La tentation d’emprunter une voie de bus déserte pour fuir les embouteillages est grande, surtout lors d’événements comme la semaine de la mobilité qui paralyse les centres-villes. Pourtant, ce geste anodin se transforme souvent en un piège coûteux. Une amende de 135 € sanctionne cette infraction, et les contrôles par vidéoverbalisation se multiplient, rendant la sanction quasi inévitable pour les conducteurs pressés ou distraits.
Voie de bus : le témoignage d’un automobiliste piégé à 135€
Julien Dubois, 38 ans, commercial itinérant à Lyon, a récemment fait les frais de cette inattention. « Je pensais gagner quelques minutes pour un rendez-vous crucial, mais cette voie de bus m’a coûté bien plus que du temps. Une erreur que je ne referai pas, » confie-t-il. Coincé dans le trafic matinal, il a cédé à la facilité en s’engageant sur la voie réservée sur quelques centaines de mètres. La sanction est tombée deux semaines plus tard : un procès-verbal, issu de la vidéoverbalisation, a anéanti ses espoirs d’économie de temps.
Pourquoi cette infraction est-elle si sévèrement punie ?
L’article R412-7 du code de la route est sans appel : la circulation sur une voie réservée est une infraction de quatrième classe. Ce mécanisme vise à garantir la fluidité et la ponctualité des transports en commun, essentiels au bon fonctionnement des agglomérations. La généralisation de la surveillance vidéo rend aujourd’hui la détection quasi systématique.
Au-delà de l’impact économique de l’amende, ce comportement perturbe la ponctualité des services de bus et pénalise des milliers d’usagers. Il génère aussi des risques pour les cyclistes et les taxis, parfois autorisés à y circuler, créant des situations potentiellement dangereuses pour tous.
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Concerne également les restrictions de circulation automobile en ville
Type d’infraction | Montant de l’amende | Majoration possible |
---|---|---|
Circulation sur voie de bus | 135 € (forfaitaire) | 375 € (en cas de non-paiement) |
Amende minorée | 90 € (si paiement rapide) | Non applicable |
Stratégies et astuces pour ne plus jamais se faire avoir
Pour éviter toute méprise, il est crucial de lire attentivement la signalisation. Certaines voies sont accessibles à d’autres usagers comme les taxis ou les vélos, et les restrictions peuvent ne s’appliquer qu’à des plages horaires spécifiques. Une bonne pratique est d’utiliser une application de navigation à jour, qui permet souvent d’éviter ces itinéraires par défaut.
- Vérifiez les panneaux à l’entrée de chaque voie réservée.
- Utilisez un GPS qui signale les restrictions de circulation.
- Planifiez vos trajets en dehors des heures de pointe pour éviter la pression du trafic.
Cette réglementation s’inscrit dans une tendance de fond des politiques urbaines visant à favoriser les transports collectifs. La multiplication des zones à faibles émissions et des voies réservées au covoiturage préfigure un avenir où la place de la voiture individuelle en ville sera de plus en plus redéfinie.
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Aborde un autre aspect des coûts liés à l'utilisation de véhicules
L’impact global sur la mobilité de demain
L’enjeu dépasse la simple amende. Sanctionner cet usage illégal incite à un changement de comportement collectif vers des mobilités plus durables. À long terme, cela contribue à désengorger les centres-villes, réduire la pollution sonore et améliorer la qualité de l’air pour tous les habitants.
Respecter les voies de bus n’est donc pas qu’une question de budget, c’est un acte citoyen. Une vigilance accrue et une meilleure planification des trajets sont les clés pour éviter les sanctions et participer activement à une mobilité urbaine plus efficace et respectueuse pour l’avenir.
Franchement, 135 balles, c’est raide. Surtout quand on galère déjà à se garer et que la ville nous encourage pas à prendre la bagnole. Un peu de tolérance, non ?
Moi, je vois surtout que ça rapporte du pognon facile à la collectivité. La mobilité, c’est bien, mais à quel prix pour le contribuable ?
C’est vrai que c’est tentant parfois, mais est-ce qu’on pense aux bus bloqués après, et aux gens qui sont en retard à cause de ça ? C’est pas juste pour eux.
Moi, ce qui me dérange, c’est le côté « piège ». On dirait qu’on attend juste qu’on craque pour nous taxer. Un peu plus de pédagogie en amont, ça serait pas du luxe.
La semaine de la mobilité ? Plutôt la semaine de l’immobilisation et de la tentation. J’avoue, j’ai déjà regardé ces voies de bus d’un sale oeil dans les bouchons.
Je comprends l’amende. Les voies de bus, c’est pas juste une commodité, c’est essentiel pour le service public. Sans ça, autant supprimer les bus.
Je suis partagé. La voie de bus vide quand je suis coincé, c’est comme une oasis. Mais je me demande si le problème n’est pas plus profond : pourquoi tant de bouchons, en fait ?
Pour être honnête, je trouve ça hypocrite. On nous demande de moins polluer, mais on nous coince dans des bouchons qui font tourner les moteurs pour rien.
Personnellement, je me dis que l’article oublie un truc : les livreurs. Eux, ils font comment pour bosser pendant cette semaine ?
Je me demande si cette semaine de la mobilité n’est pas contre-productive. Au lieu de promouvoir des alternatives, elle ne fait que frustrer les automobilistes.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le manque d’alternatives viables. On nous parle de mobilité douce, mais les pistes cyclables sont souvent dangereuses ou inexistantes.
Ça me fait penser à une chasse aux sorcières. On tape sur l’automobiliste, mais on ignore le vrai problème : l’aménagement urbain.
C’est vrai que l’amende est salée. Mais j’ai l’impression qu’on oublie souvent les personnes à mobilité réduite qui dépendent vraiment des transports en commun.
C’est simple : si les transports en commun étaient plus fiables et fréquents, moins de gens seraient tentés de tricher.
Franchement, 135€, ça calme direct. Je préfère être en retard que de payer ça.
On dirait qu’on veut juste faire du chiffre sur le dos des automobilistes. Un peu facile, non ?
J’ai peur que cette répression ne fasse qu’aggraver la colère des gens. On a l’impression d’être pris en otage.
Ce qui me gêne le plus, c’est qu’on utilise la mobilité douce comme prétexte pour compliquer la vie de ceux qui n’ont pas le choix de prendre la voiture.
