approche plus globale du jardinage, valorisant l’observation des cycles naturels. On le retrouve pour les groseilliers ou les mûriers, assurant ainsi la pérennité et la productivité de tout le jardin fruitier.
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Présente une astuce simple et rapide pour économiser, similaire à la taille des framboisiers
Ce geste simple transforme notre approche du jardin. Il favorise une vision proactive et incarne la transmission d’un savoir-faire précieux. Sur le long terme, l’objectif n’est pas que le rendement mais bien la résilience et la santé de l’écosystème du verger.
Finalement, la taille de septembre est une action simple à l’effet puissant. N’hésitez pas à l’adopter pour redonner de la vigueur à vos plantations. C’est en renouant avec ces gestes de bon sens que nos jardins deviendront plus productifs et durables.
Mouais… Mon grand-père jurait que la lune avait plus d’influence que septembre. Peut-être que l’amour qu’on leur donne compte plus que le calendrier.
Franchement, septembre, octobre… tant que les tiges qui ont donné des fruits sont coupées, ça me semble l’essentiel. J’ai toujours fait ça à l’automne, et mes framboises se portent bien.
C’est marrant, moi j’ai toujours entendu dire qu’il fallait attendre la fin de l’hiver pour tailler. J’ai peur de faire une bêtise en septembre!
Septembre, je n’y aurais jamais pensé ! Chez moi, la nature est tellement en dormance à ce moment-là… J’ai l’impression que les framboisiers seraient stressés.
Intéressant ! Je me demande si ce conseil s’applique à toutes les variétés de framboisiers. J’ai des remontantes et des non-remontantes, ça changerait peut-être la donne.
« Deux fois moins de fruits » ? Ça fait un peu peur dit comme ça ! J’ai toujours taillé au pif, quand ça me prend. Peut-être que M. Dubois a raison, va falloir que je m’y penche sérieusement cette année.
Franchement, le coup du « deux fois moins de fruits », ça me rappelle les pubs pour les engrais. J’ai l’impression qu’on dramatise un peu pour nous vendre une méthode miracle.
Deux fois moins, c’est peut-être vrai… mais pour moi, le plaisir de manger mes quelques framboises vaut plus que la course à la productivité.
J’avoue que je ne suis pas très assidu avec mes framboisiers… Si une taille en septembre peut m’éviter de me battre avec les ronces l’été suivant, je suis prêt à essayer !
Je suis plus du genre à observer la nature faire, sans trop intervenir. Si mes framboises décident de moins donner, c’est peut-être qu’elles ont une bonne raison.
Ma mère a toujours dit que les anciens avaient un truc. Si un pro retraité le dit, je vais peut-être m’y mettre. On verra bien!
J’aime bien l’idée de renouer avec des pratiques ancestrales. On a parfois tendance à oublier le savoir-faire de nos aînés, à tort. Je vais peut-être essayer sur une petite partie de mes framboisiers, juste pour voir.
Je ne suis pas sûr que ce soit aussi simple. Mes framboises donnent bien une année sur deux, c’est peut-être juste ça, la nature.
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « transmission ». On dirait qu’on a perdu un lien avec nos jardins. C’est plus qu’une technique, c’est un héritage.
Moi, je me demande surtout pourquoi septembre ? Est-ce une question de lune, de température ? Le timing me paraît curieux.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée que la taille soit une forme de respect envers la plante. On prend soin d’elle, elle nous le rend. C’est plus qu’une simple technique de jardinage.
Je me demande si la variété du framboisier joue un rôle. J’ai cru comprendre qu’il y en a des remontantes et non remontantes. La taille de septembre s’appliquerait peut-être plus aux secondes.
Ça me fait penser au potager de mon grand-père. Il avait ses petites manies et ça marchait du tonnerre. Peut-être qu’il y a du vrai là-dedans, au-delà de la science.
Moi, les framboises, c’est surtout une madeleine de Proust. L’odeur me rappelle les confitures de ma grand-mère. Si j’en ai moins, c’est triste, mais tant pis, je garde le souvenir.
Je suis plus du genre à me fier aux conseils des professionnels modernes. Les méthodes ont évolué, non ? On a peut-être trouvé mieux depuis.
C’est marrant cette nostalgie du « c’était mieux avant ». Moi, le jardin, c’est pour la beauté, pas pour une course à la productivité. Si les framboises sont moins nombreuses, tant pis, il y aura autre chose.
Je suis dubitatif. Mon voisin, un vrai passionné, les taille en février et il a une récolte incroyable. L’époque doit moins compter que la méthode, non ?
J’ai toujours fait confiance à mon instinct pour le jardin. Si les framboisiers ont besoin d’un coup de pouce en septembre, je le sentirai. Pas besoin d’ordonnance d’un ancien horticulteur.
C’est vrai que j’ai tendance à tout faire au printemps, par habitude. Peut-être qu’essayer cette année ne coûte rien. Après tout, la Dordogne, c’est pas si loin de chez moi…
Franchement, j’ai toujours pensé que les framboisiers, ça poussait tout seul. Si ça donne pas, tant pis, c’est pas le plus important.
Intéressant… mais j’ai peur de me lancer. J’ai déjà tellement de mal à tailler ma vigne correctement, je ne veux pas faire de dégâts sur mes framboisiers !
Septembre ? Jamais entendu parler. J’ai toujours taillé en fin d’hiver, avant le redémarrage. Ça me semble plus logique pour la sève.
J’ai toujours cru que la taille des framboisiers était un mystère impénétrable. Septembre, février, printemps… je suis complètement perdu ! Le résultat, c’est que je ne taille jamais.
Tiens, septembre… Ça me rappelle les rentrées des classes. Peut-être que tailler les framboisiers à ce moment-là, c’est un peu comme préparer la prochaine année scolaire pour eux ? Une bonne base pour bien grandir ensuite.
Septembre, vraiment ? J’ai tellement de mal à trouver le temps après les vacances… Encore une tâche à ajouter à la liste.
Deux fois moins de fruits ? Aïe. Ça pique. Moi qui comptais justement faire de la confiture pour Noël… Va falloir que je me penche sérieusement sur cette histoire de taille en septembre.
Framboises en berne ? J’avoue, ça me concerne. Mais septembre, c’est le retour au travail, la reprise des activités… le jardin attendra. On verra bien ce que ça donne.
Septembre pour les framboises? C’est l’époque des conserves et des confitures, pas de la taille ! J’ai toujours eu l’impression que c’était les feuilles qui nourrissaient les fruits l’année suivante.
Framboises en septembre ? Ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours : « La nature, ça se respecte et ça s’écoute. » Peut-être qu’elle avait raison, finalement.
J’ai surtout l’impression que nos anciens avaient le temps… et nous, on a surtout l’impression d’en manquer !
Le coup de la taille en septembre, ça me fait penser à tous ces trucs de jardinage qu’on finit par oublier. J’avais ça en tête, mais… la vie a repris le dessus.
Septembre, franchement ? On nous parle toujours de ralentir à cette période, et là, faut encore s’activer au jardin ? J’ai juste envie de profiter des dernières belles journées.
Framboises en septembre, ça sent le vécu. Mon voisin, lui, les taille en novembre, et il en a plein. Peut-être que ça dépend de la variété ?
C’est marrant, moi j’ai toujours entendu dire qu’il fallait les tailler après la fructification, peu importe le mois. On nous vendrait pas une nouvelle « vérité » pour nous faire culpabiliser ?