Moi, je suis surtout agacé par le manque de clarté de la signalisation. On se retrouve parfois sur ces voies sans vraiment comprendre pourquoi.
Moi, ça me rappelle juste que je dois vraiment faire attention à ne pas suivre aveuglément mon GPS quand ça bouchonne. Il a failli me faire prendre une voie de bus l’autre jour!
Je me demande si cette sévérité ne va pas pousser certains à des comportements encore plus dangereux pour éviter l’amende.
On en parle beaucoup, mais bizarrement, je n’ai jamais vu un contrôle de ce type. Est-ce que c’est vraiment si fréquent que ça ?
Je comprends l’agacement, mais si plus de gens respectaient les règles dès le départ, on n’en serait pas là. C’est une question de civisme, non ?
Honnêtement, la « semaine de la mobilité », c’est surtout la semaine de l’immobilité pour moi. On nous encourage à changer nos habitudes, mais on ne nous donne pas toujours les moyens concrets de le faire.
Je trouve que c’est hypocrite. On nous vend la mobilité douce, mais sans alternative crédible pour les zones mal desservies. C’est de la punition, pas de l’incitation.
C’est pénible cette culpabilisation permanente. On dirait que la voiture est devenue l’ennemi public numéro un, alors que pour beaucoup, c’est indispensable pour travailler.
Ces voies de bus vides, c’est une invitation permanente. On se dit que c’est du gâchis de ne pas les utiliser quand le reste est bloqué.
C’est marrant, je me suis toujours demandé qui utilisait ces caméras. Ça donne l’impression d’être surveillé en permanence.
Moi, j’ai surtout peur de me retrouver à devoir justifier ça auprès de mon employeur si je suis en retard. Une amende, c’est une chose, mais les conséquences…
Je suis partagé. D’un côté, la règle est claire. De l’autre, je comprends la frustration quand on est coincé et qu’on voit cet espace inutilisé. Ça interroge la pertinence de l’aménagement urbain.
Moi, j’ai juste l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. 135€, ça fait cher la minute gagnée, non ?
Franchement, j’ai peur que ça encourage certains à faire des queues de poisson dangereuses pour éviter l’amende. La sécurité routière avant tout!
Moi, ce qui m’énerve, c’est qu’on verbalise ça mais on ne règle pas le problème des bouchons. C’est la facilité.
Perso, je me demande si c’est vraiment efficace pour encourager les transports en commun. Un trajet plus rapide en bus, oui, mais si c’est pour être bloqué après…
Je me demande si une signalisation plus claire et visible ne serait pas plus efficace qu’une amende dissuasive. Peut-être des panneaux lumineux qui changent en fonction de l’heure et de l’affluence ?
La semaine de la mobilité, c’est bien joli, mais ça devrait aussi signifier plus de bus, pas juste des amendes.
Pour moi, c’est simple : si tu enfreins la règle, tu assumes. Après, est-ce que la règle est toujours juste, c’est une autre question.
C’est sûr que ça frustre, mais en même temps, je me dis que si on n’avait pas ces voies réservées, les bus seraient encore plus lents. Pensons aux personnes qui n’ont pas le choix.
Les voies de bus vides, c’est un peu comme une oasis dans le désert… Sauf que l’oasis est un mirage à 135€. Je me demande si on pourrait pas les ouvrir temporairement aux heures de pointe, en dehors des passages de bus.
Moi, j’ai surtout peur de me faire flasher sans même m’en rendre compte. On est tellement concentré sur la route.
Voir ces voies vides quand on est coincé, c’est une torture psychologique ! On a l’impression d’être puni pour utiliser sa voiture, alors qu’on n’a parfois pas le choix.
Je comprends la frustration, mais je trouve qu’on oublie souvent que ces voies servent aussi aux taxis et aux véhicules d’urgence. Si tout le monde les emprunte, c’est le chaos pour tout le monde.
Je me suis fait avoir une fois. J’étais perdu, le GPS déconnait et j’ai bifurqué instinctivement. L’amende est arrivée 15 jours après. Rageant.
Moi, ce qui m’agace, c’est le sentiment d’être pris pour un pigeon. On se demande si l’objectif est vraiment de fluidifier la circulation ou juste de renflouer les caisses.
Je trouve ça hypocrite de parler de mobilité alors que la solution proposée est souvent punitive. On dirait qu’on veut nous faire culpabiliser d’exister.
C’est le serpent qui se mord la queue. On encourage les transports en commun, mais on laisse les voies dédiées désespérément vides, créant une frustration monstre.
La vidéo-verbalisation me fait penser aux radars automatiques. On finit par conduire avec la peur au ventre, plus qu’avec l’envie d’arriver à destination.
Je me demande si le problème n’est pas un manque de pédagogie. On devrait mieux expliquer pourquoi ces voies sont nécessaires, au lieu de juste punir.
C’est vrai que l’amende fait mal, mais je pense qu’on devrait se demander si on a vraiment besoin de la voiture en centre-ville.
C’est simple, la signalisation est souvent mauvaise. On se retrouve sur la voie sans l’avoir vraiment cherché.
Finalement, la semaine de la mobilité se transforme en semaine de la fiscalité déguisée. C’est décourageant.
Moi, je me demande si on ne pourrait pas autoriser l’accès aux voies de bus en dehors des heures de pointe. Ça les rendrait moins frustrantes.
Franchement, c’est pénible. On dirait qu’on est des vaches à lait. Ils pourraient au moins mettre des panneaux plus clairs avant de verbaliser.
Perso, je trouve ça logique. Si les voies de bus étaient toujours accessibles, elles ne serviraient à rien. C’est le prix à payer pour un transport en commun efficace.
Je me suis fait avoir une fois. Depuis, j’évite comme la peste les voies de bus, même vides. Le jeu n’en vaut pas la chandelle.
Je comprends la logique derrière les voies de bus, mais l’impression d’être piégé est réelle. On se sent parfois obligé de passer par là, sans réelle alternative.
La semaine de la mobilité ? Plus jamais ! J’ai passé plus de temps à stresser qu’à me déplacer. C’est contre-productif pour encourager des alternatives à la voiture.