Septembre, c’est le mois où je récolte les dernières framboises remontantes. Tailler déjà ? Ça me semble prématuré, comme couper l’herbe sous le pied des derniers fruits.
« Deux fois moins de fruits », c’est peut-être un peu alarmiste, non ? Je pense que la santé générale de la plante joue aussi.
Moi, les framboisiers, c’est surtout une affaire de patience. J’ai planté les miens il y a trois ans, et chaque année, c’est un peu mieux. La taille, j’y pense, mais sans me stresser.
Moi, ce que je retiens surtout, c’est le témoignage de l’horticulteur. L’expérience, ça compte quand même.
Tailler en septembre, ça me paraît logique pour les variétés non remontantes. Mais j’ai des remontantes, alors je taille en hiver, comme pour mes vignes. Chacun sa méthode !
Moi, j’ai toujours taillé au pif, quand ça me prend. Mes framboises s’en sortent très bien, merci pour elles. L’important, c’est surtout d’aimer son jardin, non ?
Mouais, encore un article culpabilisant sur le jardinage ! J’ai l’impression qu’on est jamais à la hauteur…
Tiens, intéressant. Moi, je les taille au printemps, un peu au hasard, et j’ai toujours eu des framboises… Peut-être que je pourrais faire mieux, mais bon.
J’ai toujours pensé que la nature avait son propre rythme. Cette idée de tailler à une date précise me paraît un peu rigide. Je préfère observer mes plants et agir selon leur état.
La Dordogne en septembre, ça sent déjà l’automne… et la confiture de framboises fanées. Peut-être que Jean-Pierre a raison. J’essaierai cette année, on verra bien.
Les framboises, c’est comme les souvenirs d’enfance : on les idéalise toujours. Peut-être que Jean-Pierre a raison, mais je me demande si le plaisir de les manger ne compte pas plus que la quantité.
Septembre, la taille… C’est noté. Mais entre la rentrée et les courges à rentrer, on a le temps de penser aux framboises ? J’espère que le gain vaut l’effort.
Deux fois moins de fruits ? Ça fait réfléchir. Je me demande si la variété de framboisiers joue aussi un rôle.
C’est marrant, moi j’ai jamais taillé mes framboisiers, et j’en ai toujours eu assez pour faire de la confiture. Peut-être que je suis un chanceux.
Framboises ou pas framboises, septembre c’est déjà assez déprimant comme ça. Je crois que je vais me contenter de celles que j’ai.
Tailler en septembre, c’est anticiper l’été prochain… Un peu comme ranger les affaires de plage quand il fait encore beau, ça fait bizarre. Mais si ça marche, pourquoi pas ?
J’ai toujours associé septembre à la cueillette, pas à la taille. On dirait qu’il faut changer ses habitudes. J’espère juste que ce n’est pas trop technique, je suis plutôt du genre à faire ça …
Moi, la taille, ça me fait penser aux cheveux : on coupe pour que ça repousse plus fort. Peut-être que c’est pareil pour les framboises ?
Si Jean-Pierre le dit, ça doit être vrai… mais ma grand-mère, elle, attendait la fin de l’automne. Qui croire?
Je me demande si cette taille de septembre ne perturbe pas le cycle naturel de la plante. J’ai toujours eu peur de trop intervenir.
J’ai toujours pensé que la nature savait ce qu’elle faisait. Forcer la taille en septembre, ça me paraît un peu brusquer les choses.
C’est fou, j’ai toujours laissé faire la nature et mes framboises se débrouillaient bien. Peut-être que cette année, je vais tenter cette fameuse taille de septembre, juste sur un pied, pour voir la différence.
Intéressant ! Moi, j’avais surtout remarqué que mes framboises étaient moins bonnes au fil des ans, moins sucrées. Peut-être que la taille joue aussi sur le goût ?
Septembre, la taille des framboisiers… Ça sent la fin de l’été, le besoin de remettre de l’ordre. J’aime bien l’idée que nos petits gestes d’aujourd’hui influencent la future récolte, ça donne un sens.
Deux fois moins de framboises, ça fait réfléchir ! J’ai un voisin qui a des ronces envahissantes, plus des framboises… Peut-être qu’il devrait tailler, lui !
Framboises moins nombreuses… et pleines de vers! Je me demande si la taille de septembre peut aussi aider à limiter ça. C’est ça le vrai problème chez moi.
J’ai toujours taillé au printemps, un peu au hasard. L’idée de le faire en septembre me paraît logique, en y réfléchissant : la plante se concentre sur la préparation de la prochaine saison.
Framboises, c’est toute mon enfance. Chez moi, on ne taillaient jamais et pourtant, on croulait sous les fruits. L’emplacement doit jouer beaucoup, non ?
Tailler en septembre, c’est un peu comme ranger sa maison avant les fêtes, anticiper la joie future. J’imagine bien le geste précis, un peu mélancolique.
La taille en septembre, ça me rappelle les conseils de ma grand-mère. Simple et efficace, elle disait. On verra si ça marche aussi bien qu’avant.
Framboises divisées par deux, franchement, ça me paraît exagéré comme affirmation. J’ai l’impression qu’on dramatise un peu.
Si on taille en septembre, on fait quoi des gourmands qui sortent encore ? On les sacrifie ?
La taille, c’est tout un art ! J’espère que l’article va détailler la technique, sinon, c’est un peu inutile.
J’ai arrêté les framboises. Trop de boulot pour le peu que j’en récoltais. Si la taille de septembre change vraiment la donne, je pourrais peut-être m’y remettre… à voir.
Deux fois moins de fruits, c’est un peu alarmiste, non ? Moi, j’ai surtout l’impression que la météo joue un rôle énorme sur la récolte.
J’ai toujours pensé que la taille était une question de place, pas tant de quantité. Mes framboisiers, ils se battent surtout pour la lumière avec les mauvaises herbes !
Septembre pour tailler ? Drôle d’idée ! Moi, je suis plutôt du genre à laisser faire la nature. Si j’ai des framboises, tant mieux, sinon, ce n’est pas grave.
Moi, les framboises, c’est surtout les souvenirs qu’elles réveillent. Le goût du soleil, les piqûres d’orties… La taille, c’est secondaire.
Je ne suis pas convaincu. J’ai toujours cru que la taille favorisait surtout la ramification, pas forcément le nombre de fruits.
Framboises divisées par deux ? C’est peut-être vrai, mais je préfère partager ma récolte avec les oiseaux. Un jardin trop parfait, c’est un peu triste.
Septembre, la taille… Mon père jurait que c’était inutile, une perte de temps. On avait toujours plein de framboises, même sans ça. L’important, c’est surtout la terre, je crois.
Septembre, tiens donc… J’ai toujours taillé à la fin de l’hiver, quand le gel ne risque plus de les abîmer. C’est peut-être pour ça que mes récoltes sont irrégulières ? Je vais tenter cette année, on verra bien.
Framboises en septembre, c’est comme les chrysanthèmes en novembre, ça me rappelle ma grand-mère. Elle avait toujours des fruits, elle. Peut-être le secret est là, dans la transmission.
J’ai toujours eu peur de tailler, de faire une bêtise. L’idée de ruiner la récolte me paralyse. Peut-être que septembre, c’est un bon compromis pour oser enfin.
C’est marrant, moi c’est le contraire, je taille n’importe quand et j’ai toujours des framboises à gogo. Peut-être que le secret, c’est de ne pas trop s’en soucier ?