C’est rageant de voir son budget bougé par une erreur d’inattention. Peut-être que l’argent des amendes devrait financer l’amélioration des transports en commun ?
Moi, ce qui m’agace, c’est surtout le sentiment d’incohérence. On nous encourage à utiliser les transports en commun, mais ils sont souvent bondés et peu fiables.
Moi, je pense qu’il faudrait un peu plus de pédagogie au lieu de juste sanctionner. Une campagne d’information claire sur les enjeux des voies de bus, ça serait plus utile, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de la sanction, jamais de la raison pour laquelle les gens prennent ces voies. Y a un vrai problème de fluidité de circulation en ville, non ?
C’est surtout la rapidité de la verbalisation qui me choque. On dirait qu’ils attendent juste qu’on commette l’erreur. Un peu de tolérance serait bienvenue.
Moi, je me demande si ces amendes ne sont pas une manière déguisée de financer la semaine de la mobilité elle-même. Drôle d’ironie.
C’est vrai que la semaine de la mobilité, c’est souvent la semaine de l’immobilité pour beaucoup. On se sent presque puni d’habiter en ville.
C’est vrai que 135€, ça fait mal. Mais bon, les règles sont claires, non ? On ne peut pas dire qu’on ne savait pas.
Franchement, 135€, c’est le prix de deux pleins d’essence ! On ne se fait pas avoir une deuxième fois. Je vais rouler en suivant Waze à la lettre, quitte à faire un détour de 10 km.
Je crois que le problème de fond, c’est qu’on considère encore trop la voiture comme la solution unique.
C’est toujours la même rengaine. On diabolise l’automobiliste, mais on oublie qu’il y a des gens qui n’ont pas le choix, faute d’alternatives viables.
Moi, j’évite le centre-ville pendant la semaine de la mobilité. C’est devenu un réflexe. Tellement plus simple de rester chez soi.
Je suis plus agacé qu’autre chose. On dirait qu’on nous tend un piège. La mobilité devrait être facilitée, pas punie.
La semaine de la mobilité, c’est un peu le serpent qui se mord la queue. On veut inciter à moins utiliser la voiture, mais on rend la vie impossible à ceux qui doivent l’utiliser.
Les voies de bus, c’est pratique quand on est dans le bus… mais rageant quand on est bloqué à côté. Je comprends la tentation, même si c’est pas bien.
C’est toujours pareil, on tape sur ceux qui essaient juste de vivre et de travailler. On pourrait peut-être réfléchir à des vraies solutions pour fluidifier la circulation, non ?
La vidéoverbalisation, c’est efficace, mais ça ne remplace pas une vraie présence policière qui pourrait fluidifier le trafic en temps réel.
Moi, je me demande si l’argent des amendes est réinvesti dans les transports en commun. Parce que si c’est juste pour renflouer les caisses, c’est un peu facile.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que cette focalisation sur les amendes masque le vrai problème : un manque criant d’investissements dans les transports en commun en périphérie.
C’est fou comme on se focalise sur la sanction alors que la priorité devrait être la communication. Un panneau clair avant chaque portion de voie de bus rappellerait l’interdiction et l’amende.
Ces amendes, ça me fait penser à une punition collective. On règle un problème de fond avec une solution simpliste.
Je me suis fait avoir une fois. Depuis, je redouble d’attention, mais la signalisation est parfois trompeuse, surtout quand il pleut et que les marquages au sol sont effacés.
Franchement, je pense que la semaine de la mobilité est une hypocrisie tant qu’on n’offre pas d’alternatives viables à tous.
C’est vrai que 135€, ça pique. Mais bon, la règle est claire, non ? On ne peut pas dire qu’on n’était pas au courant.
Moi, je trouve ça mesquin de profiter de la semaine de la mobilité pour verbaliser à tout va. On dirait qu’on cherche à décourager les gens plus qu’à les éduquer.
Moi, ça me fait surtout paniquer pour mes parents qui sont âgés et conduisent encore. Ils ne comprennent pas toujours ces nouvelles règles.
Perso, j’ai l’impression qu’on diabolise la voiture.
La « semaine de la mobilité », c’est devenu la semaine de la culpabilisation, non? J’ai l’impression d’être pris en otage dans ma propre ville.
Je comprends la logique des voies de bus, mais je me demande si la vidéoverbalisation n’est pas un peu trop facile… On se sent surveillés en permanence.
Moi, je vois surtout que la ville est de moins en moins pensée pour les gens qui y vivent et y travaillent. On dirait qu’on veut nous forcer à changer nos habitudes, sans se soucier de nos besoins.
Je me demande si cette répression accrue ne va pas juste inciter les gens à prendre leur voiture ailleurs, engorgeant des quartiers résidentiels.
J’ai l’impression que l’article oublie un peu le but premier des voies de bus : fluidifier le trafic pour ceux qui prennent les transports en commun. C’est pas juste une question de piège à amendes,…
Je ne suis pas certain que la vidéoverbalisation soit si efficace pour faire changer les mentalités. Peut-être que des campagnes de prévention plus ciblées seraient plus utiles.
Je me demande si les recettes des amendes sont réinvesties dans les transports en commun. Ce serait plus acceptable si c’était le cas.
Franchement, 135€, ça fait cher le raccourci. Perso, j’ai renoncé à la voiture en ville, trop de stress.
C’est sûr que c’est frustrant. Une fois, j’ai suivi le GPS qui m’a fait prendre une voie de bus… J’étais perdu, pas pour gagner du temps.
C’est pas tant l’amende qui me gêne, c’est le sentiment d’être pris pour un pigeon. On se sent forcé de choisir les transports en commun, mais l’offre est souvent insuffisante.
Perso, j’ai toujours trouvé ça ironique : « semaine de la mobilité » et on se retrouve encore plus bloqués qu’avant. L’intention est bonne, mais l’exécution…
La « semaine de la mobilité », c’est surtout la semaine où je stresse de devoir aller bosser en voiture. J’ai l’impression d’être un criminel en puissance à chaque trajet.
Je me demande si c’est vraiment une « tentation ». Parfois, c’est juste qu’on ne voit pas bien les panneaux, surtout quand il pleut.
Marre de cette culpabilisation constante. On dirait qu’on est tous des délinquants en puissance dès qu’on prend le volant.
Moi, ce qui me choque, c’est la présomption de culpabilité. On part du principe que tout le monde veut frauder, c’est usant.
Moi, je me demande surtout si les bus sont vraiment plus rapides, en fait. Souvent, ils sont pris dans les mêmes bouchons que nous !
Moi, je comprends la règle. Mais parfois, voir ces voies vides quand tout est bloqué, ça rend fou. On se dit qu’on ne gênerait personne.
Je trouve que l’article oublie un peu l’impact sur les personnes à mobilité réduite. Ces voies servent aussi à faciliter leur accès aux transports.
Moi, je trouve que l’article est un peu alarmiste. On dirait qu’on pose des pièges intentionnellement. C’est oublier que la plupart des gens essaient juste de se déplacer.
Franchement, ça me rappelle surtout les zones 30 qu’on oublie et où on se fait flasher. C’est la même logique de rentabilisation sur le dos des automobilistes.
Moi, je me demande si une signalisation plus claire et temporaire pendant ces événements ne serait pas plus efficace que les amendes. On éviterait les malentendus.
Moi, je me dis que si les transports en commun étaient une vraie alternative agréable et pratique, moins de gens seraient tentés de prendre la voiture, et donc, les voies de bus resteraient libres naturellement.
Moi, ce qui m’agace, c’est l’hypocrisie. On nous encourage à prendre les transports en commun, mais le prix des abonnements augmente chaque année…
Bof, l’article oublie que certains doivent vraiment utiliser leur voiture. Penser à ceux qui bossent en horaires décalés et n’ont pas d’autres options.
C’est pas faux, mais l’article focalise trop sur l’amende. Perso, j’ai surtout peur d’endommager ma voiture si je roule sur ces voies qui sont souvent pas super entretenues.
C’est vrai que l’amende pique, mais l’article oublie que les voies de bus sont aussi là pour les taxis et les VTC. C’est pas juste une question de bus, quoi.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de l’automobiliste « piégé ». Mais le vrai piège, c’est peut-être de croire qu’on peut encore tout faire en voiture en ville.
La semaine de la mobilité, c’est surtout la semaine où je me sens coupable d’exister en voiture.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que cette focalisation sur les amendes cache le vrai problème : on ne règle pas la congestion avec ça.
Ce qui me dérange, c’est le ton infantilisant. On dirait qu’on est tous des gamins qu’il faut punir, au lieu de nous donner envie de faire les bons choix.
Perso, je me demande si c’est pas une question de civisme avant tout. On connait les règles, non ?
Je trouve l’expression « piège » un peu forte. On sait qu’on n’a pas le droit, non? C’est de la responsabilité individuelle, point.
C’est surtout frustrant de voir ces voies vides quand on est coincé dans un bouchon. On se dit forcément qu’on gagnerait du temps. Le problème, c’est peut-être qu’il n’y a pas assez de bus qui les utilisent, du coup ça donne cette impression de gâchis.
Franchement, je me demande si l’efficacité des transports en commun est vraiment au rendez-vous pour justifier ces voies réservées.
Moi, j’ai surtout l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait avec ces amendes.
Les rares fois où j’ai pris une voie de bus, c’était plus par erreur d’inattention que par volonté de tricher. La signalisation pourrait être plus claire, surtout dans les zones en travaux.
Moi, je me demande si ces amendes ne créent pas plus de ressentiment qu’elles n’incitent vraiment à utiliser les transports en commun. Ça me braque, personnellement.
J’ai l’impression que l’article oublie un peu ceux qui habitent en périphérie et n’ont pas d’alternatives viables. Le bus, c’est parfois juste pas possible en termes de temps et de praticité.
La semaine de la mobilité, c’est l’enfer. J’ai l’impression que la ville devient un jeu de « qui perd gagne » où le seul but est de ne pas se faire verbaliser.
Je me demande si l’accent mis sur la répression ne masque pas un manque d’investissement dans des alternatives réellement attractives.
Ça me rappelle quand j’ai dû emmener ma mère à l’hôpital en urgence. La voie de bus était la seule option pour arriver à temps. J’espère que les agents font preuve de discernement dans ces cas-là.
On dirait qu’on oublie le stress que ça ajoute de devoir surveiller chaque panneau. C’est épuisant de conduire en ville maintenant.
C’est vrai que l’amende est salée, mais pour une fois, je comprends. Faut bien que les bus puissent circuler, sinon c’est le bazar pour tout le monde.
C’est rageant, parce qu’on se sent vraiment comme des proies. On dirait qu’ils attendent juste qu’on craque.
En tant que piéton, je me demande si ces voies de bus sont vraiment toujours utilisées de manière optimale.
C’est facile de taper sur les automobilistes, mais on oublie souvent qu’on n’a pas tous le luxe de pouvoir faire autrement.
Franchement, ça me fait toujours sourire, cette indignation soudaine. On sait que les voies de bus sont interdites, non ? C’est comme râler d’avoir une contravention pour excès de vitesse.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’image de la ville qu’on construit : toujours plus punitive, toujours moins fluide. On dirait qu’on oublie que derrière chaque volant, il y a une vie.
Moi, je me dis que si les voies de bus sont si tentantes, c’est peut-être qu’il y a un vrai problème de fluidité globale. On devrait peut-être s’attaquer à la racine du problème plutôt qu’aux symptômes.
Moi, ce qui me frappe, c’est le silence sur l’impact pour les commerçants. Moins de voitures, c’est souvent moins de clients. On y pense, à ça ?
Perso, je trouve ça ironique qu’on parle de mobilité pendant que tout est bloqué. La semaine de la mobilité, c’est souvent la semaine de l’immobilité, en fait.
Moi, je suis surtout agacé par le côté « coup de pub » de la semaine de la mobilité. On nous culpabilise une semaine, et après, on retourne au statu quo ?
Je me demande si la solution ne serait pas une signalisation plus claire, plus visible, surtout pendant cette semaine de la mobilité. On se sent parfois vraiment perdu dans ce labyrinthe urbain.
Moi, ça me rappelle surtout l’angoisse de devoir se justifier auprès de son employeur quand on arrive en retard. L’amende, c’est une chose, mais les conséquences…
En tant que piéton, je me demande si ces voies de bus sont vraiment toujours utilisées de manière optimale. Quand je vois des bus vides passer, je me dis qu’on pourrait peut-être trouver un meilleur équilibre.