Septembre, la taille… ça me semble logique. La plante se repose ensuite, donc on lui évite un stress inutile au printemps. Je vais essayer, ça ne coûte rien.
Tailler en septembre, ça demande une sacrée discipline ! Entre la rentrée et les dernières tomates à récolter, je ne sais pas si je trouverai le temps…
J’ai l’impression que chaque année, on redécouvre des « secrets » de jardinage. Septembre pour les framboises, pourquoi pas ? Mais je me demande si c’est pas surtout une question de variété, en fait.
Moi, j’ai toujours pensé que le plus important, c’était l’exposition au soleil. Un framboisier à l’ombre, il aura beau être taillé, il donnera rien de bon.
Framboises divisées par deux, c’est un argument choc. Mais est-ce que ça prend en compte le changement climatique ? Ici, en Bretagne, septembre est parfois encore très sec, et la taille pourrait stresser la plante.
Moi, les framboises, c’est un peu ma madeleine de Proust. J’en avais plein dans le jardin de mon enfance, c’est un goût qui me rappelle les étés insouciants.
Intéressant, cette histoire de taille en septembre… Moi, j’ai surtout l’impression que mes framboisiers aiment bien être un peu « laissés tranquilles ».
Framboises divisées par deux ? Ça fait peur ! Moi, je me demande surtout si c’est pas lié à la qualité du sol. J’ai l’impression qu’il s’appauvrit vite, le mien.
Moi, le jardin, c’est surtout un lieu de détente. Si tailler en septembre devient une corvée de plus, je préfère encore acheter mes framboises au marché.
Le jardinage, c’est comme la cuisine, chacun a sa recette. Ma grand-mère ne taillait jamais, et on croulait sous les framboises !
Deux fois moins de framboises ? Gloups. Je crois que je vais aller voir mes framboisiers de plus près, maintenant. L’excuse de la rentrée, c’est facile, mais les framboises, c’est trop bon.
Mouais, encore une vérité assénée. Mon voisin ne taille jamais ses framboisiers et il en donne à tout le quartier. Peut-être que ça dépend juste de la chance ?
C’est marrant, moi j’ai toujours taillé un peu au hasard, quand ça me prend. Les framboises sont bonnes, c’est l’essentiel, non ?
Septembre, la taille… Encore une chose à faire avant l’hiver ! J’avoue, je préfère les manger, les framboises, que de les tailler.
Je me demande si ce n’est pas un peu simpliste comme explication. J’ai l’impression que mes framboisiers réagissent surtout à l’ensoleillement de l’année.
J’ai replanté mes framboisiers l’an dernier et j’avoue que la taille me stresse un peu. J’ai peur de faire une bêtise et de tout compromettre !
C’est fou comme on redécouvre des « secrets » de grand-père chaque année. Je me demande si ce n’est pas juste un cycle naturel, les bonnes années succédant aux moins bonnes.
Tiens, ça me rappelle mon père qui disait toujours que le secret, c’était l’engrais naturel. La taille, il s’en fichait un peu.
C’est peut-être vrai, cette histoire de taille en septembre. Mais j’ai surtout remarqué que mes framboisiers aiment bien l’eau, eux. S’il pleut, c’est la fête.
Intéressant… Moi, j’ai toujours pensé que la variété du framboisier jouait un rôle majeur. On a peut-être des variétés moins productives qu’avant, tout simplement.
J’ai toujours pensé que le sol jouait un rôle crucial. Un sol pauvre donnera forcément des fruits moins abondants, peu importe la taille.
Franchement, j’ai toujours pensé que les framboisiers, c’est comme les gens : ils font ce qu’ils veulent ! On les chouchoute, ils boudent. On les oublie, ils explosent de fruits.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle de « tailler ». Mais quelle taille exactement ? On coupe tout à ras ? Juste les branches mortes ? C’est ça qui compte, non ?
Moi, je me demande si cette histoire de taille en septembre, c’est pas juste une légende pour nous culpabiliser de pas assez s’occuper de nos jardins…
Framboises moins nombreuses, c’est sûr que ça déprime. Mais est-ce qu’on a vraiment tous le temps de suivre les conseils de Jean-Pierre ? La vie est déjà bien remplie !
Je me demande si la lune n’a pas une influence. J’ai remarqué une corrélation entre une belle récolte et une plantation en lune montante, mais c’est peut-être une coïncidence.
Septembre, ça me paraît tôt. J’ai toujours taillé en fin d’hiver, avant le redémarrage. Peut-être que ça dépend du climat local, finalement ?
J’ai plus de succès en laissant mes framboisiers se débrouiller seuls. Peut-être que l’article oublie de mentionner l’importance de la patience.
Le bonheur, c’est pas forcément une montagne de framboises. Quelques fruits savoureux suffisent à ensoleiller mon été. Moins, mais mieux, en quelque sorte.
C’est marrant, mon grand-père jurait qu’il fallait leur parler aux framboisiers. Peut-être que c’est ça le secret, plus que la taille en septembre !
Moi, j’ai surtout l’impression que le goût a changé. Les framboises de mon enfance avaient un parfum… impossible à retrouver aujourd’hui, peu importe la quantité.
C’est vrai que j’ai jamais vraiment suivi de méthode. Je me fie surtout à l’aspect général de la plante. Si ça me paraît touffu et malade, je coupe.
C’est fou comme on diabolise le rendement à tout prix. Moi, tant que j’ai assez de framboises pour une tarte, je suis content. Le reste, c’est du bonus.
Mouais, encore un truc qui ajoute à la pression. Si je voulais un rendement maximal, j’achèterais des framboises au supermarché, non ?
Moi, je me demande si c’est pas la terre qui s’épuise, plus que la taille. Faut peut-être penser à l’enrichir, au lieu de toujours couper.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de tradition. On dirait qu’on cherche un âge d’or du jardinage… Mais chaque année est différente, non?
Je suis toujours sceptique face aux affirmations catégoriques. « Deux fois moins de fruits » ? Ça me semble exagéré et peu scientifique. Chaque jardin est un écosystème unique.
J’ai toujours taillé au printemps, un peu au hasard. Peut-être que septembre est mieux, mais j’ai peur de me tromper et de tout massacrer.
Septembre, tiens donc… J’avais toujours entendu dire après la fructification, mais plutôt fin d’été, pas si tôt. Ça vaut peut-être le coup de creuser cette histoire de taille précoce.
C’est marrant, ça me rappelle ma grand-mère et ses « on a toujours fait comme ça ». Peut-être qu’il y a du vrai, mais j’aime bien expérimenter et voir ce qui marche chez moi.
Du coup, si je taille en septembre, je risque moins d’avoir des bestioles qui se logent dans les tiges coupées pendant l’hiver ? Ça, ce serait un argument qui me convaincrait.
J’ai l’impression qu’on nous vend une solution miracle. Je préfère observer mes framboisiers et adapter la taille à leur vigueur.
Tiens, ça me fait penser au voisin, lui il ne taille jamais rien et il a une récolte monstre. Peut-être que le secret est ailleurs…
J’ai surtout l’impression que nos anciens avaient plus de temps à consacrer à leurs jardins. Septembre, c’est déjà la rentrée, les enfants, le travail… La taille attendra!
Framboises moins nombreuses ? C’est mon cas ! Je vais tenter cette taille en septembre, quitte à perdre une année pour en gagner plusieurs. On verra bien !
« Deux fois moins de fruits », ça fait peur ! Mes framboises sont déjà rachitiques… Je me demande si la variété y est pour quelque chose, plus que la taille. Faudrait que je me renseigne.
Moi, je me demande surtout si cette taille de septembre est valable pour toutes les variétés de framboisiers. J’ai des remontants et des non-remontants, ça change peut-être la donne ?
Bof, les framboises, c’est bon mais pas au point de me stresser avec un calendrier de taille précis. Si j’en ai, tant mieux, sinon, pas grave.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle de taille, mais pas de l’importance d’un bon sol. J’ai beau tailler, si la terre est pauvre, ça ne donnera rien.
Moi, la framboise, c’est surtout un souvenir d’enfance. Si j’en replantais, ce serait plus pour le goût de la madeleine de Proust que pour la performance.
Moi, j’ai toujours entendu dire qu’il fallait les laisser un peu tranquilles, ces framboisiers. Peut-être que trop s’en occuper, c’est justement ça le problème ?
Ah, les framboises… ça me rappelle les confitures de ma grand-mère. Peut-être que cette taille de septembre est la clé de son secret ? Je vais essayer, au moins par nostalgie.
Je me demande si ce n’est pas surtout une question de transmission. Mon grand-père taillait, oui, mais il me montrait comment faire et pourquoi. C’est ça qui manque, pas juste la date.
C’est marrant, on dirait que redécouvrir les gestes simples, c’est le nouveau truc à la mode. J’espère que ça ne va pas virer au dogme, comme le reste.
Septembre, la taille… J’ai toujours eu l’impression qu’on les embêtait assez comme ça, ces pauvres framboisiers. Les laisser faire, c’est peut-être ça le secret finalement.
Je suis plutôt du genre à faire confiance à la nature, mais « deux fois moins de fruits », ça pique quand même. Je vais peut-être tenter le coup, histoire de voir.
« Deux fois moins de fruits » ? Ça me fait penser à toutes ces injonctions au « rendement ». Mon jardin, c’est avant tout un espace de plaisir, pas une compétition.
Septembre, tiens donc… J’ai toujours cru que c’était après la fructification, à l’automne bien avancé. J’ai peut-être tout faux depuis le début.
La nostalgie des « anciens », c’est beau, mais mon jardin n’est pas un musée. Je préfère adapter les pratiques à mon propre contexte.
Framboises en septembre ? Drôle d’idée. J’ai toujours pensé qu’il fallait les laisser se reposer après avoir donné.
J’ai toujours fait ça au pif, en fait.
Moi, septembre, c’est la rentrée, pas la taille des framboisiers. J’ai déjà assez à faire ! On verra bien ce que ça donne…
Intéressant cette histoire de taille en septembre. Chez moi, c’est surtout les oiseaux qui décident s’il y aura des framboises l’année suivante!
Moi, les framboises, c’est surtout un souvenir d’enfance. Le goût du soleil, les épines… Le rendement, on s’en fichait.
Si ça marche, tant mieux. Mais j’ai peur que tailler en septembre attire trop les maladies avant l’hiver.
Je ne suis pas contre les conseils d’anciens, mais j’aimerais savoir quel type de framboisier il taille. Remontants ou non, ça change tout !
C’est marrant, moi les framboisiers, ils poussent presque trop bien ! Je passe mon temps à en donner aux voisins. Le problème, c’est plutôt d’éviter qu’ils n’envahissent tout.
J’imagine le pauvre Jean-Pierre, les bras chargés de framboises, essayant de convaincre ses voisins… Moi, je me contente de quelques pots sur mon balcon.
Septembre, c’est déjà la fin de l’été, on pense plus à la soupe qu’aux framboises. C’est peut-être ça, le secret? Anticiper la gourmandise future.
Septembre pour tailler ? Ça me rappelle les conseils de ma grand-mère… Elle avait toujours des récoltes incroyables, mais elle y passait un temps fou.
C’est vrai que le « pif » ça a ses limites… Peut-être que Jean-Pierre a raison, ça vaut le coup de creuser un peu cette histoire de taille en septembre.
Framboises… un délice éphémère. On se laisse vite dépasser. Peut-être qu’un petit coup de pouce en septembre leur ferait du bien. Qui ne tente rien n’a rien!
La nostalgie des framboises d’antan… C’est peut-être juste que nos variétés modernes sont moins résistantes, non ? La taille n’est peut-être pas la seule explication.
Framboises divisées par deux ? Catastrophe ! Mais bon, j’avoue, la taille, c’est jamais ma priorité au jardin. Peut-être un peu de rigueur ne ferait pas de mal.
Mouais, les framboises, c’est comme les cheveux, trop ou pas assez… Moi, c’est plutôt l’oiseau qui me pique les miennes avant qu’elles soient mûres.
Tailler en septembre ? Ça me semble bien tôt ! J’ai toujours attendu la fin de l’hiver, avant le redémarrage de la végétation. J’ai toujours eu de belles récoltes comme ça.
Tailler en septembre… ça me paraît logique en fait. L’automne, c’est le moment où la nature se recentre, pourquoi pas les framboisiers ?
C’est marrant, moi j’ai toujours pensé que la taille servait surtout à maîtriser l’envahissement des framboisiers. La récolte, c’était plus une question de chance et de météo, honnêtement.
Franchement, je me demande si ce n’est pas aussi une question de sol. Chez moi, c’est hyper calcaire, je galère avec tout… les framboises y compris.
Deux fois moins de framboises, ça fait peur. Mais bon, entre la théorie et la pratique… Mon emploi du temps de septembre est déjà chargé comme ça. On verra bien.
Septembre, la taille des framboisiers… ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours : « Faut écouter la plante, elle te parle ». Peut-être qu’il avait raison.
Intéressant… mais est-ce que ça marche aussi pour les framboisiers remontants ? J’en ai, et je ne sais jamais quand les tailler.
C’est fou comme on idéalise le passé. Ma grand-mère, elle, taillait n’importe quand et on avait des framboises à gogo. Peut-être juste un coup de bol ?
Si seulement j’avais su ça avant ! Mes framboises sont minuscules cette année, une misère. L’année prochaine, septembre sera synonyme de taille, c’est décidé.
Je suis dubitatif. Les « on disait que » et les recettes de grand-mère, c’est charmant, mais chaque jardin est unique. Je vais observer mes framboisiers de près cet été avant de me décider.
Moi, je me demande surtout si c’est pas une question de variété. J’ai changé de framboisiers il y a quelques années et la production a explosé, sans rien changer à ma taille d’hiver.
Moi, ce que je retiens surtout, c’est le plaisir de bichonner mes framboisiers. Si tailler en septembre me donne une excuse, alors banco !
Framboises ou pas framboises, tailler en septembre, ça me force à ralentir et à profiter des dernières belles journées au jardin. C’est ça le vrai intérêt, finalement.
Les framboises, un souvenir d’enfance… Si je taille en septembre, c’est surtout pour me sentir plus proche de ces moments-là, plus que pour la récolte elle-même.
J’ai toujours pensé que la taille sévère fragilisait la plante avant l’hiver. Septembre, ça me paraît tôt, non?
Je me demande si ce n’est pas aussi une question de sol et d’exposition. Mes framboisiers sont à l’ombre et la terre est pauvre, ça joue forcément.
Je trouve ça réconfortant de voir qu’il y a encore des gestes simples qui peuvent faire une différence. Peut-être que je vais enfin me reconnecter avec mon jardin de cette façon.
Je suis curieux de savoir quelle taille il faut faire exactement. « Tailler », c’est vague. Enlever les branches mortes ? Raccourcir les tiges ? J’aimerais plus de détails concrets.