135€, ça pique, c’est sûr. Mais peut-être que ça force les gens à envisager le vélo, le bus, ou même… la marche ? Un mal pour un bien, peut-être.
C’est facile de taper sur les automobilistes, mais personne ne parle des alternatives crédibles en dehors des grandes villes.
C’est vrai que la semaine de la mobilité, ça coince. Mais je comprends les bus, ils doivent arriver à l’heure, c’est important pour ceux qui bossent.
Franchement, je préférerais une augmentation des transports en commun de qualité. L’amende, c’est juste punitif.
Je me suis fait avoir une fois. Depuis, je regarde partout, même quand je connais la route. On se sent vraiment pris au piège.
Moi, ce qui me dérange, c’est que ça rapporte plus d’argent que ça n’améliore réellement la circulation. On dirait une taxe déguisée sur la galère.
Je me demande si on verbalise autant les camions de livraison qui bloquent les pistes cyclables. L’hypocrisie ambiante me fatigue.
Je trouve ça dommage que l’article se concentre juste sur l’amende. Personne ne parle du stress que ça engendre de risquer de se perdre dans une ville qu’on ne connaît pas.
Moi, ce qui m’énerve, c’est qu’on dirait qu’on est tous des délinquants en puissance. On devrait parler de solutions, pas de punitions.
On se focalise trop sur les sanctions, mais personne ne parle de la signalisation souvent ambiguë. J’ai failli me faire avoir plus d’une fois à cause de ça.
C’est pas faux, mais si les bus étaient plus fréquents, on n’aurait peut-être pas cette tentation de griller la priorité. C’est un cercle vicieux, non?
Moi, ça me rappelle surtout que la voiture, c’est devenu un luxe qu’on n’a plus le droit d’utiliser sans culpabiliser. Triste époque.
C’est vrai que c’est rageant, mais faut dire qu’on est prévenus. Après tout, c’est écrit « BUS » en gros, non ?
C’est vrai que ça frustre, mais je me dis que si je prends la voiture en ville pendant la semaine de la mobilité, je dois m’attendre au pire. C’est le jeu.
135€ pour ça, c’est du vol ! Surtout quand on voit l’état des routes qu’on paye déjà avec nos impôts. Y’a vraiment des priorités à revoir.
C’est toujours pareil, on tape sur les automobilistes alors qu’on les encourage à prendre leur voiture en les parquant loin du centre. Cherchez l’erreur.
Plus que le montant de l’amende, c’est le sentiment d’être pris pour un pigeon qui me dérange. On dirait une chasse à l’automobiliste organisée.
Est-ce que ces voies de bus ne pourraient pas être ouvertes aux covoitureurs, au moins pendant les heures de pointe ? Ce serait un vrai encouragement aux alternatives à la voiture solo.
Finalement, cette amende me semble juste. Le bus, c’est le transport en commun de ceux qui n’ont pas les moyens de se payer une voiture. Y’a une forme de respect à avoir.
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on utilise la mobilité comme prétexte pour nous faire payer. On devrait se concentrer sur des solutions concrètes plutôt que des amendes.
Je comprends la frustration, mais peut-être que cette amende nous force à repenser nos déplacements et à considérer le vélo, quand c’est possible.
La semaine de la mobilité, c’est un peu la semaine de la culpabilité pour les automobilistes. On se sent visés.
Moi, ce qui me dérange, c’est que ces contrôles ne règlent pas le problème de fond : l’incapacité des villes à gérer les flux de circulation. L’amende est une rustine.
Moi, je me demande si la signalisation est toujours claire. Parfois, on entre sur une voie sans vraiment comprendre qu’elle est réservée.
C’est fou comme on diabolise la voiture ! J’ai l’impression d’être puni parce que je travaille et que j’ai besoin de me déplacer.
Je me demande si l’argent de ces amendes sert vraiment à améliorer les transports en commun ou si ça renfloue juste les caisses… Ça me laisse un goût amer.
C’est vrai que 135€, ça pique. Mais quand je vois les bus bloqués par les voitures, je me dis que c’est peut-être le prix à payer pour que ça roule, au moins pour eux.
Je trouve ça hypocrite. On nous encourage à la voiture électrique, mais on ne fait rien pour fluidifier la circulation. On préfère empocher l’argent des amendes.
Pour moi, c’est surtout une question de planification urbaine. On entasse des gens dans des métropoles sans anticiper les conséquences sur la circulation.
Franchement, j’ai plus peur de me faire agresser dans les transports en commun que de prendre une amende en voiture. C’est ça qui me fait choisir, au final.
Je me suis fait avoir une fois. J’étais perdu, le GPS m’a envoyé là. 135€ pour une erreur d’orientation, c’est cher payé.
Je comprends que les bus doivent circuler, mais parfois, j’ai l’impression qu’on cherche juste à faire du chiffre sur notre dos.
La semaine de la mobilité ? Plutôt la semaine de l’immobilité et des PV.
C’est toujours le même refrain : on prétend encourager les alternatives, mais on rend la voiture tellement pénible que c’est contre-productif. On dirait qu’on joue au chat et à la souris.
Finalement, ça me force à être plus attentif et à mieux planifier mes trajets. Une bonne chose, même si c’est douloureux pour le porte-monnaie !
La verbalisation, c’est facile. Mais offrir des alternatives crédibles, c’est une autre paire de manches. On préfère la punition à l’incitation.
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on ne pense jamais aux livreurs. Comment on fait, nous, pour livrer rapidement en centre-ville si on est bloqués partout ?
Moi, je me demande si ces amendes ne créent pas encore plus de stress au volant. C’est pas en étant angoissé qu’on conduit mieux, non?
Moi, je me demande surtout si ces voies de bus sont vraiment utilisées à 100% du temps. Ne pourrait-on pas trouver un compromis pour les heures creuses ?
Moi, je trouve que cet article oublie un peu l’objectif premier : fluidifier la circulation pour les bus. C’est quand même un service public important.
C’est rageant, mais au fond, je me dis que si tout le monde respectait les règles, il n’y aurait pas de problème. C’est l’incivilité qui crée ces situations.
C’est vrai que 135€, ça fait mal. Perso, j’ai surtout peur de griller un feu en essayant d’éviter la voie de bus, plus que de prendre la voie elle-même.
Franchement, je comprends la frustration, mais je pense que les conducteurs oublient un peu vite qu’ils ne sont pas seuls sur la route.
Moi, j’ai l’impression qu’on nous infantilise en permanence. C’est comme si la ville était un jeu de piste où le but est de ne pas se faire gauler.
Cette histoire de voies de bus, ça me rappelle surtout que la voiture est devenue un luxe en ville. On nous pousse dehors, littéralement.
Les voies de bus, c’est un peu comme le gruyère : plein de trous où on se dit qu’on pourrait passer. Mais en fait, non. Juste bon à se faire piéger.
La semaine de la mobilité, c’est devenu la semaine de l’immobilité pour mon porte-monnaie, on dirait. Je me sens pris en otage, coincé entre l’envie d’aller bosser et la peur de me faire plumer.
Je me demande si une signalisation plus claire et visible ne serait pas plus efficace que la répression pure. On se sent parfois pris pour des vaches à lait.
Je me suis fait avoir une fois. Depuis, j’ai installé Waze qui m’alerte avant que je ne commette l’irréparable. C’est l’investissement le moins cher que j’ai fait !
Ils pourraient au moins utiliser cet argent pour améliorer les transports en commun au lieu de juste punir.
Peut-être que si les bus étaient plus fréquents, on n’aurait pas autant besoin de prendre la voiture.
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on diabolise la voiture alors qu’elle est parfois indispensable pour bosser. On fait comment sans ?
Moi, je trouve ça hypocrite. On encourage l’électrique, mais après, on rend la circulation impossible. Faudrait savoir ce qu’on veut.
C’est vrai que l’amende est salée, mais je me demande si on ne devrait pas plutôt s’interroger sur notre dépendance à la voiture, surtout en ville.
C’est vrai que c’est frustrant, mais je comprends l’objectif. Moins de voitures, c’est quand même mieux pour tout le monde, non ?
Franchement, 135€ pour une voie de bus, ça me paraît disproportionné. On dirait qu’ils misent tout sur la punition, sans chercher à comprendre pourquoi les gens le font. Un peu facile, non ?
Moi, ce qui me choque, c’est le timing. La semaine de la mobilité, c’est censé nous inciter à changer nos habitudes, pas à nous ruiner. Drôle de façon d’encourager !
C’est pas l’amende qui me dérange, c’est l’impression de jouer à un jeu perdu d’avance contre l’administration. On se sent juste impuissant.
Personnellement, je trouve qu’on oublie souvent la gêne occasionnée aux bus eux-mêmes. Retarder un bus, c’est impacter des dizaines de personnes.
Ce que je trouve dingue, c’est qu’on parle toujours de la sanction, jamais de la signalisation. Est-elle claire et visible, au moins ?
On dirait qu’on oublie que les voies de bus servent aussi aux taxis et aux VTC. C’est pas très cohérent, tout ça.
Je me demande si ces amendes ne sont pas une façon déguisée de financer la semaine de la mobilité elle-même. C’est un peu cynique.
Je me demande si ces amendes ne poussent pas les gens à prendre des itinéraires encore plus longs et polluants pour éviter les voies de bus. Ironique, non ?
Moi, je me demande surtout où sont les alternatives crédibles. On nous parle de mobilité douce, mais quand on habite à 15km du centre, c’est vite compliqué.
Moi, j’ai juste peur de me faire flasher sans m’en rendre compte, et de recevoir la mauvaise surprise plus tard. Le stress est constant.
La verbalisation accrue, c’est peut-être le seul moyen de faire respecter les règles. On râle, mais si on ne faisait pas ça, ce serait le chaos complet.
Je comprends la règle, mais 135€ pour ça, c’est disproportionné. On dirait qu’on cherche plus à punir qu’à éduquer.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. La semaine de la mobilité, c’est justement le moment où l’on devrait être plus tolérant, pas plus répressif.
Je suis partagé. Certes, c’est cher, mais voir une voie de bus bloquée par une voiture, ça énerve au plus haut point quand on est coincé dans le bus !
Plus que l’amende, c’est l’impression d’être pris pour un pigeon qui me dérange. On est censés encourager la mobilité partagée, mais on dirait qu’on organise le racket.
Franchement, je trouve qu’on diabolise trop l’automobiliste. Parfois, la signalisation est carrément ambigüe, surtout quand il pleut et qu’on est fatigué. On fait tous des erreurs.
C’est simple : si les voies de bus étaient mieux pensées, avec des marquages clairs même par mauvais temps, il y aurait moins d’erreurs. L’erreur est humaine, l’incompréhension, elle, est évitable.
Moi, ça me rappelle surtout que je devrais vraiment prendre le vélo plus souvent. C’est un rappel à l’ordre.
Moi, je me demande si cet argent des amendes est vraiment réinvesti dans l’amélioration des transports en commun… J’ai comme un doute.
C’est surtout la perte de temps qui m’agace. L’amende, c’est une chose, mais le stress et les démarches pour contester une erreur, c’est pénible.
Je me demande si ces amendes ne poussent pas certains à moins respecter les autres règles, en mode « quitte à payer »…
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur le commerce local. Si les gens évitent le centre à cause des bouchons et des amendes, qui va acheter ?
C’est quand même ironique, cette « semaine de la mobilité » qui finit par immobiliser tout le monde et vider les portefeuilles. On se croirait dans une pièce de théâtre absurde.
Bof, 135€ c’est le prix à payer pour gagner du temps. À chacun de voir si ça vaut le coup, non ?
C’est sûr que voir une voie libre quand on est coincé, c’est tentant. Mais perso, j’ai toujours peur de gêner un bus qui arrive.
Moi, je trouve surtout ça infantilisant. On nous prend pour des idiots incapables de comprendre un panneau. Un peu de pédagogie au lieu de la répression, ça serait pas du luxe.
Franchement, ça me rappelle surtout que la voiture en ville, c’est devenu un luxe que je ne peux plus me permettre, financièrement et nerveusement.
Le problème, c’est surtout que les alternatives à la voiture ne sont pas toujours viables. C’est facile de verbaliser, moins de proposer des solutions concrètes.
Les voies de bus vides me font culpabiliser. On dirait que je les prive de leur utilité.