Le titre est un peu alarmiste, non ? J’ai toujours taillé en mars et mes framboises se portent très bien, merci. Peut-être que ça dépend vraiment des régions.
Je me demande si cette taille de septembre ne sert pas surtout à limiter la propagation des maladies avant l’hiver. Moins de feuilles, moins de risque de moisissures.
J’ai arrêté de me prendre la tête avec les « il faut faire comme ça ». Mes framboisiers, je les taille quand j’ai le temps, et on en mange toujours assez pour faire de la confiture.
Mouais, « deux fois moins de fruits », ça me rappelle un peu les pubs pour les engrais. On verra bien, je vais tenter l’expérience cette année sur une partie de mes framboisiers, histoire de comparer.
Septembre, la taille… ça me rappelle mon grand-père. Il avait toujours des framboises énormes. Peut-être qu’il y a du vrai là-dedans, au-delà de la nostalgie.
Si Jean-Pierre le dit, je veux bien le croire. Mais j’ai surtout l’impression qu’on redécouvre des évidences oubliées, et qu’on les présente comme des scoops.
J’ai toujours eu des framboises, sans jamais me soucier de quand tailler. Peut-être que si je m’y mettais vraiment, j’en aurais plus pour les oiseaux.
Moi, j’avoue que le jardin, c’est un peu la jungle. Si tailler en septembre évite le désastre, je vais essayer, mais sans me mettre la rate au court-bouillon.
C’est amusant comme les « secrets » de jardinage se transmettent oralement. Ma voisine, elle, jure que c’est la lune qui compte!
Intéressant ! Chez moi, la taille d’automne déclenche une invasion de pucerons au printemps. Je préfère une taille tardive, même si c’est moins « orthodoxe ».
Framboises deux fois moins nombreuses ? Ça me fait penser aux recettes de grand-mère : ça marche… si on a le même grand-père et le même jardin !
Moi, ce que j’aime dans le jardinage, c’est justement le droit à l’erreur. Si j’ai moins de framboises une année, tant pis, ce sera pour les insectes !
Deux fois moins, c’est radical ! J’ai plus l’impression que c’est une question de variété et de météo, en réalité.
Deux fois moins, ça fait peur ! Mais je me demande si ce n’est pas le réchauffement climatique qui joue le plus, chez moi.
« Deux fois moins de framboises », c’est peut-être exagéré. Je crois que le type de sol et l’ensoleillement comptent bien plus que la date de taille.
Septembre? Chez moi, les framboisiers sont encore en pleine production à ce moment-là ! J’attends la fin de la récolte, et je taille après. Ça marche bien comme ça.
« Deux fois moins de fruits », c’est vendeur, mais ça culpabilise ! Le jardin devrait rester un plaisir, pas une course à la performance.
Septembre… C’est un peu tôt, non ? J’ai toujours vu mon père tailler en fin d’hiver, avant le redémarrage. Ça me paraît plus logique, laisser la plante « dormir » tranquille.
Tailler en septembre ? Drôle d’idée ! Je suis plutôt du genre à laisser faire la nature, et ça a toujours bien marché. Peut-être que mes framboisiers se débrouillent tout seuls, finalement.
Framboisiers en septembre… ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours : « Faut écouter la plante, pas le calendrier. » Peut-être que le secret, c’est juste de bien les observer ?
Moi, j’ai toujours taillé au pif, quand ça me chante. Peut-être que c’est pour ça que mes framboises ont un goût unique, un peu rebelle !
Tailler en septembre… Ça me donne l’impression de brusquer la nature. J’ai peur de mal faire et de tout gâcher. Je préfère m’abstenir.
J’ai toujours pensé que les anciens avaient des astuces… mais « deux fois moins », ça me paraît un peu simpliste. Je vais tester sur une partie de mes framboisiers, on verra bien !
Ça me rappelle les conseils de ma voisine, toujours à contre-courant des modes. Elle disait que chaque jardin a son propre rythme, qu’il faut adapter les gestes à son coin de terre.
Intéressant, cette idée de septembre. Mais j’ai toujours cru que la taille favorisait la plante… donc moins de fruits ? Je suis perplexe.
Septembre, ça me paraît logique en fait. La sève redescend, autant en profiter pour nettoyer et préparer le terrain pour le printemps. Moins de boulot après !
Framboises ou pas framboises, tant que j’ai le plaisir de jardiner, ça me va. L’idée de septembre ne me stresse pas plus que ça. Si ça marche, tant mieux.
Deux fois moins de framboises ? Ça fait peur ! J’ai tellement de mal à les protéger des oiseaux, si en plus je dois me soucier de la taille… Je vais peut-être continuer à acheter les barquettes au marché, c’est moins de stress.
Deux fois moins de fruits, c’est un argument choc, mais je suis dubitatif. J’ai vu des framboisiers prospérer sans taille du tout. Le sol et l’ensoleillement doivent jouer un rôle plus important, no…
Deux fois moins, ça se vérifie pas chez moi. Par contre, tailler en septembre, ça permet d’éviter que le framboisier devienne une jungle impénétrable. C’est déjà ça de gagné !
« Deux fois moins » ça fait commercial, non ? Moi, ce que je cherche, c’est surtout des framboises plus grosses et plus savoureuses. Si une taille en septembre peut aider, je suis preneur !
« Deux fois moins »… Ça me fait penser aux recettes de grand-mère, toujours un peu exagérées, mais souvent efficaces quand même. Je vais essayer, on ne sait jamais !
La Dordogne, c’est peut-être le secret ? Chez moi, en Bretagne, le climat est tellement différent, j’ai peur de tout massacrer en taillant en septembre.
Je me demande si cette « méthode à l’ancienne » ne serait pas tout simplement du bon sens paysan, adapté à un rythme plus lent et attentif.
Moi, septembre, c’est la rentrée, les enfants… Pas sûr que les framboisiers soient ma priorité à ce moment-là. On verra bien.
J’ai toujours taillé au printemps, par habitude. Septembre, ça me demande de changer mon organisation. Un peu la flemme, je l’avoue.
Moi, j’ai surtout remarqué que les framboises sont plus attaquées par les maladies si je ne nettoie pas les branches sèches à l’automne. La taille est secondaire.
Je suis plus sensible à l’idée de renouer avec des pratiques simples. Ce monsieur Dubois me parle plus que les arguments scientifiques.
Je ne suis pas sûr que ce soit une question de quantité, mais plutôt de qualité de vie. Un jardin bien entretenu, c’est aussi un esprit plus clair.
J’ai toujours pensé que la nature faisait bien les choses toute seule. Forcer la taille en septembre, ça me paraît un peu artificiel.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que nos framboisiers sont le reflet de notre propre impatience. On veut tout, tout de suite, et on oublie de prendre le temps de les comprendre.
J’ai essayé en taillant tard l’an dernier, et effectivement, la production a été meilleure. Peut-être une coïncidence, mais je retenterai cette année!
C’est marrant, j’ai toujours cru que la taille d’automne fragilisait les framboisiers pour l’hiver. Peut-être qu’il y a des variétés plus résistantes que d’autres ?
Deux fois moins de framboises ? Ça me fait surtout penser au prix qu’elles coûtent au supermarché ! Si une taille en septembre peut éviter ça, je veux bien essayer.
Les framboises de mon jardin sont bonnes, mais tellement petites! Peut-être que ce monsieur Dubois a raison, et que j’ai trop attendu avant de m’en occuper.
Septembre, ça me rappelle la rentrée et les confitures de mûres de ma grand-mère. Tailler les framboisiers, c’est peut-être aussi une façon de se préparer à l’automne.
J’avoue, je pensais que la taille était surtout pour l’esthétique. Si ça booste vraiment la récolte, je vais peut-être enfin m’y mettre sérieusement.
Framboises moins abondantes, c’est sûr. Mais est-ce que ça vaut vraiment le coup de sacrifier le charme un peu sauvage du jardin pour quelques fruits de plus ?
J’ai toujours pensé que la taille, c’était comme une confidence qu’on fait à la plante. Un dialogue silencieux pour l’aider à s’épanouir, sans la brusquer.
La Dordogne, septembre… ça sent déjà la fin de l’été. La taille, c’est peut-être un moyen de prolonger un peu le plaisir des récoltes à venir. Un petit rituel de jardinage avant l’automne.
Mon grand-père jurait que la lune jouait un rôle. Il taillait ses framboisiers en lune descendante, en septembre. Simple superstition ou science oubliée ?
Tailler en septembre ? J’ai toujours eu peur de perturber le cycle naturel de la plante avant l’hiver. J’imagine mal la sève se couper et se remettre en route au printemps.
Moi, je me demande surtout si cette taille de septembre s’applique à toutes les variétés de framboisiers ou juste à celles de Dordogne !
Moi, ça me fait penser au temps qui passe, tout simplement. On se dit qu’on a le temps de tailler, et puis hop, un automne, un hiver… et les framboises sont rachitiques.
« Deux fois moins de fruits »… ça fait peur ! Je vais essayer cette année, mais j’ai surtout peur de me tromper et de tout bousiller. Espérons que Jean-Pierre a raison !
Je ne suis pas sûr que la taille soit la seule explication. Le sol, l’ensoleillement… ça compte aussi beaucoup, non ?
J’ai toujours laissé faire la nature avec mes framboisiers. Moins de fruits, certes, mais ils ont un goût tellement intense. C’est peut-être ça, le secret ?
Je me demande si c’est pas juste une question de productivité à tout prix. Moi, un framboisier qui donne moins, c’est un framboisier plus facile à gérer.
Ça me rappelle ma grand-mère, toujours à s’occuper de ses plantes avec une patience infinie. Peut-être que le secret, c’est juste cet amour qu’on leur porte.
Framboises rachitiques, c’est exactement ce qui m’arrive ! Faut vraiment que je m’y mette, mais je suis du genre à toujours remettre au lendemain. Septembre… je note.
Perso, j’ai toujours pensé que c’était une question de chance, cette histoire de framboises. J’ai l’impression que ça marche une année sur deux, peu importe ce que je fais.
Moi, j’ai surtout l’impression qu’avant, les gens avaient le temps. Aujourd’hui, entre le boulot et le reste, septembre, c’est déjà la course. La taille, c’est pas ma priorité, désolé Jean-Pierre.
Framboisiers ou pas, c’est fou comme les « anciens » ont toujours la solution miracle. J’ai l’impression qu’on idéalise un peu trop le passé parfois.
Je suis incapable de me motiver pour tailler quoi que ce soit en septembre. Mes framboises, c’est la surprise de l’été, tant pis si elles sont petites.
Je me demande si cette taille de septembre ne serait pas une sorte de « repos » imposé au framboisier pour qu’il se concentre sur le développement de ses racines avant l’hiver.
Intéressant. Est-ce que cette taille de septembre s’applique à toutes les variétés de framboisiers, remontants et non remontants ? C’est une information cruciale, et souvent oubliée !
Deux fois moins de fruits ? Ça me fait penser aux tomates de supermarché, belles mais sans goût. Peut-être qu’un peu moins, mais avec plus de saveur, c’est pas si mal au fond.
Septembre, la taille… J’avoue, je trouve ça réconfortant de suivre les saisons. Une promesse de plus de framboises l’année prochaine, c’est une belle motivation.
Deux fois moins de framboises, c’est peut-être exagéré, non ? J’ai taillé au printemps dernier et j’ai eu une belle récolte. Est-ce que le sol joue aussi ?
Je vais demander à ma grand-mère, elle a toujours eu un jardin magnifique. Son secret, c’est peut-être juste de papoter avec ses plantes.
Le coup des framboises qui diminuent, ça me parle. L’an dernier, j’en avais si peu que j’ai failli arracher le pied. Septembre, j’essaierai, on verra bien.
Septembre, ça me paraît tôt ! J’ai peur d’abîmer les nouvelles pousses si je taille trop vite.
J’ai toujours cru que la taille, c’était plus pour ordonner le jardin que pour booster la production. Mes framboises, c’est un peu la jungle, mais elles donnent quand même.
Framboises ou pas, septembre c’est déjà la rentrée et le retour au boulot. Tailler, ça attendra les jours plus courts et les soirées au coin du feu. Priorités !
Moi, je me demande surtout si ça vaut le coup de se prendre la tête pour quelques framboises de plus. Le jardin, c’est d’abord un plaisir, pas une corvée.
Moi, j’y crois moyen. Le jardinage, c’est pas une science exacte. Chaque année est différente, la météo joue tellement !
Moi, ce qui me gêne, c’est cette idée de « devoir » faire quelque chose au jardin. J’aime l’idée de laisser faire la nature, quitte à avoir moins de framboises.
Tailler en septembre, ça me rappelle les conseils de mon père. Il disait toujours qu’il faut aider la plante à se concentrer sur l’avenir, pas sur le passé.
L’idée de la taille de septembre, ça me fait penser aux rituels de fin d’été, un peu mélancoliques mais nécessaires pour préparer l’avenir. Un dernier geste avant l’hiver.
J’ai surtout l’impression que chaque jardinier a sa propre vérité. Ce monsieur Dubois a peut-être raison pour sa Dordogne, mais ici, dans le Nord, c’est peut-être différent.
C’est marrant, moi j’ai jamais taillé mes framboisiers en septembre. Je le fais plutôt en fin d’hiver, avant le redémarrage de la végétation. Et ça marche très bien !
J’avoue que j’ai jamais vraiment réfléchi à la période de taille. Je me contente de couper ce qui est mort, un peu au hasard. Peut-être que je devrais m’y pencher sérieusement !
Je suis curieux de savoir quel type de framboisiers sont concernés. Remontants ? Non remontants ? La taille doit varier, non ?
Septembre pour tailler ? Chez moi, c’est la période des confitures justement ! Difficile de jongler entre les deux, surtout quand les enfants réclament une tarte.
J’aime bien l’idée de tailler en septembre. Ça me donne l’impression de remettre de l’ordre après la folie de l’été. Un peu comme ranger sa maison avant l’arrivée de l’hiver.
Deux fois moins de fruits ? Ça fait peur ! Mais je me demande si la variété du framboisier n’est pas un facteur plus important que la date de taille.
« Deux fois moins de fruits si on ne taille pas en septembre ? Ça me semble un peu alarmiste comme affirmation. J’ai toujours fait ça au printemps, et j’en ai assez pour les oiseaux et moi ! »
La Dordogne, c’est pas le même climat que chez moi en Bretagne. Peut-être que ça marche là-bas, mais je reste sceptique. J’attends de voir d’autres témoignages avant de changer mes habitudes.
Moi, septembre, c’est la rentrée des classes ! L’idée de tailler les framboisiers me rajoute une corvée. J’ai déjà assez à faire.