La verbalisation, c’est facile, mais les bus, ils sont vraiment à l’heure ? Parce que si c’est pour une voie « réservée » où ils passent toutes les demi-heures…
Je comprends la logique des voies de bus, mais je trouve la communication municipale souvent maladroite. On dirait qu’ils cherchent plus à piéger qu’à réellement encourager le changement.
La semaine de la mobilité… Une semaine où je me sens plus coupable que jamais de prendre ma voiture, même pour aller bosser.
Je suis d’accord sur le fond, mais je pense que la vidéoverbalisation est une bonne chose. Ça dissuade vraiment, et c’est le but, non ?
Moi, ce qui m’agace, c’est le côté « coup de matraque » systématique. On dirait qu’on est juste des vaches à lait.
135€, ça pique ! Mais finalement, ça me rappelle que j’ai promis de me remettre au vélo… peut-être que c’est le bon moment.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. La semaine de la mobilité, c’est précisément le moment où on devrait faire preuve de plus de tolérance, non ?
Moi, ça me fait surtout penser à la complexité de circuler en ville. On est toujours tiraillés entre des injonctions contradictoires.
C’est vrai que c’est tentant ces voies de bus vides, mais je me demande toujours si une urgence n’arrive pas justement à ce moment-là… et là, je bloque tout. La peur de gêner me retient.
C’est pas tant l’amende qui me dérange, c’est l’impression qu’on nous infantilise. On sait qu’on ne doit pas prendre les voies de bus, pas besoin de planquer des caméras.
Franchement, je me demande si l’argent de ces amendes sert vraiment à améliorer les transports en commun. J’ai un gros doute.
Je trouve que l’article oublie un peu le stress de chercher une place en ville. Tourner pendant des plombes, ça pollue aussi !
Perso, je trouve qu’on oublie souvent ceux qui habitent en périphérie et n’ont pas d’alternatives crédibles à la voiture. C’est facile de prôner le vélo quand on habite en centre-ville.
Moi, ce qui me gêne, c’est l’hypocrisie. On prône la mobilité douce, mais les infrastructures sont souvent inadaptées et dangereuses pour les cyclistes. C’est ça le vrai problème.
Je me demande si le problème n’est pas la signalisation des voies de bus, souvent confuse, surtout quand on ne connaît pas bien la ville.
Bof, tout ça me rappelle surtout que la voiture, c’est la liberté… jusqu’à ce qu’on reçoive l’amende.
En fait, ce qui me choque, c’est qu’on parle toujours de l’automobiliste « piégé ». Personne ne parle du bus bloqué, lui. C’est ça le souci, non ?
Cette histoire d’amende, c’est surtout le symbole d’un ras-le-bol général face à la circulation. On se sent coincés de tous les côtés.
Moi, je vois surtout que l’article parle d’automobilistes *piégés*. Piégés par eux-mêmes, non ? On connaît la règle.
C’est toujours la même histoire, on diabolise l’automobiliste. Personne ne parle des livraisons en ville, pourtant vitales. Qui livre les restos et les commerces ? Des hélicoptères ?
Moi, ce qui me frappe, c’est cette manie de tout voir en termes de « piège ». On est quand même responsables de nos actes, non ? On sait que c’est interdit, point.
Je pense qu’on gagnerait à avoir plus de pédagogie au lieu de simplement sanctionner. Un rappel des règles en début de semaine de la mobilité serait plus constructif.
Moi, ce qui me dérange, c’est l’impression que la ville est devenue une source de revenus avant tout. On dirait qu’on cherche plus à remplir les caisses qu’à fluidifier le trafic.
La semaine de la mobilité, c’est censé inciter à autre chose qu’à râler contre les amendes, non ? Moi, je prends le vélo et je suis bien content de voir les voies de bus dégagées.
Moi, je me demande si verbaliser à tour de bras règle vraiment le problème de fond. On devrait peut-être repenser la gestion du trafic en général.
C’est vrai que 135€ ça pique. Mais honnêtement, quand je vois le bazar que ça met quand une voiture bloque une voie de bus, je comprends la sévérité.
Je suis partagé. Oui, la règle est claire. Mais parfois, le marquage au sol est effacé, surtout par temps de pluie. On fait comment dans ces cas-là ?
Moi, je me demande si les bus sont vraiment plus rapides pendant la semaine de la mobilité. J’ai l’impression qu’ils sont aussi coincés que nous, non ?
Je trouve l’expression « piège » un peu forte. C’est pas un complot non plus ! Juste une règle qu’on connaît et qu’on choisit de ne pas respecter, parfois.
Franchement, la semaine de la mobilité, je me sens pris en otage. On nous encourage à changer nos habitudes, mais l’alternative est souvent pire que le problème.
Cette « semaine de la mobilité », ça me fait surtout penser à un parcours du combattant. Entre le stress et l’amende potentielle, je préfère rester chez moi.
Moi, ça me fait rire jaune. La semaine de la mobilité, c’est la semaine où la ville se rappelle qu’elle a des bus.
135€, ça fait cher le raccourci. Perso, je préfère mettre Waze et contourner, même si c’est plus long. Au moins, je garde mon argent.
Le « piège » est peut-être exagéré, mais l’amende, elle, est bien réelle. J’ai juste peur que ça braque plus qu’autre chose.
Moi, je dis qu’ils devraient afficher clairement le prix de l’amende avant d’entrer dans la voie. Une petite pancarte lumineuse, ça dissuaderait peut-être plus que la peur du radar.
Moi, ce qui m’agace, c’est l’hypocrisie. On nous parle mobilité douce, mais on ne fait rien pour que ce soit vraiment pratique au quotidien.
C’est marrant, on dirait qu’on découvre que la loi s’applique. Perso, je trouve normal de payer si on enfreint les règles. Point.
C’est vrai que c’est cher payé. Moi, ce qui m’énerve, c’est que la signalisation des voies de bus est parfois vraiment mal foutue. On ne sait pas toujours si on a le droit d’y rouler à certaines heures.
Je me demande si l’argent des amendes sert vraiment à améliorer les transports en commun. J’ai l’impression que c’est juste une source de revenus facile pour la ville.
Moi, j’avoue que ça me stresse cette histoire. J’ai toujours peur, même en respectant le code, de louper un panneau et de me retrouver piégé. C’est une angoisse permanente.