Franchement, je me demande si c’est pas juste une question de bon sens paysan qu’on a perdu. Nos grands-parents savaient des choses…
Je suis un peu las des « il faut faire comme avant ». Chaque année, c’est une nouvelle méthode miracle pour le jardin ! Je préfère observer mes framboisiers et adapter ma taille à leur vigueur.
Tailler en septembre… Ça me rappelle la conversation avec mon voisin l’an dernier. Il jurait que c’était la lune qui comptait, pas le mois. Bref, encore un truc à essayer, et puis on verra bien !
Le coup de « deux fois moins de fruits », c’est un peu vendeur, non ? J’ai l’impression que la santé du sol et l’ensoleillement jouent autant, voire plus.
Framboises qui diminuent… ça me rappelle surtout mes efforts de plus en plus vains contre les pucerons. Peut-être que la taille n’est pas le seul coupable.
C’est marrant, j’ai toujours cru que la taille d’automne favorisait surtout la résistance au froid, pas forcément plus de fruits.
Moi, les framboises, c’est un peu ma madeleine de Proust. Le goût de l’enfance. Si tailler en septembre peut raviver ces souvenirs, je suis prêt à essayer.
Septembre… j’ai toujours eu peur de tailler trop tôt et de compromettre la future récolte. Peut-être que je devrais oser essayer sur quelques pieds seulement.
J’ai surtout l’impression que nos framboisiers sont moins résistants qu’avant. On nous vend des variétés plus productives, mais elles demandent plus d’attention, non ?
Plutôt que tailler, je me demande si un bon paillage ne serait pas plus bénéfique pour garder l’humidité et nourrir le sol. Ça me semble moins brutal.
En septembre ? Drôle d’idée ! Moi, je pensais qu’il fallait surtout supprimer le bois mort au printemps.
J’ai toujours laissé faire la nature avec mes framboisiers, et j’en ai toujours eu assez pour la confiture. Peut-être que je suis chanceux, ou que ma terre leur convient bien.
J’ai arrêté de me battre avec les framboises. J’en achète des bio au marché, c’est plus simple et moins frustrant. Le jardin, c’est pour le plaisir, pas la compétition.
Tailler en septembre, ça me rappelle surtout le bruit des feuilles qui craquent sous les pieds. Un petit rituel de fin d’été, plus qu’une garantie de récolte.
Je me demande si ce n’est pas une question de variété de framboisiers aussi. Certaines ont peut-être besoin de cette taille de septembre, d’autres pas du tout.
Framboises et souvenirs… ça me parle. Mais au-delà du goût, c’est surtout l’odeur du framboisier après la pluie que je recherche. Si cette taille de septembre la stimule, alors banco !
L’article sous-entend que c’est LA solution. J’ai toujours pensé que l’ensoleillement jouait un rôle bien plus important dans la production de framboises. À vérifier.
J’ai toujours cru que l’important était d’identifier les tiges qui avaient déjà donné des fruits et de les couper à ras. Le mois, je ne m’en suis jamais soucié.
J’ai toujours eu peur de trop tailler et de tout gâcher. Peut-être que septembre est un bon compromis, avant le vrai froid.
Septembre pour tailler? Jamais fait ça! Je me demande si ce n’est pas une astuce de vieux jardinier pour vendre plus de plants au printemps prochain.
Le framboisier, c’est le goût de l’enfance… et les épines ! Si cette taille de septembre réduit la jungle, je suis preneur. Moins de griffures pour plus de gourmandise, c’est un bon calcul.
Je suis intrigué par cette histoire de taille en septembre. Ma grand-mère disait toujours qu’il ne fallait surtout pas brusquer les plantes avant l’automne, sous peine de les affaiblir. Qui croire ?
Moi, j’ai toujours laissé faire la nature… et j’ai quand même quelques framboises chaque année. Suffisamment pour une tarte, en tout cas.
Intéressant. Chez moi, la ronce prend tellement le dessus que je me demande si une taille précoce ne ferait qu’empirer les choses. Il faudrait peut-être tester sur une petite parcelle d’abord.
Septembre, tiens donc… J’ai toujours pensé que la sève était encore trop active à ce moment-là. J’essaierai peut-être sur un pied, pour voir. On ne sait jamais !
Moi, septembre, c’est la rentrée, pas le jardin. Mais si ça peut me faire gagner du temps au printemps, je suis prêt à essayer.
Framboises, j’adore ça ! Mais tailler en septembre, ça me semble bien tôt. J’ai toujours taillé en fin d’hiver, avant le démarrage de la végétation, et ça marche bien.
Franchement, j’ai plus de succès en laissant les oiseaux picorer les framboises abîmées. Ça nettoie bien et ça semble suffire à aérer la plante.
Le coup de la taille en septembre, ça me rappelle les conseils de mon voisin, toujours à contre-courant. Je vais peut-être tenter sur quelques pieds, histoire de comparer avec ceux que je taille en mars.
Moi, ce qui me soucie, c’est le réchauffement. Septembre, ça veut dire quoi aujourd’hui ? Est-ce que ce conseil est encore valable avec nos étés qui n’en finissent plus ?
Framboises moins nombreuses ? C’est peut-être aussi la faute de la terre qui s’appauvrit, non ? J’ajoute du compost à l’automne, et ça aide pas mal.
J’ai toujours vu mon père tailler ses framboisiers quand les feuilles jaunissent. C’était un rituel d’automne, et on avait toujours des montagnes de framboises.
Tailler en septembre ? Ça me paraît logique en fait. On débarrasse la plante de ce qui est mort avant l’hiver, ça lui évite de s’épuiser inutilement.
Je me souviens de ma grand-mère. Elle ne parlait pas de septembre, mais elle disait toujours : « Coupe ce qui a donné ». Peut-être que ça revient au même, finalement.
Intéressant… J’ai toujours cru que la taille servait surtout à discipliner la plante. Si c’est vraiment une question de quantité de fruits, ça change la donne.
J’ai toujours pensé que les vieux jardiniers avaient des secrets… mais parfois, c’est juste de la nostalgie.
« Deux fois moins de fruits » ? Ça fait peur ! J’ai toujours fait ça au pif, en fait. Je vais peut-être me pencher sur la question, ça vaut le coup.
Moi, j’ai surtout peur d’oublier de le faire ! Entre la rentrée et les vendanges, septembre, c’est déjà la course.
Je suis trop gourmand pour prendre le risque de perdre des framboises. Je vais suivre ce conseil, même si ça me demande un peu d’organisation. On verra bien.
Framboises… un délice éphémère. Si une simple taille peut prolonger le plaisir, pourquoi pas essayer ? Après tout, le jeu en vaut la chandelle.
Moi, les framboises, c’est surtout les oiseaux qui se régalent. La taille, ça changera peut-être la donne, mais je me demande si un bon filet ne serait pas plus efficace.
Septembre, la taille des framboisiers… ça me rappelle surtout la fin des confitures maison et le retour des courges. Priorités, priorités !
C’est marrant, moi j’ai toujours taillé au printemps sans trop me poser de questions. Peut-être que c’est pour ça que mes framboises sont un peu rachitiques…
Septembre pour tailler ? Bizarre, j’ai toujours entendu dire qu’il fallait le faire après les premières gelées. Faut voir si ça s’applique à toutes les variétés, cette histoire.
J’ai surtout l’impression que chaque année, les étés sont tellement secs que la taille, on y pense moins qu’à arroser… et ça, ça joue aussi sur les récoltes, non ?
C’est vrai que j’ai toujours vu mon grand-père faire ça en septembre. Je me disais qu’il avait ses petites manies… Peut-être qu’il avait raison, finalement.
Tiens, intéressant. J’ai toujours pensé que tailler, c’était surtout pour l’esthétique… si ça joue sur la quantité, il va falloir que je m’y mette sérieusement !
Framboises en berne ? Tiens, ça me parle. Mais j’ai toujours pensé que la qualité du sol jouait plus que la date de la taille. À creuser, donc.
Septembre ? La taille, c’est le cadet de mes soucis. J’ai surtout l’impression que les framboises, c’est comme le reste, ça devient plus compliqué à cultiver avec le temps.
Le mois de septembre, c’est déjà la rentrée et les soucis qui reviennent. Alors les framboisiers… S’ils sont moins nombreux, tant pis, on en achètera.
J’ai arrêté de me battre avec les framboisiers. Trop de boulot pour une poignée de fruits rouges mangés par les limaces. On en trouve de bonnes au marché, c’est plus simple.
Ah, la taille en septembre… ça sent la sagesse paysanne oubliée ! Je vais peut-être ressortir mes vieux gants, tiens.
Framboises en septembre… ça me rappelle mon enfance et l’odeur sucrée qu’il y avait dans le jardin. Peut-être que c’est le souvenir qui embellit le geste plus que la taille elle-même.
Moi, septembre, je cours déjà après le temps. Tailler les framboisiers, ça demande une discipline que je n’ai plus. Tant pis pour les fruits, je préfère flâner.
Septembre, la taille des framboisiers… ça me rappelle la fin des vacances et le retour aux choses sérieuses. Un peu comme une dernière danse avec l’été avant d’affronter l’automne.
J’ai toujours taillé au printemps, un peu au hasard. Si septembre marche mieux, ça vaut peut-être le coup de changer mes habitudes, mais j’attends de voir d’autres avis avant de me lancer.
« Deux fois moins de fruits » ça fait peur. Mais est-ce que ça vaut vraiment l’effort ? Je vais peut-être essayer sur un seul pied pour voir la différence.
Framboises divisées par deux ? C’est peut-être vrai, mais la joie d’en manger, elle, est toujours multipliée par l’été. Je me contenterai de ça.
Mon grand-père jurait que c’était la lune qui comptait, pas le mois. Je continue comme lui, et j’ai de quoi faire des confitures.
Septembre, oui, c’est logique ! C’est après la fructification, le bon moment pour nettoyer et préparer la plante. Je vais essayer cette année, tiens.
Tailler en septembre ? Je me demande si ce n’est pas juste une question de variété de framboisiers. Les miens fructifient bien sans taille automnale, peut-être que j’ai de la chance.
J’ai plus de succès en laissant faire la nature. Les framboisiers se débrouillent très bien seuls, sans mon intervention.
Intéressant cette histoire de taille en septembre. J’ai toujours pensé que les framboisiers, c’était un peu comme les mauvaises herbes : ça pousse tout seul !
J’ai toujours pensé que les framboisiers étaient increvables. Si une taille en septembre peut vraiment améliorer la récolte, pourquoi pas essayer ? Après tout, un peu d’attention ne peut pas faire de mal.
C’est marrant, chez moi, c’est surtout les oiseaux qui se régalent des framboises, bien avant que je pense à les tailler… peut-être que c’est ça le problème, finalement !
Septembre, ça me semble tôt. J’ai toujours eu peur d’exposer les plants au gel en taillant si tôt. Je préfère prendre le risque d’une petite récolte que de les perdre.
J’ai toujours pensé que la taille, c’était surtout pour l’esthétique du jardin. Si ça impacte autant la récolte, il faut que je me penche sérieusement sur la question.
Framboises divisées par deux… Ça fait réfléchir. Mais franchement, entre la taille et les mulots qui grignotent tout, je me demande qui est le vrai coupable !
Je me demande si c’est pas la nostalgie qui parle, cette histoire d’anciens jardiniers. Mes framboises sont bonnes, même sans me prendre la tête avec une taille hyper précise en septembre.
Franchement, j’ai l’impression qu’on culpabilise toujours les jardiniers amateurs. Peut-être que j’aime juste les framboises, peu importe leur taille ou leur nombre.
J’ai toujours vu mon grand-père tailler ses framboisiers après la toute dernière récolte, peu importe le mois. C’était plus une question de « nettoyage » qu’autre chose.
Le framboisier de ma voisine est toujours plein à craquer, et elle ne taille jamais rien. Je crois que le secret, c’est surtout le soleil et la bonne terre.
J’ai jamais vraiment suivi de calendrier précis pour le jardin. Si ça se trouve, je passe à côté de la récolte de l’année, mais tant pis, le jardinage doit rester un plaisir.
Moi, septembre, je suis encore en train de faire des confitures avec les dernières ! La taille attendra bien un peu…
Ah, les framboises… j’y passais mes étés enfant. Jamais entendu parler de taille en septembre, mais mon grand-père avait un truc : il parlait à ses plantes. Peut-être que c’est ça, le secret !
Septembre pour tailler ? Drôle d’idée. J’ai toujours cru que c’était le repos végétatif qui comptait, pas forcément un mois précis.
Septembre… ça me paraît tôt. J’ai toujours fait ça en fin d’hiver, avant le redémarrage. Peut-être que ça dépend des variétés ?
Septembre ? C’est bon à savoir. J’essaierai cette année, on verra bien si ça change quelque chose à mes récoltes faméliques.
Septembre, vraiment ? J’ai toujours pensé que le plus important était d’enlever les bois morts, peu importe quand. C’est peut-être ça, mon erreur…
Intéressant ! J’avoue que je n’ai jamais vraiment cherché à comprendre pourquoi mes framboises étaient moins nombreuses. Peut-être que suivre les conseils d’un ancien, c’est une bonne piste pour renouer avec le plaisir d’une récolte abondante.
Framboises en septembre ? J’ai toujours eu l’impression que la nature savait mieux que moi ce qu’elle faisait. Je laisse faire, et ça pousse… ou pas.
Tailler en septembre, ça me rappelle les conseils de ma grand-mère, toujours liés à la lune. Peut-être qu’il y a un fond de vérité dans ces traditions.
Framboisiers taillés en septembre… Jamais entendu ça. J’ai l’impression qu’on nous vend toujours une solution miracle pour tout. Je préfère observer et apprendre à connaître mes plants, ça me semble plus pertinent.
Septembre, la taille des framboisiers ? Ça me rappelle surtout la rentrée et la fin des vacances… Mais si ça peut éviter de se battre avec les ronces l’été prochain, pourquoi pas essayer !
Framboises moins nombreuses, ça me parle ! J’ai des envies de confitures que je ne peux jamais satisfaire. Septembre, je note. Si ça marche, je fais une tarte pour Jean-Pierre Dubois.
Jean-Pierre Dubois dit ça, mais est-ce qu’il a pensé aux étés caniculaires qu’on se tape maintenant ? J’ai peur que tailler en septembre, ça stresse trop les plants.
Les framboises, c’est comme les souvenirs d’enfance, ça se savoure, mais c’est fragile. Si M. Dubois a raison, septembre pourrait être la clé pour les faire durer.
J’ai toujours taillé au pif, quand ça me prenait. Peut-être que c’est pour ça que je suis jamais monté au-dessus d’une barquette par été. J’vais p’têt ben me laisser tenter par ce Jean-Pierre.