Je trouve le terme « piège » un peu fort. C’est surtout un rappel que les règles existent pour fluidifier le trafic. On est tous responsables de nos choix sur la route.
La « semaine de la mobilité »… c’est surtout la semaine où je me sens coupable d’avoir une voiture. On dirait qu’on est le problème, pas la solution.
C’est surtout décourageant. J’ai l’impression qu’on nous infantilise en permanence avec ces amendes. On pourrait miser sur l’éducation et la responsabilisation plutôt que la punition.
Franchement, je comprends la tentation. Quand tu vois un bus toutes les 20 minutes et une voie libre… L’amende est peut-être justifiée, mais c’est rageant.
Moi, je me demande si le problème, c’est pas qu’on a rendu la voiture tellement indispensable qu’on en arrive à ça. On est coincés, quoi.
Je suis pas sûr que ce soit vraiment une question de piège. Pour moi, c’est surtout un manque de civisme flagrant.
Moi, ce qui me choque, c’est l’hypocrisie. On nous encourage à la mobilité douce, mais l’infrastructure est souvent inadaptée. On est coincés entre le marteau et l’enclume.
Moi, je trouve qu’on oublie souvent le riverain. Les voies de bus vides, c’est aussi parfois le seul moyen pour certains de rentrer chez eux rapidement.
Pour ma part, je trouve que l’article manque de nuance. Il faudrait aussi parler des efforts faits par les municipalités pour améliorer les transports en commun. Tout n’est pas noir ou blanc.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle toujours des automobilistes, mais rarement des galères des usagers des transports en commun, qui attendent sous la pluie parce qu’une voie est bloquée.
Je me demande si cet argent des amendes est vraiment réinvesti dans les transports en commun. J’aimerais bien voir une étude sur ça.
Perso, j’ai toujours peur de me tromper de voie sans faire exprès, surtout avec le stress des travaux et des déviations. C’est vite arrivé, l’erreur.
Moi, j’ai l’impression que cet article oublie un truc : la signalisation souvent illisible ou carrément absente. C’est facile de se faire piéger, surtout en tant que touriste.
Moi, je pense surtout aux livreurs et artisans. Ils n’ont pas toujours le choix, eux. La voie de bus, c’est parfois la seule solution pour assurer le service.
135€, c’est une somme. Mais quand je vois le prix de l’essence, je me dis que c’est presque un moindre mal pour gagner du temps.
Franchement, ça me gonfle ces articles qui font passer les automobilistes pour des victimes. On connaît les règles, non? Si on prend la voie de bus, on assume.
C’est vrai que l’amende est salée. Moi, je vois surtout ça comme une source de stress supplémentaire au volant. On est déjà tellement crispés…
Je me demande si on ne pourrait pas rendre ces voies accessibles en dehors des heures de pointe, quand elles sont vides. Ce serait plus intelligent que de juste verbaliser.
Ce que je trouve hypocrite, c’est qu’on encourage à prendre les transports en commun, mais qu’on punit ceux qui essaient d’optimiser leur trajet en voiture, faute de mieux.
Je trouve que cet article minimise l’impact sur les petits commerçants, ceux qui ont besoin que leurs clients puissent se garer facilement. La mobilité douce, c’est bien, mais pas si ça tue le commerce de proximité.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. La semaine de la mobilité, c’est justement le moment où on devrait être plus tolérant, non? Un peu de souplesse serait bienvenue.
Je trouve ça navrant qu’on utilise la « mobilité douce » comme un prétexte pour racketter les gens. On dirait une chasse aux sorcières.
Moi, je comprends la frustration, mais je pense aussi aux gens dans les bus qui arrivent en retard à cause de ça. C’est un peu « chacun pour soi » sur la route.
Ces voies de bus vides qui nous narguent… C’est une vraie tentation.
Peut-être que l’argent des amendes pourrait servir à améliorer les transports en commun ?
Je me suis fait avoir une fois.
Moi, ça me fait surtout penser à un manque d’information clair. On sait toujours pas quand *exactement* on peut pas y rouler.
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous parle de « piège ». C’est pas un piège, c’est une règle. On est prévenus.
C’est clair que la vidéoverbalisation, c’est efficace… et rentable.
C’est toujours le même débat : l’intérêt général contre la galère individuelle. Et, franchement, je suis souvent dans la galère.
Je me demande si ces amendes ne sont pas une façon détournée de décourager l’usage de la voiture, quitte à pénaliser ceux qui n’ont pas d’alternative viable.
Je me demande si la signalisation est vraiment adaptée pour qu’on comprenne *avant* de s’engager. C’est souvent trop tard.
Moi, je me demande si une application temps réel, avec une alerte, ne serait pas plus utile qu’une amende après coup.
C’est vrai que 135€, ça fait mal. Mais je me demande si on ne devrait pas s’interroger sur notre propre impatience au volant.
Franchement, la semaine de la mobilité, c’est toujours le même cirque. On nous encourage à moins utiliser la voiture, mais ils ne font rien pour ceux qui bossent et n’ont pas le choix.
C’est le genre d’article qui me fait soupirer. On dirait qu’on est toujours coupable d’avance, même quand on essaie juste de rentrer chez soi.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent le but des voies de bus : fluidifier le transport en commun. Si on les emprunte, on pénalise tout le monde.
Je suis partagé. Comprendre les règles, oui, mais quand la ville devient un labyrinthe exprès, c’est frustrant.
Ils pourraient au moins mettre des panneaux plus clairs avant les virages. J’ai failli me faire avoir la semaine dernière, par pure inattention.
C’est vrai que les voies de bus sont tentantes. Mais bon, si je me prends une prune, je sais que c’est de ma faute.
Je trouve ça ironique qu’on parle de mobilité alors que la ville est bloquée. C’est pas en piégeant les gens qu’on va les convaincre de changer.
Moi, ça me rappelle surtout que je suis content d’avoir revendu ma voiture. Moins de stress, moins de dépenses… et moins de risque de finir piégé !
C’est quand même gonflé de nous faire la morale sur la mobilité douce quand le réseau de bus est déjà saturé !
Moi, je me demande si les recettes des amendes sont réinvesties dans l’amélioration des transports en commun. C’est la question que je me pose toujours.